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  • en réponse à : Analyse environnementale et cycle de vie #15872
    Henri
    Participant

      Hello !

      Quelques rebonds :

      1- J’ai du mal à comprendre l’idée de « définir une étape du cycle de vie comme étant un processus » : ma dernière paire de skis de randonnée est de marque Trab. Quand ces skis seront « morts » (dans 10 ans ?), je les jetterai dans une déchèterie (Trab ne les reprendra pas). Comment le rebut de mes skis peut-il être vu comme un processus de l’entreprise Trab ?

      2- La notion de cycle de vie d’un produit est assez pertinente en Environnement (ex : dans son processus de conception d’un produit une entreprise a raison de considérer la problématique du recyclage du « déchet » qu’il sera en fin de vie), mais n’a guère de sens en Sécurité et Santé au travail. 

      3- Pour ce qui est de l’analyse environnementale, la seule référence sérieuse que j’ai c’est la méthodo fournie en annexe du règlement européen « EMAS ».

      A+

      en réponse à : Document HSE #15871
      Henri
      Participant

        (suite)

        Rebonds en attendant de connaître les termes exacts de la demande « des appels d’offres d’entreprises étrangères » en question :

        – De quels pays viennent ces appels d’offres ?

        – Expriment-ils précisément la même demande (ce serait étonnant) ? Tu dois donc avoir plusieurs formulations à nous citer Walid.

        – Si c’est un « document HSE » qui est demandé ce n’est pas la « mise en place » d’un SMS&ST et d’un SME qui est demandée…

        – L’ISO 18001 n’a rien à voir avec le concept de SMS&ST, cette norme traite d’identification par radiofréquence pour la gestion d’objets (techno de l’information).

        A suivre…

        en réponse à : Demande d’information (Diagnostic SST) #15861
        Henri
        Participant

          (suite)

          S’il s’agit d’une entreprise située au Gabon l’outil de l’INRS peut donner des idées mais ne sera pas directement pertinent car il est adapté à la réglementation S&ST française.

          Tu « attends encore le suite de vos éléments de réponses et orientation »… euh… c’est toi qui est en stage, ce n’est pas moi.

          Je peux juste ajouter que la notion de diagnostic sous-entend forcément une sorte de comparaison d’une certaine situation actuelle (la situation de ton entreprise en matière de S&ST si j’ai bien compris) par rapport une une situation « normale » de principe (j’ai dit normale, je n’ai pas dit normative)… Pour faire ton diagnostic S&ST tu dois donc identifier un référentiel « normal » de ton entreprise en matière de S&ST.

          Il y en a un qui s’impose d’emblée, c’est la réglementation gabonaise en matière de S&ST. Ton diagnostic doit donc forcément au minimum confronter la situation de ton entreprise par rapport à cette réglementation nationale. C’est un référentiel obligatoire.

          Tu peux augmenter ton diagnostic en identifiant tout autre référentiel S&ST intéressant (disons des « règles de l’art ») de ton choix, comme par exemple un modèle de système de management de la S&ST. Je te suggère d’utiliser le référentiel ILO-OSH car c’est un excellent modèle, international et gratuit !

          Qu’en dis-tu ? A+

          en réponse à : Document HSE #15860
          Henri
          Participant

            Hello !

            Walid, ta question « c’est quoi le document HSE ? » est incompréhensible car « LE document HSE » ne signifie rien de déterminé sans précision de référence documentaire par exemple ou d’un contexte de ta part… c’est comme si je te questionnais sur « LE document ABC », « LE document SNCF » ou « LE document Bio ». 

            Pour comprendre ta question où as-tu pêché « LE document HSE » ? Est-ce dans un document interne de ton entreprise ? Dans une norme, laquelle ? Dans une émission de radio ? Dans une police d’assurance ? Dans une conférence ? Etc…

            A suivre…

              

            en réponse à : Petite Entreprise , Motivation SST inéxistante #15826
            Henri
            Participant

              Ichack qu’en dis-tu…?

              en réponse à : chapitre du manuel qualité #15821
              Henri
              Participant

                Hello !

                Tu as raison Thaumasia il n’y a pas de débat à avoir sur un « manuel ». C’est pourquoi je ne me suis pas étendu dessus et j’ai ramené Mariesal sur la documentation du SMQ telle qu’exigée par l’ISO 9001 et celle qu’elle induit en complément à l’initiative de l’entreprise.

                Mais à ce sujet essentiel on ne sait pas ce qu’envisage Mariesal.

                A+

                en réponse à : renouvellement de certification #15766
                Henri
                Participant

                  Hello !

                  Ne t’inquiète pas Kenat.hani ce n’est pas toi qui va être auditée, c’est le SMQ de l’entreprise. D’autant que la certification est toujours accordée dans 99,99% des cas et peut-être même plus.

