Toutes mes réponses sur les forums
-
AuteurMessages
-
Hello !
Tu colles le même extrait de l’IATF 16949 que la première fois…
Je n’y lis aucune exigence d’un éventuel « arbre de défaillance » à propos duquel tu m’interroges…
A+
(suite)
Je t’ai demandé de copier-coller l’exigence de ce que tu disais être celle de « l’analyse des risques ». Tu l’as fait, mais je n’y vois aucune mention d’un éventuel « arbre de défaillance »… Si cet arbre ne relève pas du « processus visant à réduire l’impact des effets négatifs des risques » c’est peut-être qu’il est lié à une autre exigence IATF 16949.
Donc nouvelle : peux-tu copier-coller le § IATF 16949 exigeant ou évoquant un arbre de défaillance ?
A+
Hello
Je n’ai aucune réponse… mais juste une petite remarque collatérale : une seule date compte en réalité (et même en tout simplement en guise « d’indice de version » forcément) c’est la date d’application de tout document.
A+
(suite)
Si en amont de cet extrait il n’y pas d’autre exigence précisant l’approche de ces « risques », alors ta question se ramène plus exactement à « comment analyser les risques identifier les non-conformités potentielles et leurs causes dans les processus selon la norme IATF 16949 ? ».
Pour illustrer (avec un cas imaginaire, moi je ne suis pas Qualitiicien) envisageons qu’une étape de production soit la découpe de matière au massicot… Voyons comment répondre à ton extrait d’exigence :
L’organisme doit établir un processus visant à réduire l’impact des effets négatifs des risques, incluant ce qui suit :
a) identifier les non-conformités potentielles et leurs causes : une NC potentielle pourrait être l’apparition de bavures sur les pièces découpées à cause de l’usure progressive du tranchant de la lame du massicot…
b) évaluer le besoin d’actions pour éviter l’apparition de non-conformités : anticiper cette NC est assez nécessaire car nous avons déjà eu ds alertes de certains clients et notre nouveau gros client semble très critique sur les défauts d’aspects.
c) déterminer et mettre en oeuvre les actions nécessaires : lancer un plan d’actions prévoyant d’équiper le massicot d’un compteur pour quantifier son nombre de coupes, de déterminer combien de fois une lame du massicot reste suffisamment tranchante pour ne pas générer de bavures, mettre en place une procédure de maintenance préventive de changement systématique de la lame au bout de xxxxxxxxx coupes.
d) disposer d’informations documentées sur les actions prises : la tracabilité de la détermination des NC potentielles et des décisions prises (ici la procédure de maintenance préventive elle-même) devraient suffire…
Etc… pour e) et f)…
Globalement je dirais qu’il s’agit de mener une « revue (périodique) des NC potentielles » pour déterminer et traiter de nouvelles NC potentielles et suivre la maîtrise des précédentes…
D’autres avis ? A+
Hello !
Pourrais-tu copier-coller ici le passage de la norme en question formulant cette exigence d’analyse des risques ?
A+
29 novembre 2016 à 11 h 22 min en réponse à : Différence entre un POI et une procédure de situations d’urgences? #13084(suite)
Ok c’est clair tu as donc :
– d’une part une exigence environnementale réglementaire de POI pour laquelle tu dois envisager des scénarios d’urgence menaçant l’environnement de ton entreprise…
– d’autre part une exigence SMS&ST normative de la norme britannique BS OHSAS 18001 pour laquelle tu dois envisager des scénarios d’urgence menaçant la sécurité et la santé des salariés de ton entreprise.
Pour le PIO tu n’as pas le choix tu dois en créer un à part entière en n’y mettant bien que des scénarios qui relèvent de l’environnement.
Pour la procédure du SMS&ST tu dois y mettre au minimum la conduite à tenir en cas d’accident ou de malaise d’un salarié et la consigne d’évacuation-incendie car ce sont des exigences réglementaires qui s’imposent. Tu peux y mettre aussi la procédure de danger grave et imminent, également réglementaire.
Personnellement je mettrais les scénarios spécifiques de chaque domaine, Environnement ou S&ST, respectivement dans le POI ou la procédure SMS&ST. Et je mettrai les scénarios communs dans un seul des deux documents, mais tout en identifiant ces scénarios dans l’autre document avec un renvoi vers le premier afin d’éviter leurs détails dans les deux documents.
Tu eux aussi tout simplement créer un document avec un titre du genre « Conduites d’urgences / risques professionnels et environnementaux » sous)titré référencé comme étant à la fois le POI de l’entreprise et une procédure du SMS&ST.
