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15 septembre 2014 à 14 h 08 min en réponse à : prévenir la panne de matériel de laboratoire: identifier des solutions de secours #11612
^^
de rien.
(de fait, si l’emplacement est galère, un système type batterie serai effectivement mieux adapté. A voir par rapport aux critère suivant: place/risques (santé/sécurité des biens et des personnes)/consommation des congélateurs/durée de vie des batteries (coût et budgetisation à long terme)).
Bon courage!
15 septembre 2014 à 13 h 44 min en réponse à : prévenir la panne de matériel de laboratoire: identifier des solutions de secours #11610Mes connaissances sont limités en la matière mais:
je ne prendrais pas les modèles à batterie car:
-manque de puissance
-manque d’autonomie
-en cas de panne « longue durée » les possibilités de rechargement sont quasi nulles
-les batteries peuvent générer une ATEX avec tout ce que cela induit.
Pour les modèles fioul/essence/diesel, les rejets de CO2 sont très importants. il est donc nécessaire de les laisser en extérieur (attention aux vols) ou dans un lieu très très aéré. (en général, il sont dans des cabanons cadenassés collés à l’entreprise)
Le gros avantage c’est qu’en cas de panne longue durée, il est très facile de refaire le plein. Ça pollue, c’est énergivore, mais ça dépote et ça se trouve n’importe où.
mril a déclaré
Adeline a déclaré
je repète ma question :
quel est ton besoin ? quel objet de ce plan ?salut ma cher adeline,
j’aime bien que vous m’aidier par des documents sur les pratiques opérationnelles environnement à travers les fiches de reflexes comme fuite d’ammoniac ai niveau des pompes , déversement de l’acide nitrique dans le sol , émission des NOX dans l’atmosphere.
merci , j’attend votre réponse ma che
Salut,
Je te conseille de faire un nouveau topic plutôt que de demander sur des anciens.
A+
15 septembre 2014 à 8 h 45 min en réponse à : prévenir la panne de matériel de laboratoire: identifier des solutions de secours #11607salut,
Si il y a deS congélateurs, il est très très peu probable qu’ils tombent en panne tous en même temps.
Le seul risque est une panne d’alimentation électrique générale =>Groupe électrogène de secours à demeure sur le site // dispo en un laps de temps très court (avant que la température ne remonte trop) (solution type loxam/kiloutou) avec les moyens de raccordements déjà préparés.
Bonjour,
J’ai peur que mes propos aient étés mal interprétés. J’utilise les deux outils cités (Codit et abonnement JO), ils ont l’avantage certain d’être gratuits et exhaustifs, mais uniquement en ce qui concerne le code du travail.
Ils ne peuvent donc pas constituer les uniques éléments d’une identification de la réglementation applicable (S). Si je prend mon cas particulier j’ai: code du travail / convention collective / réglementation locale spécifique (diffère suivant les sites d’activité).
Pour ce qui est de l’environnement, c’est le même problème. le code de l’environnement, ne suffit pas.
En ce qui concerne la qualité, c’est lié au produit/prestation de chaque entreprise (réglementation CE, réglementation applicable à tel ou tel produit,…). la veille peut passer par les organisations professionnelles de branche d’activité (souvent bien informées, lobbying oblige).
@polo:
Bonjour,
Le sujet n’est pas uniquement S mais HSE, le cod it ne couvre « que » le code du travail.
Les entreprise sont soumises à d’autres réglementations applicables (ICPE, code de l’environnement, Convention collective, accord de branche, …).
Bonjour,
Si vous avez des problèmes avec ce fournisseur, et qu’il n’accepte d’audit de votre part qu’en étant payé => étudiez la possibilité de vous fournir ailleurs (ce que je ferais directement pour ma part).
Cela ne sert à rien de se braquer avec un fournisseur et lui imposer un audit, comme l’explique Ito.
L’audit client n’est pas une perte de temps mais une opportunité, pour le fournisseur, de réduire ses NC et d’améliorer son relationnel client (fidéliser, améliorer l’image, prospecter sur d’autres produits/prestations,…).
1 audit par an et par fournisseur/Sous-traitant? c’est, je pense, une fréquence qui peut et doit être modulée en fonction de l’impact de ce ST/fournisseur sur la qualité et la satisfaction de vos clients ET des non conformités (internes comme externes) dont il partage la responsabilité.
