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Oui en effet, je n’en pas retrouvé trace sur internet. Il n’a pas l’air normalisé ni généralisé, je pense qu’il sert sur un secteur très précis..
Si un jour vous le croisez, vous saurez!
C’est un défi que m’a lancé un ancien responsable HSE du secteur aéronautique que de retrouver sa signification.
Verdict :
Il s’agit du pictogramme pression résiduelle, lorsque malgré un appui sur un arrêt d’urgence il peut y avoir encore du fluide sous pression dans les canalisations du fait de l’existence de certains clapets. C’est en place sur les machines pneumatiques, qui doivent redémarrer très vite après des cycles de déclenchement d’arrêt type franchissement de barrières immatérielles.
Voilà!
24 août 2018 à 9 h 37 min en réponse à : Liste des travaux dangereux (Arrêté du 19 mars 1993) #15927C’est embarrassant, cet article peut vraiment être compris de plusieurs façons. Personnellement je ne le lisais pas de cette façon mais après réflexion, c’est cohérent. Néanmoins, je ne comprends pas pourquoi les opérations sur les appareils de levages sont exclues…
Merci pour la traduction !
22 août 2018 à 10 h 20 min en réponse à : Animer une séance de travail sur la description des processus #15923Quand j’ai eu à décrire des processus dans le cadre d’une démarche ISO 9001, j’ai fais plusieurs points individuels avec chaque responsable de processus et certains de leurs acteurs (ce n’était une grosse structure). A mon sens les questions primordiales à se poser sont : quel est le produit final du processus ? quelles en sont les étapes indispensables ? Pour chacune des étapes, quelles doivent être les données d’entrée ? données de sortie ? quelles exigences pour chacunes de ces données ? et surtout existe-t-il des risques ou opportunités pour ce processus ? Quelles actions associées ?
Bien sur cette liste est loin d’être exhaustive. Pour l’être, il faut que tu t’appuies sur les exigences de ton référentiel.
En espérant t’avoir mis sur la piste..
Bonjour Secult,
J’ai un cas de figure similaire : je dois dynamiser la culture HSE d’un service et je compte débuter par un état des lieux via un sondage. T’est-il possible de m’envoyer ton enquête ?
STP
10 février 2017 à 10 h 19 min en réponse à : Présentation des nouvelles exigences ISO 9001 v2015 aux poilotes des processus #13367Bonjour IAC,
Dans le document de la norme, tu as en annexe A des clarifications intéressantes concernant les différences entre 2008 et 2015. C’est assez complet, ça peut constituer une base de départ, après ça ne vaut pas une formation plus poussée. Tout dépend ce que tu recherches..
@+
Ayant débuté sur la 2015, je ne connais pas trop la 2008. Du peu que j’ai parcouru, je ne retrouve pas cette notion de « prestation externalisée ».
Ton retour est quand même très intéressant et me conforte dans notre démarche.
J’aimerais bien cependant avoir aussi des retours d’expériences sur la version 2015.
Je reste à l’écoute.
De nouveau, merci par avance de vos retours.
Merci de ton retour Delphine!
Si je comprends bien, les services du sièges sont décrits comme intégrés à ton organisation et non comme des presta externes. Et avant d’avoir une certif groupe, votre certif était uniquement sur votre agence ? Cette approche a été validée en audit ?
Henri, le domaine d’application est mon agence appartenant effectivement à une entreprise dépendant d’un groupe avec un siège fournissant plusieurs services « supports » courants aux agences.
Henri a déclaré
Hello !François je ne sais pas bien où il y a suremploi de quel mot. JMD, je conçois tout à fait qu’un intervenant s’adapte au vocabulaire de l’une entreprise où il intervient (pour ma part je l’ai toujours fait et pas seulement en tant qu’auditeur). Par contre les « choses » ont des noms et les « mots » ont un sens. Alors il faut employer des mots pour parler des « choses » ou échanger des idées. A propos de ce qu’une entreprise met en place selon la norme ISO 9001 « systèmes de management de la qualité » et à propos de l’audit d’une entreprise sur cette base je ne vois pas bien comment ne pas employer ces mots à l’occasion.
François propose à Annie une certaine démarche d’analyse-recherche des causes de non performance de l’organisation décrite de son entreprise durant l’année écoulée puis de faire un point avec la direction et décider des (bonnes forcément) actions d’amélioration selon la norme ISO 9001. Mais est-ce que cette proposition répond à la problématique d’Annie ? Laquelle au bout d’une semaine de présence dans sa nouvelle entreprise (!) et à deux semaines d’un audit du SMS de cette entreprise (!) demande : « pensez vous que le fait d’élaborer un plan d’actions avec tous les dysfonctionnements et manquements relevés puissent être recevable par l’auditeur ?«
A+
Henri,
Si je fais cette proposition en précisant que -selon moi- elle respecte la démarche ISO 9001, c’est que je pense qu’elle est recevable par l’auditeur !
@+
Au risque de m’écarter du sujet initial mais pour poursuivre dans ce débat intéressant, je pense que la principale raison à cela est que la norme, étant une norme ISO a vocation à s’appliquer à une grande variété « d’organisme », c’est pourquoi les termes employés sont très génériques (système, organisme, informations documentées). Je pense que l’erreur est de réutiliser ces termes au sein d’une structure qui a initialement son propre « langage ». Comme il l’est évoqué en introduction de la norme, elle « ne vise pas à imposer l’utilisation au sein de l’organisme de la terminologie spécifique… » et heureusement car on peut parfois être loin de la réalité..
