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21 avril 2021 à 20 h 54 min en réponse à : Indicateurs du processus conception et developpement #19921
Bonsoir,
Parmi la centaine d’indicateurs possibles et déployés, il y a, par exemple : le respect des délais de conception, le nombre de « recettes » (tests, ok pré-séries…) bonnes du premier coup et ses déclinaisons possibles, le suivi des incidents / dysfonctionnements ayant la conception pour origine, les taux de récupérabilité de conception passées (modularités…), le respect des coûts prévus…
19 avril 2021 à 10 h 26 min en réponse à : Supervision automatique et maîtrise de la production #19895Bonjour,
L’enregistrement des paramètres pertinents ont généralement trois objectifs :
– démontrer que les paramètres assignés ont bien été respectés
– analyser, cas échéant et ultérieurement, les causes éventuelles de dysfonctionnements
– interpréter et comprendre certains phénomènes permettant d’affiner cette assignation de paramètres ou de l’optimiser
Aussi, si votre processus « tourne » sans souci de qualité, de productivité : vous pourriez vous contenter de vous appuyer sur le pilotage (tout en le validant régulièrement) qui est fait. Si, en revanche, vous rencontrez des soucis de qualité (le cas des briques par exemple) : il sera difficile de justifier, face à la difficulté de maîtrise du processus, que l’historisation des paramètres essentiels ne l’est pas… essentielle…
Bonjour,
Lorsque vous vous donnez comme objectif de permettre à un auditeur de ne pas aller voir toutes les fiches de fonction, de quel auditeur s’agit-il ?
Bonjour,
Pour ma part, j’utilise des documents importés en PDF sur un reMarkable 2 et c’est un gain de temps inouï.
Pour la prise de note, des constats, et le check de l’avancement de l’audit, et pour la reconnaissance de caractères à l’import des notes.
Bonjour,
Pourquoi (pour quels objectifs, face à quels constats…) souhaitez-vous améliorer cette capitalisation ?
Quels sont vos processus ?
Quel est le niveau de compétences de vos Collaborat.eurs.rices ?
Bonjour,
Nous sommes effectivement dans cette « période » de prise de conscience et, au travers de plusieurs certifications et labels, nous croisons ces démarches.
Quelles sont les natures d’achats que vous réalisez ?
C’est curieux… un grand nombre de vos messages se sont mis en zone d’attente.
Je valide les derniers…
Non non. Mauvaise compréhension et lecture de ce que j’ai écris. Relisez… Il n’y a pas un seul moment ou j’ai comparé le DU et le PCA. Pas un seul. Vous ne m’en voudrez pas, donc, de ne pas répondre à quelque chose que je n’ai pas avancé.
Mauvaise lecture de mes posts précédents, alors on reprends..
Le document unique est une démarche d’identification et de maîtrise des risques.
Les risques ne sont pas identiques, cela semble pour le peu évident, mais une démarche similaire peut être appliquée aux risques de l’entreprise.
Pourquoi devoir réinventer autre chose que ce qui existe déjà lorsque l’on construit son expérience…
Alors, selon les moyens disponibles, il peut être intéressant d’élaborer un plan de prélèvement de type :
– 1er / dernier + x wagons
– 3 piles / wagon
– analyse (en partant du haut) de la 2ème, milieu, avant dernière couche
Avec enregistrement des paramètres du process pour les comparer ultérieurement aux résultats.
Un bon début statistique…
Petite précision : un plan de continuité d’activité (PCA) n’est pas un plan de sécurisation des risques.
Aussi, n’opposez pas cette « vidéo » elle est proposée en réponse à une approche de sécurisation des risques.
Mais il est certain que, dans une telle situation : poser la question à votre auditeur sera un énorme gain de temps. En outre, dans votre contexte, rien ne s’oppose techniquement à ce qu’une démarche de cette nature soit prise en charge, par exemple, par la fonction qualité.
Il s’git de l’article 6 du décret exclusif n°05-11 du 8 janvier 2005 publié au journal officiel de la République Algérienne. Il n’a pas d’équivalent, me semble-t-il en droit français.
Mais je suppose qu’à minima, dans ce contexte, les compétences doivent concerner les attentes des articles du chapitre II. Tant l’expérience que les diplômes peuvent attester de cela.
Alors, dans un premier temps, il peut être intéressant de faire l’un (contrôle en sortie de four), et de commencer l’autre (enregistrement des paramètres du process).
La capacité à assurer le contrôle qualité au moment de la libération du produit (j’utilise ce terme parce que j’ai lu que vous le maitrisiez) dépendra tout simplement des budgets que vous pourrez y accorder : du coût de la main-d’oeuvre pour « dépiler » les piles de briques et en faire le contrôle.
Dans tous les cas, un contrôle à 100% semble inenvisageable pour des raisons économiques.
Comment les briques « sortent-elles » du four : nombre de wagons, nombre de piles sur un wagon, répartition en longueur et en largeur des piles sur un wagon, nombre d’étages par piles, nombre de briques en longueur et largeur par piles ?
Pouvez-vous facilement enregistrer les principaux paramètres du process juste pour construire la mémoire de l’existant (T°, Pression, granulométrie, Humidité cycle de séchage et de cuisson…) ?
Le document unique, selon sa conception, est une bonne entrée en matière concernant la gestion de risques. Certes, il ne concerne que les risques pour la santé et la sécurité des Collabotat.eurs.rices, mais permet déjà d’acquérir une grande part de ce que sont les dispositions d’identification des risques.
Si la seule raison est que l’entreprise veut s’améliorer, que cette non qualité à toujours été « là » : alors, le renforcement du contrôle n’est pas la meilleure approche et c’est une erreur stratégique que d’y mettre la priorité…
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