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Hello !
Un indicateur est une grandeur définie permettant de « suivre » la performance, la pertinence, les résultats… d’un processus, d’une démarche, d’une action, d’une opération… Tu ne présentes précisément ni tes indicateurs actuels ni les problématiques cibles dont ils sont sensés quantifier le suivi… Difficile d’envisager des indicateurs « plus pertinents » dans ces conditions… C’est un peu comme si je te demandais de m’identifier un bâtiment « plus haut » que le mien mais sans te dire quelle est sa hauteur…
A+
Hello !
Savlynn, désolé mais je trouve que le changement de version d’une norme de SM n’est pas du niveau d’une thèse de doctorat… Les certificateurs en font grand cas mais c’est juste bon pour créer du buzz autour de leur produit : la certification » des Systèmes de Management. De plus ce sujet n’est pas spécifique « logistique ».
Bassamatte, Un « vrai » sujet serait plutôt de faire un vrai travail de recherche sur la pertinence-efficacité distinctive de la « certification » d’un SM et la pertinence-efficacité du SM « lui-même », quand on voit que 99,99% des entreprises qui achètent une certification l’obtiennent quel que soit le contenu et le fonctionnement de leur SM et surtout de leur performance dans le domaine de management visé !!!!!!!! Les certificateurs surfent sur cette ambiguïté en laissant croire que c’est la certification qui est efficace alors que c’est le SM qui est éventuellement opérant (et la certif est pourtant accordée même si le SM n’est pas si efficace !). Mais ce sujet délicat n’est pas « politiquement correct » et n’est pas plus « logistique » que le précédent, et je n’ai aucune idée de sujet « logistique » du niveau doctorat.
A+
rHello !
La sécurité alimentaire n’est pas mon domaine mais néanmoins je m’interroge sur ta démarche Hrarti. A mon avis ce n’est pas par ce qu’on est un nouveau responsable Hygiène qu’il faut recherche des nouveaux indicateurs concernant le processus sécurité alimentaire…
On détermine et on utilise des indicateurs pour répondre à des besoins ! Soit notre processus de sécurité alimentaire évolue et de nouveaux indicateurs s’avèrent nécessaires pour suivre de nouvelles dispositions de ce processus (tout en conservant tout ou partie des indicateurs actuels qui restent pertinents), soit certains indicateurs actuels ne sont pas satisfaisants ou sont devenus obsolètes et il faut les remplacer par des indicateurs plus pertinents pour la conduite du processus.
Dans les deux cas les nouveaux indicateurs répondent à un besoin identifié, non pas à l’arrivée d’un nouveau responsable Hygiène.
A+
Hello !
Quel est ton objectif professionnel Bassamatte en voulant faire un doctorat (en terme d’orientation et d’employabilité) ?
A+
Hello !
Je crois que pour répondre à cette question générale Google ou même Wikipedia feront très bien l’affaire. Mais grosso-modo l’un est un outil de management de la qualité orienté vers la satisfaction des exigences des clients pour l’améliorer, l’autre est un outil d’amélioration de la production basé sur la réduction des « gaspillages ».
A+
10 février 2017 à 9 h 15 min en réponse à : Risques et opportunités vis à vis de la norme ISO 9001 v2015 #13364(suite)
L’outil FGM* est très répandu alors que curieusement il n’a aucune théorie ou source de référence crédible. Je dirais (pour être méchant ou réaliste par expérience) que c’est l’outil de l’EvRP médiocre, totalement subjective et infondée . Elle évite le professionnalisme de vrais critères et outils d’EvRP et permet alors plus ou moins consciemment tous les « arrangements » et toutes les libertés possibles avec les réalités du travail.
* dont j’aimerais bien néanmoins lire ton application à mes deux situations de bruit…
L’outil FGM n’est pas un outil d’EvRP ! C’est juste si besoin un outil de hiérarchisation grossière de risques déjà préalablement « vraiment » évalués avec des critères pertinents propres à chaque familles de risques (et non « incomparables » entre eux comme par exemple 200 ppm de solvant et 84 dB(A)).
Pour
l’évaluationla détermination des risques et opportunités qualité à prendre en compte il semble bien que l’outil SWOT soit pertinent.A+
10 février 2017 à 8 h 23 min en réponse à : Risques et opportunités vis à vis de la norme ISO 9001 v2015 #13362Hello !