Bonjour,
cet échange est intéressant et je me permets d’y apporter mon avis :
Je suis d’accord avec JMD pour dire que le « suremploi » du mot système n’a, la plupart du temps, pas une grande valeur ajoutée et peut pour le commun des mortels avoir tendance à rebuter. J’aurais le même constat avec le terme « qualité », constat partagé dans l’agence ou j’interviens. Évoqué de la sorte, cela tend à en faire une matière à part au sein d’un organisme alors que la finalité est qu’elle soit présente au sein de chaque service. A choisir, -mais là encore tout est matière d’interprétation- je parlerai d’organisation, d’amélioration, des termes plus en rapport avec les finalités de la norme. De façon plus général, je suis aussi d’accord avec toi pour dire que le langage professionnel se complexifie de plus en plus quand il n’a pas lieu mais comme tu dis pour faire pro, des mots plus compliqués pour parler de choses simples…
Pour revenir au sujet de départ, le fait qu’un système n’ai pas été suivi pendant une période ne signifie effectivement pas qu’il a été à l’arrêt mais (et pour faire le parallèle avec le débat sur l’emploi du terme système) le terme système décrit bien l’organisation mise en place au sein de ton organisme or, si vous n’avez pas déposé le bilan, votre entreprise a bel et bien fonctionné, ce qu’il faut regarder c’est comment. Il convient donc effectivement d’analyser les performances de ton entreprise pendant cette période pour voir ce qui a bien fonctionné et ce qui a moins bien fonctionné. Si ce qui est décrit dans votre organisation n’a pas été suivi, peut être faut-il se poser la question de sa bonne pertinence. Ne pas oublier que la finalité de la 9001 est l’amélioration de ses performances.
Suite à cette analyse, il convient de faire le point avec la direction et de déterminer les bonnes actions, tournés dans le sens de l’amélioration en cohérence avec la démarche 9001 : non conformité => évaluation/recherche des causes => mise en oeuvre des actions => mesure d’efficacité
Tant que les écarts et les causes sont identifiés et que vous mettez en place les actions, selon moi vous respectez les exigences de la norme.
Mon avis…
@+
Bonjour Annie,
Effectivement, il ne faut pas « tendre le baton pour se faire battre », cela dépend de ton plan d’action mais tu peux tourner la chose en actions d’amélioration pour ne pas faire écho aux dysfonctionnements.
Simple suggestion, à affiner suivant ton contexte.
cdt
Bonjour,
Je relance ce sujet certes un peu ancien mais complètement d’actualité dans mon cas.
J’ai exactement le même cas que toi. Appartenant à un groupe, nous avons des services délocalisés (gestion RH, paie, informatique, recrutement). Nous avons nuancé notre approche suivant les services. Je m’explique :
Le fonctionnement au sein de mon groupe fait que pour certains domaines, il existe des personnes basés au siège qui sont dédiés à la gestion de notre agence. Pour ces domaines, nous n’avons pas « externalisé » l’activité mais au contraire nous l’avons intégrer aux processus de l’agence pour éviter toutes les exigences de la norme liés aux services fournis par des prestataires externes, exigences assez difficiles dans le cas de services du siège!
Pour les domaines différents de ce fonctionnement (au final un seul), nous avons décrit les interactions dans une procédure, définis des indicateurs de surveillance et des moyens de maîtrise.
Pour le moment, nous sommes dans une démarche de mise en place et de préparation avant audit de certif mais pour avoir échanger avec l’auditeur, à priori la démarche conviendrait.
Je serais intéressé d’avoir des retours sur ce sujet, si vous avez des expériences à partager sur ce point.
Stéphanie : Comment as tu gérer ces ressources externes dans ton système ?
Merci de vos réponses !
je rebondis sur ta remarque jmd,
Si l’atteinte d’un objectif entraîne des conséquences néfastes c’est qu’il y a un loupé quelque part.
Les objectifs qualité doivent être définis en étant « pertinent pour la conformité des produits et service… » (6.2.1.d)
De plus, la norme ISO 9001 intègre une approche risque et opportunité. Les actions mise en oeuvre doivent « prevenir ou réduire les effets indésirable » (6.1.1.c)
Il convient de prendre en compte ces aspects lors de l’établissement d’objectifs.
En tout cas, pour revenir au sujet de départ, rien n’interdit d’avoir un indicateur identique sur deux processus tant qu’il est pertinent.
26 janvier 2017 à 13 h 59 min en réponse à : Différence entre les objectifs qualité et les objectifs des processus du SMQ #13282Bonjour Aurela,
Je réponds à tes questions par une autre : pourquoi avoir défini des objectifs de processus?
La norme ne t’en demande pas. Les processus décrivent l’activité de ton organisme (éléments entrée sortie, ressources, interactions, méthode, etc. (point 4.4.1 de la norme)). Tu dois évaluer ces processus, par exemple au travers d’indicateurs, pour au besoin apporter les modifications nécessaires. Tu peux mettre des objectifs sur ces indicateurs pour définir cette surveillance. Dans mon cas, c’est ce que nous avons fait.
Les objectifs qualité, eux, doivent être établis en fonction de la politique de ton organisme (point 6.2.1 de la norme). En gros la politique donne les axes, les objectifs définis vont suivre ces axes. Tu dois ensuite définir et planifier les actions permettant d’atteindre ces objectifs.
En espérant t’avoir aider.
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