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Par enregistrement j’entend document de preuve que l’action associé à été réalisée (par exemple les attestations de présences ou les évaluations des stagiaires)
Je te donne ma méthode:
Pour une instruction de travail:
Titre simple
rédacteur date
validation date
Le responsable de la mise à jour
à qui s’applique l’instruction
à qui est diffusé l’instruction
Objet: pourquoi cette instruction de travail existe
Logigramme de fonctionnement:
– Pour chaque étape: quoi, qui, comment, enregistrement
Deux choses:
– Répond à tes objectifs de stages (si mémoire / rapport / soutenance à l’issue) d’un point de vue scolaire pour assurer une note correcte (utilisation d’outils et de méthodes étudiés lors de la formation)
– Répond aux besoins de l’entreprise (cadrer les rôles et responsabilités) et si tu dispose de plus de temps qu’il ne t’en faut (et uniquement dans ce cas là) va plus loin que ce qui t’était demandé et devient force de proposition.
La mission qui t’a été confiée, suivant l’existant, peut se révéler très complexe et lourde de conséquence (tu touche à la charge de travail, aux missions et aux responsabilités confiés aux salariés).
La rédaction de procédures et d’instructions de travail implique de nombreux concepts qualités que tu peux développer (travail prescrit/travail réel; compréhensible ; exhaustive; diffusion et mise à jour => gestion documentaire ; compétences requises => ressources humaines, formation, et gestion des compétences;…)
ps: Attention avec la notion d’exigence dont tu fait appel, c’est un terme très fort de sens.
23 octobre 2014 à 9 h 18 min en réponse à : Le développement durable en entreprise : greenwashing ou levier de performance? #11705De mon point de vue:
chaque démarche « développement durable » intègre une part plus ou moins importante de greenwashing.
très souvent elle sont mises en places pour :
– améliorer l’image de l’entreprise (et ainsi développer ses marchés) et tenter de se démarquer de la concurence
– Répondre à une exigence client
– rattraper une image d’entreprise polluante (ex: total)
– faire des économies (sur l’énergie, le traitement des déchets,…)
pour conclure, je dirais que pour moi: développement durable = levier de performance et greenwaching.
Salut,
Les parties intéressées incluent:
– les administrations étatiques dont les attentes sont cadrées par de très nombreux textes
– Certains services (services de santé au travail par exemple) dont les échanges avec l’entreprise sont encadrées réglementairement parlant
– Les autres (liste plus ou moins vaste suivant l’entreprise et le site) ou il n’existe généralement pas d’accord ou de texte écrit. Dans ce cas, l’identification des « exigences » peut etre effectuée via téléphone / mail dont le résultat est consigné en interne. Pas besoin de formalisme supplémentaire
à ma connaissance, il n’existe pas d’autre méthode plus efficace pour collecter ces info.
Salut,
-Pourquoi vouloir cadrer la « livraison » (= réalisation d’une prestation de formation, déroulement d’un programme de séminaire) par une formation à l’approche processus des acteurs? Quelles actions ont été retenues au final?
– existe t’il des protocoles à respecter (feuille de présence, validation du contenu pédagogique, évaluation fond/forme de la formation par les stagiaires, prise en compte de ces évaluations, … ) et sont ils utilisés respectés ?
– d’ou vient cette volonté de la direction de vouloir mieux maîtriser la qualité des prestation ? (réclamation, baisse de fréquentation, baisse de réputation, changement de direction, volonté de vouloir s’améliorer, demande client…)
Les processus interagissent quasiment tous entre eux:
Le management donne les grand objectifs et tendances à long terme, définie la politique et s’assure du bon fonctionnement des processus de réalisation (je pense d’ailleurs que tu peux simplifier ton conception => vente => livraison en un seul processus de réa) et l’ensemble à besoin pour fonctionner de support (Gestion ressources humaines; Achat et gestion du matériel).
Pour ce qui est de la description de l’ensemble des processus, dans le cadre d’un SMQ basé sur l’iso 9001: oui, c’est une exigence de la norme que de décrire l’ensemble des processus entrant dans le champ d’application.
Pour ce qui est de ton système, prend en compte les objectifs qui t’on été fixés par le PDG de l’entreprise // au temps dont tu dispose: c’est ce qui conditionnera la réussite de ton stage (du point de vue de l’entreprise). A vouloir trop en faire, tu risque « perdre » du temps sur des éléments perçus comme inutiles par l’entreprise, sans pour autant arriver à boucler les objectifs que l’on t’avait fixé.
Si tu dispose de plus de temps qu’il ne t’en faut, à ce moment là tu peux chercher à élargir ton travail.
Il n’existe pas de démarche classique, chaque entreprise ayant ses propres spécificités et fonctionnement.