D’autres avis ? A+
29 novembre 2016 à 10 h 18 min en réponse à : Différence entre un POI et une procédure de situations d’urgences? #13081(suite)
Je ne peux pas envisager ton problème exact car tu n’as pas identifié le contexte et la source précise de ton « exigence » de la « procédure urgence » comme je te l’avais demandé… alors qu’on sait que « l’exigence » de ton POI relève du contexte de la prévention des risques environnementaux et précisément de l’art L515-41 du code de l’Environnement.
Par ailleurs je comprends bien que tu as des scénarios d’urgence incendie, mais peux-tu me dire quels autres types d’urgence tu envisages ?
A suivre…
Hello !
QQ soit la forme ou la définition de ce qu’on dit être un audit c’est toujours comparer une réalité à une référence de principe (le référentiel d’audit). Donc pour trouver une « grille » d’audit il faut d’abord se demander ce qu’attend le commanditaire de l’audit, c-à-d quel référentiel on veut exploiter…
Sans plus d’explication je te suggère la « Grille GPS&ST 2011 » de l’INRS : http://www.inrs.fr/media.html?refINRS=outil35
A+
28 novembre 2016 à 15 h 52 min en réponse à : Différence entre un POI et une procédure de situations d’urgences? #13077Hello !
Hasna, il est très facile de répondre toi-même à ta question en réfléchissant à ce qui te pousse à élaborer respectivement un « POI » ou une « procédure de situations d’urgences »… Dans ces termes et dans le contexte du forum (QHSE) j’imagine qu’il s’agit de l’exigence L515-41 du code de l’Environnement pour le POI et du § « Prévention des situations d’urgence et capacité à réagir » d’une norme de SMS&ST. C’est ça ?
A ce stade je vois 2 différences majeures entre ce POI et cette procédure :
> Le POI est une exigence réglementaire (application obligatoire), la procédure est une exigence normative (application volontaire).
> Le POI relève du champ de la prévention de l’Environnement (et de la Santé Publique), la procédure relève du champ de la Sécurité & Santé au Travail (pour les salariés donc).
Vu comme ça (leurs définitions et domaines d’application respectifs), manifestement le POI et cette procédure ne visent pas les mêmes scénarios (par exemple la conduite à tenir en cas de blessé* ou de malaise relève de la procédure mais pas du POI). Mais certains scénarios peuvent être communs (par exemple la conduite à tenir en cas de début d’incendie*).
* NB : ces deux cas sont notamment des exigences réglementaires du code du travail.
A+
Si c’est au fond de ton site dans un vieux bidon, hum c’est pas trop réglo… Si c’est dans l’incinérateur de ta communauté de communes c’est bon…
Des broyeurs à papier…
Hello !
Onside, tu pourras nous transmettre les supports de présentation utilisés pour cette formation ?
Merci d’avance. A+
Hello !
Personnellement je n’ai aucune pratique ni même connaissance des outils PESTEL ou SWOT… Mais je peux néanmoins te répondre que la norme ISO 9001 n’exige aucune « analyse » des enjeux en question. Elle ne demande que leur identification.
Pour ce qui est de leur prise en compte dans le SMQ je donne ma langue au chat, car la norme ISO 9001 (qui ne demande même pas la documentation des enjeux identifiés) n’en donne pas la moindre perspective.
A+
17 novembre 2016 à 10 h 35 min en réponse à : Evaluation organisme formateur_Obligation ISO 9001 ? #13062Hello !
Un organisme assurant la formation des salariés destinés à recevoir une habilitation électrique conformément aux exigences du droit du travail est évidemment un « fournisseur »… La question est plutôt de savoir si leur habilitation relève du champ du management de la qualité (ISO 9001) des produits ou des services que ton entreprise propose à ses clients…
A+
Hello !
Ce que tu décris me va bien. Deux points me conviennent particulièrement puisque je les pratique aussi :
– Se passer des originaux en papier, « signés » à l’ancienne, que certains se tuent à continuer de gérer (perte de temps et source d’erreurs).
– Utiliser la date (d’application) comme « indice » de version d’u document plutôt que des lettres A, B, C… (ça a bien plus de sens).
NB : moi j’insère chaque fichier d’un « modèle » d’enregistrement (donc vierge) directement dans le document qui l’induit… Ainsi on rappelle que c’est un élément de la procédure…
A+
-
AuteurMessages