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15 juillet 2020 à 11 h 05 min en réponse à : Cycle de certification Qualiopi pour les organismes certifiés en 2020 #18640
Merci beaucoup Charles-David pour cette veille et cette précision importante
Presque…
Au niveau 1 : la cartographie des processus avec l’ensemble du séquencement et des liens (entrée, sortie, contrôle…) SADT entre les processus et dans leur chronologie. Chaque processus peut être décrit à part, mais cela restera au niveau 1. Les processus « appellent » des procédures (attention : un processus peut appeler plusieurs procédures, une procédure peut être appelée par plusieurs processus).
Au niveau 2 : les procédures avec leurs descriptions sous forme de logigrammes (par exemple), pas de SADT ici si vous voulez rendez ce système explicite vis à vis des utilisateurs. Ces procédures peuvent faire référence à des modes opératoires.
Au niveau 3 : les modes opératoires.
Est-ce que cela vous semble plus clair ?
Je peux vous envoyer un schéma illustrant cela, mais il n’est plus possible de placer des documents ici. Je vous laisse « arriver » à me poser la question en direct en remontant par mon pseudo
Oui, cela est possible, avec les précautions suivantes :
– l’approche SADT est intéressante au niveau « le plus haut » (cartographie des processus), et à proscrire ensuite parce qu’intéressante « systémiquement » parlant, mais sans aucune vertu pédagogique ou communicante,
– sauf à être dans une très grande structure, il est approprié de qu’entre le « de-zoom » et le « zoom », les niveaux ne soient que : PROCESSUS / PROCÉDURES / MODES OPERATOIRES (éviter donc les notions de sous-processus et différenciez les principes de « modes opératoires » détaillant une activité d’une procédure et, si nécessaire, « d’instruction d’utilisation » présentant l’utilisation d’un moyen particulier en dehors de la chronologie d’un mode opératoire),
Dans ce cas, mes préconisations seraient les suivantes :
– une description SADT de la cartographie des processus, qui peut alors soit être doublée d’une description des processus, soit être totalement SADT en embarquant, graphiquement, les informations de données d’entrées, de sorties, de ressources, de mesure / surveillance, de procédures nécessaires…
– intégrez au niveau 1 (processus) les niveaux 2 comme de simples « objets », boites, que vous zoomez ensuite et, dans les niveaux 2 et 3 (procédures et modes opératoires), les liens vers les autres niveaux 2 et 3 comme les liens vers des « objets / boites » dans lesquels vous pourrez aller à votre guise.
– et, comme je vous l’ai conseillé : pas de SADT au niveaux 2 ou 3, ou alors… uniquement les données d’entrées et de sorties et les contrôle. Mais même là, au delà de la beauté de la chose, le résultat risque d’être un frein à son déploiement pédagogique.
Qu’en pensez-vous ?
Bonjour,
Selon votre description, le principe ne sera pas de « faire glisser » des processus dans une machine (cela est d’ailleurs rarement le cas). Je vous conseille de ne pas voir un système de management comme « quelque chose que l’on glisse dans l’existant », mais plutôt comme « une rationalisation de l’existant permettant de déployer des dispositions de pilotage de la performance ».
Ainsi, les deux éléments qui me paraissent essentiels dans votre contexte sont :
[1] la définition de la structure d’organisation de votre société : c’est à dire, l’identification des processus déjà en place et, cas échéant, l’éclaircissement des processus « flous » ou nécessaires mais non définis. C’est à partir de cette base que vous décrirez, dans un second temps, votre organisation et la documentation qui la sous-tendra.
[2] l’identification de votre premier référentiel cible : la définition de vos premières exigences « modèles ». Ainsi, votre approche est intéressante de lier ISO, Lean, Cobit et ITIL. Mais vous risquez de vous perdre à vouloir associer 4 référentiels qui ne portent pas sur les mêmes périmètres, les mêmes démarches et les mêmes « objets » de votre organisation.
Votre propos de retenir le meilleur de chacun est effectivement une approche très intéressante, simplement : il faut donc sélectionner ce « meilleur de chacun ». A cette fin, il est nécessaire dès à présent de croiser ces 4 référentiels, de sélectionner précisément les items, principes et exigences que vous souhaitez maîtriser sur cette première phase de votre démarche et, ensuite : de les croiser avec les processus afin de construire votre plan d’action à l’échelle de l’organisation.
Alors, et alors seulement, le formalisme sous l’aspect d’un manuel qualité (manuel de management, PSSI…) aura véritablement du sens.
Je résume donc : [1] identifiez vos processus, [2] sélectionnez vos exigences, [3] planifiez votre déploiement en croisant les deux premiers.
Bonsoir,
Pourriez-vous nous en dire plus sur votre contexte : vous développez quels types de logiciels / applicatifs / solutions ? Quels sont vos typologiques de clients ? Combien êtes vous dans votre entreprise ? Quelle est l’age de cette entreprise ?
Et… vous bloquez sur « quoi » en ce moment ?
Cordialement,
8 juillet 2020 à 22 h 50 min en réponse à : Cycle de certification Qualiopi pour les organismes certifiés en 2020 #18628Bonsoir,
En fait… non… l’Ordonnance n° 2020-387 du 1er avril 2020 portant mesures d’urgence en matière de formation professionnelle proroge, entre autres choses, la nécessité de certification RNQ d’une année (non plus en janvier 2021 mais en janvier 2022).
Il n’est pas prévu de porter la certification à 4 ans.