                  Quand tu seras interrogée sur tel aspect en remplacement du « titulaire », répond ce que tu sais (sans « broder » ni en dire plus qu’il ne faut selon la question) et l’auditeur fera la part des choses, surtout pour une très petite entreprise.

                  A+ 

                  en réponse à : Responsabilités pilote de processus/pilote de sous-processus #15725
                  Henri
                  Participant

                    Hello !

                    Lilya, c’est curieux tu rappelles que les notions de macro-processus, processus et sous-processus sont ce que chaque entreprise veut bien considérer, mais tu t’attends pourtant à ce que les responsabilités relatives des « pilotes » ou « responsables » de ces différents niveaux soient définies de manière universelle…

                    Je ne suis pas sûr que ton exemple informatique soit pertinent (hors notion de pilote ou pas) car un process-père et un process-fils exécute chacun des tâches différentes. Alors que généralement il me semble que la notion de sous-processus n’est qu’une manière de simplifier la présentation d’un processus et donnant ensuite des coups de zoom sur tel ou tel… sous-processus…

                    N’empêche que si un sous-processus (ou son pilote si tu lui en donne un) merdoie alors le processus merdoie (et son pilote est fort embêté)… Aussi au fond le pilote d’un processus cumule les responsabilité de tous les sous-processus (ou de tous les « sous-pilotes) composant son processus. Qu’un « pilote de processus » « délègue » les tâches d’une partie de son processus à un « pilote de sous-processus » ne l’exonère pas de la responsabilité de ce bout de son processus.

                    A+

                    en réponse à : QSE #15707
                    Henri
                    Participant

                      Hello !

                      Personnellement et comme je l’ai dit dans mon message précédent je trouve qu’intégrer les « règles », « instructions », « consignes », etc… S&ST et Envt avec les autres « règles », « instructions », « consignes », etc… Qualité dans le déroulé d’un mode opératoire de réalisation du travail est une bonne chose du coté S&ST/Envt.

                      Mais c’est mon point de vue de Préventeur, ce n’est absolument pas le cadre ou une exigence de l’ISO 9001. Par contre ce serait emblématique d’un système de management intégré QSE.

                      A+

                      en réponse à : Casque et EPI chantiers #15698
                      Henri
                      Participant

                        (suite)

                        Ce n’est pas tant une affaire de maturité que de management. Il y a des lustres j’ai travaillé dans une entreprise de microélectronique. En salles blanches il y avait beaucoup de personnel féminin, plutôt jeune et aimant se maquiller. Or il était interdit d’être maquillé pour entre en salles blanches (pour des raisons de qualité oeuf corse). Personne ne dérogeait à cette règle car l’encadrement y veillait de près si besoin. Et c’était pareil pour les EPI (à cause des produits chimiques). La S&ST est un acte de management comme les autres).

                        A+

                        en réponse à : QSE #15693
                        Henri
                        Participant

                          Hello !

                          Slim, il est curieux ou du moins tout à fait inhabituel d’appeler « PV de sécurité/envionnement » des « règles de sécurité et d’environnement » (relatives à la préparation de commande dans ton cas)…

                          Si ta question est donc en réalité « comment intégrer des règles de sécurité et d’environnement dans un mode opératoire de préparation de commande ? », alors bin euh… il n’y a aucune difficulté particulière… Tu pars du déroulé de ton mode opératoire technique (enchaînement tâches A, B, C, D, E… etc) et tu insères les tâches(règles) sécurité ou environnement à chaque tâche technique le nécessitant. Si à la tache A il y a une règle de sécurité opportune pour sa réalisation tu la glisses en tant que préalable dans l’expression de cette tâche A (ex inventé : porter ses chaussure de sécurité dès la prise de poste) et si à la tache D il y a une règle environnement opportune pour sa réalisation (exemple inventé : dans les bacs respectifs trier les déchets d’emballage plastique/carton produits à cette étape) tu la glisses en tant dans l’expression de cette tâche D…

                          C’est une bonne chose d’intégrer ainsi la sécurité et l’environnement aux sein même des modes opératoires de production. Ca permet notamment de former les nouveaux d’une manière « intégrée » (QSE) sans s’occuper d’une hiérarchie des documents qui n’existe pas vraiment ou qui est celle que chacun veut bien en terme de vocabulaire.

                          Slim est-ce que ça répond à ta question ?

                          A+

                          en réponse à : CSPS #15688
                          Henri
                          Participant

                            Hello !

                            Je n’ai pas compris ta formule « Pour l’instant le PGC est géré par un prestataire externe ». Peux-tu expliquer ce que cela signifie ?

