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Hello !
Outre la rétention d’infos pratiquée par cet entrepreneur homme-orchestre et son manque de dispo (en plus de ton encadrant école absent !!!!) ta situation inconfortable pose néanmoins la question du montage d’un “système” de management Q (et en plus de sa certification) dans une très micro-entreprise… C’est un véritable exercice de style…
S’il confit la fonction commerciale à un prestataire de ce genre de service moi il me semble que dans le cadre d’un SMS ce que fera ce commercial sera bien un processus externalisé…
D’autres avis ? A+
PS, un conseil perso gratuit : même si cette “entreprise” veut prolonger ton stage après ces 4 mois je crois qu’il vaudrait mieux que tu cherches un autre terrain d’expérience un peu plus “normal” et surtout une entreprise avec bien plus d’effectif (si possible ayant déjà une fonction Q pour te guider).
JMD :
– Ne pas discuter de “l’origine” d’une traduction annule complètement le ratage de traduction que tu inventes.
– De même évoquer des “incohérences” dans NF EN ISO 9001 (si je comprends bien) sans les démontrer n’est que pure invention.
A+
PS : sans compter que répondre “relire ceci ou cela” pour éclairer tes propos n’éclaire pas ta position…
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JMD tu as affirmé “la traduction de “risk assesment” est complètement ratée” sans citer le passage de texte anglophone en question. Je t’ai donc demandé de le faire, afin de comprendre d’apprécier la pertinence de ton analyse linguistique. Mais je vois que ta nouvelle accusation de traduction complètement ratée l’est tout autant. Tu l’as inventée… ce qui discrédite ton propos.
A+
JMD, peux-tu nous identifier le document duquel la mention “risk assessment” aurait été mal traduite et fournir le copié-collé du paragraphe anglophone (n° et titre compris) qui l’emploie ? A+
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Attention Justine les substances irritantes ou allergènes font bel et bien partie des substances dangereuses (cf CLP…) !
Ok tu as bien décrit la situation (aspects prévention chimique, protection salissures, protection du produit, confort olfactif post-travail si j’ose dire). Mais du coup je ne vois pas bien ce que tu recherches sur le plan réglementaire… Tu n’en as pas besoin pour “demander” au personnel de quitter les vêtements de protection quand il sort des zones de travail en question (matin ou après-midi). Et si la douche de fin de journée n’est pas une “nécessité” du point de vue prévention-hygiène” mais un “confort” alors elle n’est pas plus obligatoire à midi qu’en fin de journée.
A+
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Ismail ma première réponse générale (mon message de ce matin à 8:23) c’est la nécessité pour un nouvel embauché de découvrir et de comprendre l’entreprise dans laquelle il débarque.
A lire la discussion signalée par JMD il faut la lire complètement et voir les différences entre les positions exprimées (d’autant que cette autre discussion porte sur la perspective de faire évoluer un SMQ mode “ISO 9001” existant selon la version précédente à la version actuelle de cette norme et non sur un projet de création initiale d’un SMQ selon la version actuelle de la norme).
A+
Hello !
JMD, quand on ne te comprends pas ce n’est de renvoyer à ce que tu as déjà dit et qu’on n’a donc pas cerné qui avance les choses… il serait plus pertinent de répondre en reformulant ou en approfondissant ta position. Cette interaction c’est l’intérêt d’un forum.
Par ailleurs pour répondre à ta question de diversion (?) pour moi (réflexions profondes et expériences concrètes) cet audit c’est la première tâche de ce genre de projet ! Comme je l’ai souvent déjà dit (par exemple il y a peu dans cette autre discussion : http://www.qualiblog.fr/forum/management-de-lenvironnement/plan-de-transition-iso-14001-v2015/ ). Par contre le fameux “audit à blanc” en fin de projet est inutile.
D’autres avis ?
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Par quoi commencer en tant que nouvel embauché, je l’ai déjà abordé de manière générale. Et c’est par ça que tu dois commencer. Puis quand tu connaîtras mieux ton entreprise tu pourras aborder la création de son SMQ sur le modèle ISO 9001.
Pour ce qui est de la mise en place d’un Système de Management (quelque soit la norme “X” de SM considérée) voici quelles sont à mon avis les grandes lignes à suivre (par assimilation à certaines expériences personnelles) :
– Organiser d’emblée l’intégration d’un modèle normatif de SMX dans l’entreprise en mode “conduite de projet” (c-à-d petite équipe projet, budget, planning d’actions, communication, etc… à la maille de l’entreprise). Ce qui nécessite une décision et un suivi de la direction… d’autant qu’elle aura aussi des tâches à réaliser en cours de projet.
– Commencer par une “découverte-compréhension-appropriation” des exigences de cette norme par l’équipe projet en se faisant un atelier de lecture au minimum, voire un stage, et/ou à l’occasion d’un véritable “état des lieux” des pratiques de l’entreprise dans le domaine de management X.
– Faire de toutes façons un état des lieux initial des pratiques actuelles de l’entreprise dans le domaine X sous la forme d’un véritable “audit” en utilisant la norme de SMX comme “référentiel d’audit”… (disons qu’on fait un audit du SMX “natif” de l’entreprise, car l’entreprise manage déjà plus ou moins le domaine X).
