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Messages
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Hello !
Joelinou, je t’invite à te rapprocher de la fonction Ressources Humaines* de ton entreprise, car le profilage des « compétences » du personnel d’une entreprise relève typiquement des « compétences RH » (!), mais certainement pas du Service Qualité par exemple… Avec la notion d’évaluation des compétences on glisse même du coté de l’entretien annuel…
* cf ses « fiches » ou « descriptions » de « postes » ou de « métiers » ou encore ces « notes de fonctions ».
Et si rien n’a été déjà été fait de ce genre dans ton entreprise, la détermination des différentes compétences requises pour le personnel de l’entreprise doit être mis à charge de la fonction RH !
D’autres avis ?
Hello !
J’imagine que ton référentiel de SME est l’ISO 14001. Cette norme n’exige pas de « grille de cotation ».
Pour ma part la seule méthodo de référence « pertinente » en matière d’analyse environnementale se trouve en annexe du règlement européen EMAS, que tu trouveras facilement sur le net. Tu dois pouvoir en faire une « grille ».
A+
Hello !
On est d’accord Umpeta, rien dans ISO 9001 n’évoque une fonction de responsable de la Qualité… Dans mon domaine (S&ST) je fais d’ailleurs personnellement très attention à me nommer Préventeur S&ST ou encore Chargé de prévention mais certainement pas Responsable S&ST (qui n’apparaît pas plus dans les normes de SMS&ST). Par contre cette fonction Prévention existe, elle, et est même obligatoire en droit européen ! Sans être « responsable de la S&ST » car ce responsable c’est le chef d’entreprise…
Umpeta, je crois que ta référence au point « 4.2.3 Maîtrise des documents » est une erreur (la « Maîtrise des informations documentées » c’est plutôt le point 7.5.3 de l’ISO 9001).
Pour ma part c’est dans le point « 7.5.2 Création et mise à jour des informations documentées » que je vois deux « fonctions » nécessaires en pratique à l’authentification des documents du SMQ : l’auteur* (pour moi c’est la compétence, celui qu’on peut solliciter sur le contenu du document…) et l’approbateur (pour moi c’est l’autorité décidant de l’application du document). Mais ce n’est que ma compréhension de ce paragraphe et dans un souci de simplicité du processus. En tout cas ISO 9001 mentionne bien ces deux idées (auteur et approbation d’un document, mais pas de vérificateur ou de responsable qualité), c’est donc suffisant comme processus d’élaboration. L’exigence de « revue » d’approbation 7.5.2 c) est sans doute à creuser mais peut se traduire par un seul nom « final » voire à une simple date** d’approbation dans l’identification d’un document, même si cette étape peut mobiliser plusieurs personnes concernées. Même si ce n’est pas exigé les modalités de cette revue d’approbation méritent à mon avis d’être intégrées dans une « procédure » documentée de « création, mise à jour et maîtrise des informations documentées » (les acteurs de cette revue y seront cités de manière fonctionnelle de préférence, plutôt que nominative).
* je confirme que le point 7.5.2 a) suggère le nom de l’auteur comme étant un des éléments d’identification d’un document.
** la date du document est un autre élément d’identification suggéré par 7.5.2 a).
Je confirme donc ma proposition (conforme aux exigences ISO 9001 et avec un souci de simplicité chaque fois que possible) : autant limiter les grigris sur un document à l’identification de son « auteur » (pour le coté compétence / objet du document) et de sa « revue (date) pour approbation » (autorité de validation / intégration et mise en oeuvre dans le SMQ).
Je pense que mon analyse est plus justifiée en regard de l’ISO 9001 que la tienne Umpeta, donc plus pertinente. D’autres avis ?
A+
Ok Merci. Analyser un SMQ pour le mettre à jour est un bon stage je pense. Normalement c’est même carrément un audit interne qui pourrait en être l’occasion rêvée. A+
Hello !
Alors je vais avoir du mal à t’aider car autant je prône l’approche « SM » autant je crains l’approche « Certif »… or il ne faut pas confondre SM et « Certif ».
Pour moi la « Certif » c’est un écran de fumée ou de la poudre aux yeux, comme tu voudras. C’est juste un produit cosmétique qu’on achète. Il y a plein d’entreprises « certifiées » qui vendent de mauvais produits ou services…
A+
Hello !
Umpesta, ton message n’est pas probant :
– Tu évoques une pratique perso sans la relier précisément à des exigences ISO 9001…
– Tu évoques une théorie de « responsable Q » (bien qu’inexistant dans ISO 9001 !) « vérifiant » le document en tant que garant du SMQ et d’un DG approuvant/autorisant ensuite le document en tant qu’autorité nécessaire… mais ton illustration ne colle pas à ta théorie (elle ne mobilise que des fonctionnels Q dont aucun n’a l’autorité d’un DG !).
– Du coté du rédacteur (auteur) je n’oserais pas identifier sur un document SMQ qu’il est externe à l’entreprise.
– Au total ça fait 3 « fonctions » pour l’élaboration d’un document du SMQ, alors que ISO 9001 n’en demande que 2 (ce qui est suffisant et plus simple).
