Toutes mes réponses sur les forums
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Je résume :
1- Elodie se demande si un SMQ peut se limiter à une partie seulement des processus de l’entreprise nécessaires à la qualité de sa production.
2- Je réponds que non (sauf à faire le détour par la notion de processus « externalisé », ce qui seraient bien curieux puisque ces processus sont bel et bien partie de l’organisation de l’entreprise !). Avec ton exemple simple : un SMQ ne peut pas ignorer le processus de conception mais garder celui de la fabrication alors que l’entreprise conçoit et fabrique ses seringues et ses stylos…
3- Tu réponds que le SMQ d’une entreprise peut se limiter à une partie seulement des produits de l’entreprise. Exemple poursuivi : ce SMQ peut couvrir sa production de seringues, sans couvrir celle des stylos.
Tu ne réponds donc pas à la question. As-tu compris cette fois ?
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JMD tu te trompes, le sens de ma réponse n’est certainement pas de « repousser la question » de l’évaluation… C’est tout le contraire, il s’agit d’anticiper la question de l’évaluation des résultats d’une action dès qu’on est en train de l’élaborer, afin justement d’être en mesure de faire une évaluation pertinente à terme ! Faute de procéder ainsi bien des plans d’actions se contente de cocher la colonne « fait » en guise d’évaluation…
Par ailleurs à mon avis le critère « risque » n’est pas un critère d’évaluation du résultat d’une action, mais bien plus un critère de décision d’une action : plus la problématique représente un fort risque plus il est nécessaire d’engager une action… mais si le risque est négligeable on peut choisir de ne pas agir…
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Hello !
Bin… euh… quand on lance n’importe quelle action* pour moi le premier réflexe pour évaluaer son résultat c’est simplement de « mesurer » l’atteinte des objectifs qu’on lui a définit… en utilisant les critères d’efficacité qu’on aura pris la peine de définir au moment où on l’a conçue… Evidemment ces objectifs et ces critères sont propres à chaque action et ne sont donc pas systématiquement les mêmes.
* action « corrective » ou pas, c’est pareil.
D’autres avis ? A+
Hello !
Pour être auditeur en « xxxxxx » je dirais qu’il faut globalement remplir 3 conditions de principe :
– être d’abord et surtout un spécialiste expérimenté en « xxxxxx »,
– maîtriser formellement le référentiel(s) d’audit de ce domaine « xxxxxx » et les techniques d’audit,
– et avoir certaines qualités en relations humaines, sans oublier la capacité » de s’exprimer clairement (oral et écrit).
A+
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JMD la question de fond était du genre « la cartographie des processus du SMQ d’un organisme peut-elle passer par des étapes réalisées par des départements de l’entreprise non inclus dans son SMQ ? »
J’ai répondu en gros que non, sauf à passer curieusement par la notion de processus « externalisé » à l’intérieur même de l’entreprise, ce qui serait tout de même assez saugrenu… Tu lui réponds qu’un SMQ peut ne porter que sur une partie des produits d’une entreprise (que cette autre problématique soit fréquente ou pas ne change rien).
Comme le probléme d’Elodie c’est le détourage des processus du SMQ « réduit » de l’entreprise en question, je ne comprends que le détourage des produits traités par le SMQ soit une réponse pertinente, mais tu pourras m’expliquer.
A+
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Non je ne pense pas que ce soit un « problème » d’avoir des documents qualité simples, attractifs et compréhensibles.
Mais je ne suis pas sûr que de la cosmétique documentaire soit vraiment une solution pour « dynamiser » un management qualité poussif…
A+
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Si c’est une demande de ta direction… ça va être difficile pour toi de botter en touche…
Mais si c’est précisément une demande de ta direction… ça renforce peut-être mon premier message sous-entendant un problème au niveau de la conduite du SMQ par la direction.
A+
Hello !
Qam, es-tu vraiment sûr que modifier l’apparence de la documentation du SMQ va « dynamiser » le management de la qualité conduit par la direction de ton entreprise…?
A+
18 décembre 2016 à 18 h 53 min en réponse à : Evaluation organisme formateur_Obligation ISO 9001 ? #13135(suite)
En effet Sophie, sans même connaître les détails d’élaboration et de fourniture des produits chimiques que ton entreprise propose à ses clients, je vois bien mal en quoi l’éventuelle habilitation électrique de certains salariés de ton entreprise interviendrait dans la satisfaction des clients à propos des produits chimiques que leur procure ton entreprise…
Par contre je vois bien mieux l’intervention des compétences en procédures de sécurité lors d’opérations à risques électriques des salariés d’une entreprise de réalisation et maintenance d’installations électriques dans la satisfaction de ses clients à propos des travaux réalisés chez eux…
A+
Hello !