– Ce audit permet d’identifier ce que l’entreprise fait déjà de correct “sans le savoir” (à entériner par le projet), ce qu’elle fait mais pas correctement (à ajuster par le projet) et ce qu’elle ne fait pas encore mais devra faire pour être en accord avec la norme de SMX (à créer par le projet)…
– Cet audit nourrira l’élaboration de sa feuille de route (identification et planification des tâches nécessaires à la structuration et la mise en oeuvre du SM), surtout si l’entreprise a les moyens de faire réaliser cet audit par un consultant compétent en SMX et en prévoyant au CdC de la prestation qu’il mène l’audit accompagné à titre pédagogique de la petite équipe projet (ce sera la formation minimum ou le complément de formation de l’équipe projet / norme SMX).
– Planifier et réaliser les tâches ainsi identifiées pour construire le SMX en associant les principales fonctions concernées par les processus X à consolider ou créer, et lancer ainsi peu à peu le SMX avec leur participation.
NB : mettre correctement en place et en marche un SMX prend raisonnablement une année environ.
A+
Hello !
Si ces tenues de travail sont nécessaires pour protéger le personnel d’une certaine “contamination” par des substances dangereuses, au point même qu’une douche soit également nécessaire en fin de journée après avoir quitté ces vêtements “contaminés”, il est totalement incohérent de ne pas pas faire exactement la même chose en milieu de journée pour le repas de midi…
Tu dis que “le port de ces vêtements est réservé à ces zones de travail” (celles où sont mises en oeuvre ces substances dangereuses) mais en même temps tu dis que ton entreprise “souhaite que les salariés concernés retirent leur tenue de travail pour se restaurer avec leur tenue de ville” à midi… c’est incompréhensible pour moi ! As-tu vraiment décrit la situation actuelle ?
En l’état je ne comprends pas vraiment ce qui motive ta recherche dans le code du travail. Je crois que tu devrais repartir de ton EvRP (quels sont vraiment les risques de la confrontation du personnel à ces substances dangereuses / modalités de travail actuelles) et en réviser ou tirer les conséquences adaptées en terme de mesures de prévention (notamment / vestiaires, vêtements de protection, douches…). Sachant que ces temps d’habillage sécurité et douches de “décontamination” (?) doivent alors être “payés”.
D’autres avis ? A+
PS, curiosités :
– A midi, où le personnel mange-t-il ? (restaurant d’entreprise, salle hors-sac, restaurant interentreprise, restaurants/domicile…)
– Les vestiaires et douches des zones de travail en question sont-ils spécifiques et contigus à ces zones ou sot-ils les mêmes que ceux du reste de l’entreprise ?
– Peux-tu nous donner le nom d’une des substances dangereuses en question les plus significatives de ta problématique ?
– Si prendre une douche est nécessaire n’est-ce pas que les vêtements de protection sont insuffisants ainsi que les mesures collectives de prévention de ces expositions ? Normalement la douche ne devrait pas être nécessaire à mon avis.
Hello !
Ben… euh… classiquement quand on prend un nouvel emploi d’une part on cherche à découvrir ce que faisait son prédécesseur jusqu’à présent, d’autre part on essaye de de découvrir le fonctionnement de l’entreprise en rencontrant ses différents responsables pour “visiter” leurs services…
Question : ton entreprise s’est-elle dotée d’un SMQ ?
A+
Hello !
Rebecca, “est-ce qu’une entreprise peut se lancer dans la certification ISO 9001 de son SMQ alors qu’elle n’a pas encore mis en place sa structure organisationnelle interne ?” Absolument pas ! Manifestement c’est ton boulot que d’amener ton patron à déterminer le fonctionnement de son activité afin que tu puisses formaliser son SMQ à sa place de manière un jour à le faire certifier. Mais c’est lui qui va le faire fonctionner en réalité.
La base de construction d’un SMQ c’est classiquement l’identification des processus de l’entreprise. Et là puisque ton patron ne veut considérer que lui (en faisant travailler au noir en quelque sorte les salariés de son autre entreprise, le cabinet de conseil) c’est lui qui sera l’homme orchestre, le porteur et l’acteur de tous les processus de son entreprise de commerce. S’il maintient cette posture tu ne peux pas dire que l’effectif de l’entreprise est de 5. Et si tu comptes dans l’effectif (es-tu alternante ? ou au moins en stage ?) il e semble qu’il n’y a pas de quoi faire apparaître un processus RH par exemple.
Tu devrais peut-être questionner un ou deux organismes de certification pour essayer de sentir comment ils traitent la certification Q d’une entreprise “mono-personne”.
Ismail, tu es dans le “même cas” ? tu devrais peut-être préciser ton cas et tes attentes…
A+
Hello !
Même avis que Savlynn. En le formulant ainsi :
– Création d’une équipe projet par la direction.
– Réalisation d’un audit de son SME existant selon la norme ISO 14001 “nouvelle version” (qui commence à dater).
– Planification et réalisation des tâches nécessaires à la mise en conformité du SME.
– Donc transition progressive du SME de son ancien à son nouveau fonctionnement.
A+