A+
Hello !
ieljennouni, voici un petit travail préparatoire pour faire le lien « entre la feuille Excel d’un côté et la norme de l’autre » comme proposé par Delphine que je salue au passage :
Dans la 1ère colonne de la feuille Excel tu rapportes les N° des paragraphes et sous paragraphes de la partie active de la norme.
Dans la 2ème colonne Excel tu rapportes les titres des paragraphes et sous paragraphes de la norme.
Dans une copie papier de la partie vive de la norme tu surlignes chaque exigence que tu identifies en la lisant attentivement…
Dans la 3ème colonne Excel tu rapportes les exigences que tu as identifiées en leur ajoutant mentalement un « ? ».
Dans les colonnes suivantes tu mets ce que tu veux…
Et hop tu as ta grille…
Mais ce n’est qu’une grille de pointage si j’ose dire, c’est loin de structurer un projet de construction et de mise en oeuvre du SMQ d’une entreprise…
A+
Curiosité : quelle est ta fonction et ton ancienneté dans l’entreprise ?
Hello !
Désolé Ben, mais manifestement nous sommes plusieurs à ne pas bien comprendre ton besoin ou ton projet…! Il faudrait être plus clair sur ta situation et ton contexte.
– Tu travailles chez un prestataire « MACHIN » de services comptables et administratifs (c’est sa compétence)… OUI ou NON ?
– Quand tu parles de SMQ, c’est celui de ton entreprise « MACHIN »… OUI ou NON ?
– Quand tu parles de SMQ, c’est celui (existant ou potentiel) des clients de l’entreprise MACHIN… OUI ou NON ?
– Tu veux élaborer un « manuel-type de procédure administratives et comptables en ajoutant la complémentarité Qualité » pour le vendre à des clients ayant un SMQ (ou en projet)… OUI ou NON ?
– Que peut bien vouloir dire « ajouter la complémentarité Qualité » à un « manuel-type de procédure administratives et comptables ? (je ne vois pas lien entre l’administration-comptabilité et la Qualité)
A te lire.
(suite)
Ces « informations documentées jugées nécessaires (par l’entreprise) à l’efficacité du SMQ » mais qui ne sont pas exigées (par la norme) sont celles que chaque entreprise juge nécessaires… Ce sont donc celles que tu veux Marwa !
A+
Hello !
C’est celui qui « fournit » les produits dangereux le long de la cascade fabricants ou importateurs, distributeurs, détaillants… bref les « fournisseurs » doivent étiquetter les ACD… (voir l’intro du document ci-dessous). Mais les utilisateurs doivent aussi étiqueter les produits dangereux s’ils les fractionnent chez eux pour eux-même.
A+
Hello !
Dans son point 7.5.1 la norme ISO 9001 mentionne deux types « d’informations documentées » : d’un part les quelques-unes « obligatoires » qu’elle pointe explicitement dans certains de ses paragraphes (à commencer par exemple par la politique Q qui doit être un e « information documentée » comme le dit le point 5.2.2) et d’autre part celles que l’entreprise jugera elle-même nécessaire de créer pour le bon fonctionnement de son SMQ en plus de celles déjà imposées par la norme.
NB : ISO 9001 nous laisse libre d’organiser et de nommer-définir les différentes pièces du système documentaire de notre SMQ tant qu’on s’inscrit dans son paragraphe 7.5 « informations documentées ».
A+
Hello !
Je ne suis pas de la partie, mais je me hasarde à une réponse à la question d’origine / données d’entrée du processus de prospection. Je vois ces trois types de données :
– Des sources de listes d’entreprises existantes (je ne sais pas ce qui peut exister, au niveau des CCI par exemple ou comme annuaires professionnels présentant un minimum les entreprises d’un secteur géo ou de certaines activités ?).
– Des critères de ciblage des entreprises susceptibles de consommer du stockage de données informatiques (taille, type d’activité, rayon géographique de prospection…?) et donc susceptibles d’être « intéressantes » à prospecter.
– Des occasions de campagnes de prospection comme l’actualisation des sources de listes d’entreprises ci-dessus pour identifier les nouvelles entreprises jamais prospectées, la programmation de salon spécialisés concentrant des entreprises de tel secteurs, la re-prospection périodique d’entreprises « prometteuses » ayant déjà été prospectées il y a tant de temps mais sans succès, des actualités (évolutions technologiques ou règlementaires ?) mettant l’accent sur l’intérêt du stockage de données…?
Qu’en pensez-vous ? A+
Hello !
Ben, comme je ne suis pas sûr d’avoir bien compris je reformule : il s’agit un prestataire de services dans le domaine de l’administration/comptabilité des entreprises, en assurant la création/adaptation/fiabilisation de leur système documentaire d’administration/comptabilité sous la forme d’un « manuel ». Et ce prestataire veut améliorer sa prestation…
Si c’est bien la situation (?)… alors la réponse est simple : ce prestataire a intérêt à se construire et mettre en oeuvre un SMQ sur le modèle ISO 9001 ! Ainsi il maîtrisera mieux sa prestation pour la plus grande satisfaction de ses clients, et l’améliorera même.
Ok ?