L’iso n’est qu’un guide de « bonnes pratiques » / de question à se poser pour élaborer et améliorer son SM.
En ce qui concerne ton stage, ta démarche me semble bonne (diagnostic / proposition , sous réserve que tu ai traité l’aspect documentaire, l’aspect management et objectifs, l’aspect travail réel, et l’aspect « bonnes pratiques » existants dans et hors de l’entreprise).
Par contre je suis surpris que l’action que tu cite concerne la formation au management par processus. Je suppose que cette proposition est liée à des spécificités métier. peut tu détailler le cœur de métier de l’entreprise et le processus à maîtriser?
ok, c’est plus clair.
Travaille avec eux la définition des risques en insistant sur le fait qu’on cherche à identifier la gravité et la fréquence. Un risque maîtrise existe toujours, par contre la cotation le placera en « bas de liste ».
Bonjour,
Je te conseille de lui proposer de « sélectionner » les chapitres qui l’intéressent sur l’iso 9001 (principalement pour te rassurer et te permettre d’avoir une base de travail) tu peux dérouler ensuite sur un SMQ adapté.
Sinon, tu peux échanger avec lui sur les points de l’organisme qu’il souhaite voir « cadrés » en étant, de ton coté, force de proposition (méthode efficace, d’autant qu’il semble allergique à l’iso 9001, mais beaucoup plus complexe).
celui du: 21 octobre 2014 13:51
Je t’invite à reformuler ton message précédent car il n’est pas clair.
Les risques à identifier sont les événements indésirables pouvant impacter le processus, le système de management et de fait, la qualité / satisfaction client / pérennité de l’entreprise.
Première étape: identifier les risques
Pour cela l’une des solution consiste à réunir un groupe de travail ayant une bonne connaissance du processus observé ainsi qu’un « candide ».
Ensuite évaluer les risques afin de hiérarchiser les priorités de travail.
Salut,
@ Amall2307
comme je l’expliquai dans mon message précédant, ma grille de cotation actuelle ne me convient pas (il ne sert donc à rien que je la partage).
Il n’existe pas de méthode normalisée spécifique à l’analyse de risque demandée dans la nouvelle version de l’iso 9001. C’est donc à chacun de trouver une méthode adaptée à son activité et au fonctionnement de sa structure.
Par exemple, celle que présente Ito, est tout à fait envisageable mais peut s’avérer limitée (travail uniquement sur l’impact client ce qui, à mon sens ne répond pas totalement aux exigences à venir/ niveaux d’évaluation limitant l’analyse).
De toute manière, nous somme sur un travail d’anticipation d’évolution normative. Des ajustements seront à effectuer lors de la sortie de la version définitive de l’iso 9001.
20 octobre 2014 à 9 h 45 min en réponse à : Métrologie: définir une période entre 2 vérifications sur un appareil #11677Salut,
Si c’est de l’eau potable dont l’utilisation implique que les salariés la boivent, il vaut mieux verrouiller la surveillance:
– Vérification de l’appareil toute les semaines (tracé par écrit)
– Appareil de secours disponible
15 octobre 2014 à 8 h 30 min en réponse à : Métrologie: définir une période entre 2 vérifications sur un appareil #11675Salut,
Pas d’obligation réglementaire pour les équipements de surveillance et de mesure. Néanmoins, les obligations réglementaire peuvent porter sur la fréquence et la précision des contrôles/mesures (pour les stations de production d’eau potable par exemple).
Pour ton cas:
– réfère toi à la documentation de ton appareil (afin de voir ce que le constructeur préconise, et qui servira de périodicité maximum)
– Détermine l’impact potentiel d’une erreur de mesure (plus c’est critique, plus la périodicité doit être réduite)
– Regarde l’historique de l’appareil (fréquence et amplitude des dérives constatées) (plus tu constate de dérive et plus les dérives sont importantes, plus la périodicité doit être réduite)
Avec ces trois éléments, détermine tes intervalles de vérification.
Par curiosité, dans quel domaine utilise tu cet appareil?
Salut,
Avec l’ensemble des conseils présentés par polo et moi-même, tu a l’ensemble des éléments te permettant de cadrer ta démarche d’audit interne.
Attention néanmoins à ne pas trop vouloir faire du généraliste en préparant des questionnaires génériques.
Le SME, comme tout système de management reposant sur de l’ISO / OHSAS / … s’appuie uniquement sur un guide/recueil de bonnes pratique, permettant de poser des question pertinentes sur l’organisation de ton entreprise.
Le plus important, et ce que tu dois chercher à identifier/améliorer via l’audit, c’est la manière dont ton entreprise s’est approprié ce guide et comment elle fait vivre sa démarche/son système de management qui lui est propre.
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