Attention : pour cet organisme, il y a deux ou trois curiosités dans ce qui est affiché sur leur site et qui ne correspondent pas aux exigences de l’Arrêté du 6 juin 2019 relatif aux modalités d’audit associées au référentiel national mentionné à l’article D. 6316-1-1 du code du travail. Curieux…
Bonsoir,
Vous avez entièrement raison et votre entreprise également : l’analyse SADT n’est pas appropriée dans le cadre de la description agile, pragmatique et pédagogique d’un logigramme dans votre contexte.
Elle est plutôt utilisée dans le cadre d’une analyse fonctionnelle, d’une approche système complexe avec de nombreuses interactions.
Dans ce cas, à moins que votre entreprise ne fabrique la prochaine navette destinée à poser des humains sur Mars : la proposition de votre tuteur est loin d’être opportune.
Aussi, vous pourriez peut-être adapter cela ainsi :
– une description des procédures comme vous vous apprêtiez à le faire (logigrammes « simples »)
– et un exemple de l’une de ces procédure avec un comparatif « classique » / « SADT » afin d’identifier les avantages, les inconvénients et l’adhésion que cela remporte en interne… ou pas.
Bonsoir Hayet,
Si vous faites référence à la carte d’auditeur IRCA, la nécessité de la détenir dépend de ce que vous souhaitez faire.
S’il s’agit d’audits pour le compte d’organismes certificateurs, cela va dépendre des organismes et il vous faut vous renseigner auprès d’eux.
S’il s’agit d’audits pour le compte de vos clients, cela dépend des critères qu’ils appliquent dans la sélection de leurs auditeurs internes. Assez peu d’entre eux demandent (et savent qu’elle peut être demandée) la carte IRCA.
Bonjour,
Oui, pour les deux référentiels.
Que souhaitez-vous savoir ?
29 juin 2020 à 22 h 54 min en réponse à : grille d’auto evaluation ISO 45001, tableau de bord avec les indicateurs de performance #18567Nous ne sommes finalement d’accord que sur un point : restons positifs !
Aussi curieux que cela paraisse : « diag / planning » n’est pas toujours une approche adaptée.
Mais bon… attendons une question et surtout un contexte spécifique pour vous le démontrer.
I think the question was not about the definition of impartiality, but how to measure that impartiality when it is expressed as a policy…
29 juin 2020 à 12 h 09 min en réponse à : grille d’auto evaluation ISO 45001, tableau de bord avec les indicateurs de performance #18561Hé bien justement… non…
Je ne crois pas avoir vu de réponses standard de démarches sur YouTube. Des explications de concepts avec prise de recule selon les contextes, des apports d’outils qu’il appartient de décider d’employer ou non, des réponses à des questions qui méritent des mises en perspectives: oui.
Mais aucune démarche standard.
C’est la raison pour laquelle j’ai émis ce précédent commentaire. Selon l’organisation, la culture, les difficultés, la dimension, l’expérience, la maturité, les ressources en place… et d’autres facteurs encore : la stratégie de déploiement d’un système n’est pas la même, elle peut parfois être totalement différente. Et même : une stratégie « modèle » peut s’avérer parfaitement contre-productive.
23 juin 2020 à 10 h 12 min en réponse à : grille d’auto evaluation ISO 45001, tableau de bord avec les indicateurs de performance #18558Bonjour Henri,
Je continuerais à minorer les réponses faites des mêmes copier / coller à la virgule près et, oui, j’assume parfaitement le fait de minimiser les réponses « standards » identiques depuis des années.
Vous avez, je l’ai déjà vu et lu, plus de finesse que cela : faisons-en profiter les autres, sinon une simple FAQ apporterai les mêmes services…
22 juin 2020 à 12 h 20 min en réponse à : grille d’auto evaluation ISO 45001, tableau de bord avec les indicateurs de performance #18556Bonjour Henri,
Ce que je minore : ce sont les réponses « standard » faites en dehors de la compréhension d’un contexte à partir du même copier / coller que vous déposez régulièrement à ce genre de questions.
C’est un bon début généraliste : mais c’est insuffisant en dehors d’un contexte qu’il est important d’investiguer, et, selon ce contexte, ces percepts peuvent s’avérer totalement inadéquats.
Aussi, un minimum de prudence est requise avant de poster un pavé généraliste en guise de réponse.
19 juin 2020 à 11 h 02 min en réponse à : grille d’auto evaluation ISO 45001, tableau de bord avec les indicateurs de performance #18551Dans ce contexte effectivement, et quels que soient les approches déployées des dizaines de fois (probablement dans des contextes 10 fois identiques, dans 10 fois le même pays et certainement 10 fois les mêmes typologies de personnes…), il est important de définir la stratégie qui conviendra à votre projet.
Aussi, nous pourrons vous en dire plus avec ces quelques précisions :
– quelle est la nature de votre stage ?
– combien de temps dure votre stage ?
– quels objectifs avez-vous concernant l’ISO 45001 pendant et à l’issue de votre stage ?
– quelles connaissances / expériences avez-vous de ce référentiel ?
– quelles sont les activités de votre entreprise ?
– dispose-t’elle déjà d’un système de management (d’une certification peut-être) sur un autre référentiel ?
– dispose-t’elle déjà d’une culture « sécurité » sous une forme, ou une organisation, ou une autre ?
– quelle est la structuration des acteurs sécurité au sein de cette entreprise ?
Pour… commencer…
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