Je note qu’au lieu de « côter » le risque selon « FGM », tu utilises sa mesure en dB(A). J’aurais bien aimé tu me donnes tes notes « fréquence » et « gravité », et la note « maîtrise » … Mais tu as raison de passer en EvRP mesurage, car c’est la méthode réglementaire donc obligatoire de faire l’EvRP bruit… L’outil FGM n’est tout simplement pas conforme aux obligations réglementaires de l’employeur !!!!!
En tout cas le risque que tu considères c’est bien celui correspondant à 60 dB(A) (si tant est que des EPI bruit diminuent vraiment de 30 dB(A) l’exposition d’un salarié en pratique). C’est celui qui compte et tu il intègre forcément la maîtrise existante. Car en réalité on ne peut pas évaluer un prétendu risque brut tout seul.
Comment ferais-tu l’EvRP des deux situations suivantes avec ta méthodo non règlementaire ? Deux opérateurs travaillent chacun sur une presse très bruyante. On peut observer qu’une des deux machines n’a aucun capotage tandis que l’autre est protégée par un capotage anti-bruit. Pourtant on perçoit subjectivement le même niveau de bruit dans les deux situations. Remarque : les deux opérateurs portent des EPI. Peux-tu valoriser combien tu « côtes » F G et M ces deux situations de travail (en rappelant tes échelles de cotation) ?
A+
9 février 2017 à 17 h 55 min en réponse à : Risques et opportunités vis à vis de la norme ISO 9001 v2015 #13360(suite)
Petits correctifs selon moi : l’AMDEC n’est pas une méthodo d’analyse de risques, mais bien plus une méthodo d’analyse de fiabilité pour la conception ou l’amélioration de systèmes complexes ; à partir d’une analyse fonctionnelle d’un procédé elle passe par l’identification des causes-modes-effets, l’évaluation de la gravité des effets, la fréquence et la non-détection des défaillances envisagées, pour identifier les plus critiques et d’envisager de les réduire. Mais en tout cas les outils AMDEC et FGM sont deux choses différentes ! Il n’y a pas de raison de mentionner l’AMDEC quand on parle de l’outil « FGM risques ».
Pour cet l’outil « FGM risques », si M ne contribue pas à l’évaluation du risque, pourquoi donc avoir ce critère M alors dans ll’outil ? Si tu me dis que le risque est élevé car tu as jugé que la Fréquence et la Gravité d’un éventuel incendie çétaient fortes alors ça suffit… non ?
A+
9 février 2017 à 13 h 31 min en réponse à : Risques et opportunités vis à vis de la norme ISO 9001 v2015 #13357Hello !
Je ne suis pas Qualiticien, mais en tout cas rien ne justifie dans l’ISO 9001 la position de cette intervenante-auditrice pour « côter » les risques et opportunités ainsi, il semble d’ailleurs que les Qualitiicens s’accordent plutôt pour utiliser l’outil SWOT…
Suite de ma curiosité perso / outil « FGM risques » : quand il y a une bonne « maîtrise » elle induit forcément une réduction du risque, mais sur quelles caractéristiques du risque a-t-elle un effet concret ? Autrement dit comment agit la maîtrise réduit-elle le risque, que modifie-t-elle dans le risque ?
A+
9 février 2017 à 11 h 20 min en réponse à : Risques et opportunités vis à vis de la norme ISO 9001 v2015 #13355Hello !
Désolé je n’ai aucune compétence en ce qui concerne la « cotation » d’opportunités… Je ne comprends d’ailleurs pas que ISO 9001 exige une telle cotation.
Par contre je suis bien plus câblé « risques » et à ce propos je me demandais ce que tu « côtes » vraiment avec le trio « gravité de quoi ? fréquence de quoi ? maîtrise de quoi ? »… Pourrais-tu définir ces trois critères pour comprendre ce que tu côtes vraiment ? Et peut-être même en illustrant avec un simple exemple de principe ?
A+
Hello !
Désolé François, je n’ai pas d’éléments de réponse mais une curiosité : tu parles d’agences, de siège, de groupe. Mais dans quel organisation es-tu réellement ?
Un « groupe » c’est un groupe de plusieurs « entreprises », et non un groupe d’agences d’une même entreprise. Un « siège » c’est l’établissement principale d’une entreprise logeant typiquement la direction de l’entreprise. Es-tu dans un groupe de plusieurs entreprises ? Es-tu dans une entreprise de plusieurs établissements (dont plusieurs agences par exemple) ?