                            Autre question : qui est le coordonnateur SPS désigné par le maître d’ouvrage des opérations de bâtiment ou génie civil auxquelles contribue ton entreprise et ses sous-traitants ?

                            A+ 

                            Henri
                            Participant
                              en réponse à : auto-évaluation ISO 17025 vs 2017 #15665
                              Henri
                              Participant

                                Hello !

                                Lecture préalable, cette discussion toute fraîche… http://www.qualiblog.fr/forum/vos-projets-detudes/besoin-dinformations-concernant-la-transition-de-la-norme-17025-de-2005-a-2017/

                                Il n’y a rien de plus facile et de plus pédagogique que de se bâtir une grille d'(auto)évaluation personnelle, plutôt que de prendre la grille de n’importe qui. Je te suggère de procéder ainsi :

                                POUR LE FOND :

                                – Prendre un tirage papier du référentiel en regard duquel on veut mener cette évaluation de notre situation et se munir d’un beau feutre fluorescent jaune de préférence.

                                – Lire et relire attentivement le référentiel pour le découvrir et se l’approprier.

                                – Puis analyser un à un les articles de la partie « exigences » du référentiel, afin de pouvoir identifier et surligner ses exigences significatives (avec le degré de précision qu’on veut bien).

                                POUR LA FORME :

                                – Créer un tableau Excel selon cette structure (suggestion à aménager à ton goût) :

                                Colonne 1 et 2 = N° et titres des articles « exigences » du référentiel, pour se repérer.

                                Colonne 3 = « reformulation ou résumé perso » des exigences identifiées au fluo sur le référentiel papier.

                                Colonne 4 = s’inventer un code de degré de « satisfaction » des exigences (satisfaction qui va être sondée par l’auto-évaluation).

                                Colonne 5 = notes simples sur les éléments étayant l’évaluation de la satisfaction de chaque exigence.

                                Colonne 6 = notes sur des ébauches de perspectives d’amélioration (SVP pas de formulation d’actions d’emblée).

                                Colonne 7 = si tu en veux une… etc.

                                – Et hop partir sur le terrain rencontrer les acteurs de ce qu’on veut évaluer pour les rencontrer et échanger sur leur travail.

                                Qu’en penses-tu ?

                                A suivre…

                                Henri
                                Participant

                                  Hello !

                                  Rebonds sur deux points de ton message :

                                  – « La distinction n’est pas faite entre ce qui est purement S&ST, Environnement ou Technique (Qualité)« 

                                  > Hors SMI XYet/ouZ bien sûr, je confirme qu’il n’est pas question d’telles sources juridiques X, Y ou Z pour la recherche d’exigences qui seraient pertinentes respectivement pour notre SM X, Y ou Z. Je pousse à distinguer l’orientation ou la finalité X, Y ou Z des exigences recherchées pour leur pertinence respective dans un SM X, Y ou Z.

                                  J’espère être bien compris avec ce nouvel exemple à tiroirs : il est plus que pertinent dans le SMQ d’un fabriquant de machines d’identifier dans le code du travail les exigences S&ST concernant la conception/réalisation des machines dans l’intérêt final de ses clients, mais il n’est pas pertinent d’y identifier les exigences d’évaluation des risques professionnels (et document unique) pour son personnel (par contre absolument nécessaires dans son éventuel SMS&ST) ; il est plus que pertinent dans le SMS&ST d’une entreprise de conception de logiciels d’identifier dans le code du travail les exigences d’EvRP et celles visant le travail sur écran dans l’intérêt de ses salariés, mais il n’est pas pertinent d’y identifier les exigences du RGPD (pouvant par contre intéresser ses clients dans son éventuel SMQ).

                                  – « C’est moins évident qu’en S&ST ou Environnement qui ont des codes dédiés« 

                                  C’est sûr, la structuration des réglementations principales* dédiées à ces deux domaines est un facteur qui marque une différence importance avec le domaine de la qualité qui a une moindre culture de la réglementation par conséquent. Ça explique aussi certaines problématiques ou incompréhensions dans les mariages QSE qui de fait sont souvent pilotés par Q, alors que le mariage SE est plus « naturel ». Un autre facteur de différence c’est le concept de risques (ou impacts) faisant partie de la culture des Préventeurs (S&ST ou E) depuis toujours alors qu’il arrive tout juste chez les Qualiticiens en fait.

                                  * ce n’est pas pour autant qu’il faille pour un SMS&ST limiter la recherche d’exigences juridiques S&ST pertinentes au seul code du travail, mais de là à pointer dans ce SMS&ST des exigences juridiques visant les relations commerciales de l’entreprise avec ses clients serait aussi peu pertinent que de pointer l’exigence du document unique dans un SMQ ou un SME.

                                  Merci pour ta réponse Delphine. D’autres avis ou commentaires ?

                                  A+

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