JMD, je crois que tu n’as pas compris la problématique d’Elodiea :
– Ce n’est que le client qu’elle doit conseiller veuille organiser son SMQ seulement pour une partie de ses produits (ton exemple : sa production de seringues, alors qu’il produit également des stylos)…
– Mais c’est qu’il veuille organiser son SMQ sans considérer tous les processus nécessaires à la production des seringues (par exemple en excluant le processus de « conception »)…
A+
Hello !
Mes réponses / ma pratique perso (relativement en phase avec celle de Delphine que je salue au passage) :
QQsoit l’ampleur de la modification (au sens large) d’un document… comment les utilisateurs sauraient-ils distinguer quel est le bon contenu « avant » et « après » sa modification pertinente…? Mais en identifiant sa « version »… parbleu ! La moindre modification de « sens » d’un document (même mineure) en constitue une nouvelle « version » à identifier clairement comme telle. Si la modification n’est qu’orthographique (ça ne change pas le sens du contenu) tu peux bien ne pas changer de version.
Moi je ne pratique pas un indice de version de type A, B, C… par exemple, mais j’utilise la date d’application du document (plutôt que la date de modification) directement dans le nom du fichier informatique lui-même. Je fais donc d’une pierre deux coups.
Idem pour les modèles d’enregistrement. Mais j’insère directement les fichiers des modèles d’enregistrement dans les fichiers des documents qui les prévoient. Un enregistrement a ainsi la même référence que son document porteur. Et une modification du document OU de son enregistrement change donc la version de leur référence commune.
A+
Hello !
Chers Qualitiicens je vous trouve très (trop) conciliants dans votre lecture du § 4.3 de l’ISO 9001… Je ne vois vraiment pas comment vous pouvez considérer que l’exigence de « déterminer les limites et l’applicabilité du système de management de la qualité afin d’établir son domaine d’application » autorise véritablement à « exclure » certains pans d’une entreprise surtout si c’est pour en arriver à la situation extrême décrite par Elodiea. Je vous invite à relire le commentaire « A.5 Applicabilité » de l’annexe de l’ISO 9001.
Ce qui n’empêche pas une grande entreprise ayant de nombreux « départements » de production de vouloir un SMQ « individuel » pour chaque département (ou pour certains seulement), mais encore faut-il que chaque SMQ soit autonome si j’ose dire, ou qu’il ait du sens. Mais ce n’est toujours pas le cas évoqué par Elodiea.
Pour enfoncer le clou je dirais que pour moi « déterminer les limites » du SMQ c’est logiquement et grosso-modo déterminer son périmètre « naturel » (celui de l’organisme qui se dote de ce SMQ), ce n’est pas « limiter » un SMQ plus petit que l’organisme… L’organisme va manager sa Qualité, pas une partie de sa Qualité…
NB : n’était-ce pas dans les 1ères versions de l’ISO 9001 qu’il y avait une notion « d’exclusion » de certains secteurs de l’entreprise ?
A+
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Elodiea, peut-être que certaines entreprises limitent le champ d’application de leur SMQ… peut-être que des certificateurs acceptent ce bricolage (pourvu qu’ils puissent facturer des « certifs » j’imagine)… mais je ne vois pas que la norme ISO 9001 permette à une entreprise d’exclure telle ou telle partie de son organisation / son management de la qualité… Peux-tu me l’indiquer ?
Dans la situation devant laquelle tu te trouves (incohérence manifeste entre la réalité de l’organisme et son SMQ) tu pourrais considérer que que les bouts de processus se trouvant dans les Dpts « exclus » sont des processus « externalisés »…!!!!! Ce serait une manière de contourner le problème en réintégrant indirectement ce qui te manque… Mais ce serait tout de même un comble !!!
D’autres avis ? A+
Hello !
Personnellement je pense que la réponse à ta question est simple : je ne vois pas « de quel droit » un organisme s’autoriserait d’exclure de son SMQ ISO 9001 telle(s) partie de lui-même… Ton cas réel en est une preuve si j’ose dire, il montre que les départements « exclus » sont évidemment nécessaires au groupe de départements soit-disant retenus comme constitutifs exclusifs de l’organisme « réduit » et de son SMQ…
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Hello !
En quels termes ce concept est-il évoqué par IATF 16949 s’il n’est pas à l’occasion d’une exigence ?
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