Il me semble que ça a de l’importance en terme de périmètre du SMQ ou des SMQ et donc de processus « externalisés » ou non. Quelle est la maille(s) de management de la qualité voulue dans ton organisation ? En clair quelle la « maille » ou le périmètre du SMQ à propos duquel tu soulèves la question de « l’extériorité » de certaines fonctions ou processus ?
A+
Hello !
Il n’est donc pas question de signification de l’évolution du volume de clientèle, de l’obsolescence de la version 2008 de la norme ISO 9001, de l’éventuelle mauvaise traduction ou de l’éventuel suremploi de tels mots… on est d’accord, mais de la situation d’Annie héritant d’un SMQ en panne à la veille d’un audit…
Le temps s’est écoulé et Annie a certainement agi en concertation avec sa direction.
Au plaisir.
JMD a déclaré « Les clients n’ont pas déserté est bien la preuve que « la qualité » a fonctionné dans l’entreprise. »
Hello !
Que peut bien signifier la formule « la qualité fonctionne » ? Qu’est-ce qui « prouve » ce « fonctionnement » ?
Illustration de principe : si en 2015 une entreprise fabriquant des brouettes en a vendu 1000 alors que « sa qualité fonctionnait » (?), son produit a bien pu continué à intéresser des clients au point qu’elle a à nouveau vendu 1000 brouette en 2016 alors même que cette année-là « sa qualité ne fonctionnait pas » (?)… Je ne perçois pas en quoi le maintien du nombre de clients désigne et prouve que « la qualité fonctionnait en 2016 ». Ca « prouve » juste qu’elle a fabriqué* 1000 brouettes et trouvé 1000 clients. Peut-être a-t-elle fabriqué plus en 2016 qui lui restent sur les bras alors qu’elle espérait trouver plus de clients, peut-être en a-t-elle produit moins en 2016 mais écoulé un surplus de brouettes produites en 2015… Est-ce que ça nous renseigne sur ce qu’est « une qualité qui fonctionne », est que ça prouve que la « qualité » de cette entreprise « fonctionnait » en 2016 ?
* ou même acheté une partie de ces brouettes à un autre fabriquant.
Qu’est-ce qu’ « une qualité qui fonctionne » ? :# C’est du charabia…!
A+
Hello !
François je ne sais pas bien où il y a suremploi de quel mot. JMD, je conçois tout à fait qu’un intervenant s’adapte au vocabulaire de l’une entreprise où il intervient (pour ma part je l’ai toujours fait et pas seulement en tant qu’auditeur). Par contre les « choses » ont des noms et les « mots » ont un sens. Alors il faut employer des mots pour parler des « choses » ou échanger des idées. A propos de ce qu’une entreprise met en place selon la norme ISO 9001 « systèmes de management de la qualité » et à propos de l’audit d’une entreprise sur cette base je ne vois pas bien comment ne pas employer ces mots à l’occasion.
François propose à Annie une certaine démarche d’analyse-recherche des causes de non performance de l’organisation décrite de son entreprise durant l’année écoulée puis de faire un point avec la direction et décider des (bonnes forcément) actions d’amélioration selon la norme ISO 9001. Mais est-ce que cette proposition répond à la problématique d’Annie ? Laquelle au bout d’une semaine de présence dans sa nouvelle entreprise (!) et à deux semaines d’un audit du SMS de cette entreprise (!) demande : « pensez vous que le fait d’élaborer un plan d’actions avec tous les dysfonctionnements et manquements relevés puissent être recevable par l’auditeur ?«
A+
(suite)
JMD, tu pratiques la langue française avec le style et les mots que tu veux et tu la respectes de préférence (sur la forme je note que tu fais des progres en majuscules et en ponctuations), mais tu ne peux pas dire que notre pratique du français soit une mauvaise traduction de l’américain… ou alors tu dois réduire cette posture à ta seule pratique personnelle.
Nous n’avons pas le pouvoir de re-nommer la norme ISO 9001 comme tu le proposes, mais nous pouvons tous à l’occasion et selon notre pratique du français parler d’organisation de la qualité, de la gestion de la qualité, de la démarche qualité, etc…
Concernant la version n-1 de la norme ISO 9001 il est évident que certaines entreprises ont encore un SMQ « calé » sur cette ancienne version mais sa version actuelle (2015) mentionne bel et bien « Cette cinquième édition annule et remplace la quatrième édition (ISO 9001:2008)« , je n’y peux rien… c’est l’ISO qui l’exprime.
A+
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