Par exemple, pour une entreprise de BTP
– 1/an pour le fournisseur de parpaing (si il fait l’objet de NC) 1 tous les deux/trois ans si pas de NC
– 0/an pour le fournisseur de stylos billes
Bonjour,
c’est très binaire: conforme au exigences normatives / non conforme aux exigences normatives
le reste, c’est du subjectif.
D’une entreprise à l’autre, et suivant la manière dont le système qualité est construit, tu peux passer de 2/3 pages à une 20aine. Les deux seront conformes (des éléments inclus dans le manuel qualité par certaines entreprises, peuvent etres inclus ailleur par d’autres), mais, de fait, il est difficile de les comparer.
Si il existe une possibilité d’occurrence du risque: Oui, il doit ressortir dans l’analyse. (en cas d’analyse trop légère, la responsabilité de ton entreprise risque d’être mise en avant en cas d’incident/d’accident)
je n’ai pas de document de ce type sous le coude mais,
le document ci dessous n’est pas, à proprement parlé, un exemple machine, mais ce travail regroupe, à mes yeux, tout les éléments requis:
J’ai rencontré exactement la même problématique (et je me suis arraché les cheveux).
J’ai passé pas loin d’une semaine pour sortir 10 fiches d’expo (uniquement pour récupérer le nombre d’heure par personnes et par poste, en prenant en compte la météo à leurs heures de travail)
Il est clair qu’avec ce texte, on marche sur la tête. quel que soit la taille de la structure, les difficultés d’application sont énormes.
Merci pour cette magnifique publicité complètement inutile et non constructive sur un forum de ce type
salut
1/ la conformité réglementaire passe par:
a- L’identification de l’ensemble des textes potentiellement applicables
Comment trouver TOUS les textes potentiellement applicables?
Comment vérifier cette exhaustivité?
b- La vérification de la conformité de l’entreprise
Comment être sur d’avoir bien interprété un texte?
Comment vérifier qu’il n’y a pas eu de ratés ?
c- la tenue à jour de la veille réglementaire ET de la conformité de l’entreprise (qui peut évoluer/se développer)
Comment assurer une veille régulière, exhaustive et rapide?
la partie c reste la moins problématique si la a et la b ont été bétonnées.
2/ Pas mal d’item (tous?!) concernant la communication QSE sont cadrées par des certification et/ou réglementairement. Pour ce qui est de l’efficacité/l’efficience de la communication, pour le mesurer, il faut des indicateur et donc du factuel (complexe sur la compréhension d’une communication et d’autant plus pour de l’externe).
3/ @ Delphine: les fiches à sortir étant individuelles et nominatives, avec une comptabilisation en heure d’exposition oblige à travailler de manière individuelle.
Perso j’ai procédé de la manière suivante (exemple):
-Pour le poste de travail « Bureau » , j’ai 50% du temps en « posture pénible » (travail sur écran)
-Pour le poste de travail « machinerie », j’ai 80% du temps en « bruit »
pour Bernard, chef d’équipe, sur l’année 2013: 500H de bureau et 100H de machinerie => 250h de posture pénible et 80h d’expo au bruit
Mes résultats sont approximatifs (très souvent basés sur une estimation du temps passé à tel ou tel poste X une approximation de la durée d’exposition à un facteur dépassant une valeur que j’ai fixé dans un référentiel interne), mais faute d’outils et méthode plus adaptés, cela fonctionne.
@Dey: Méfiance avec ce sujet: les décrets explicatifs fixant les seuils pour l’évaluation des facteurs de pénibilité ne sont (ne seront ??? ils devraient être disponible depuis un moment déjà) pas publiés et rendent donc caduque la mise en application début 2015.
Si tu prend cette thématique, tu risque de voir la base de ton travail être modifiée en cours de route (il est possible aussi que cela ne rentre jamais en vigueur avec un lobbying efficace).
Salut,
comme ton équipement peu aller jusqu’à 40kHz, même si les réglages sont calés à 20kHz, par sécurité je prendrais un appareil permettant de couvrir jusqu’à 40 kHz (pour identifier des dysfonctionnement/mauvais réglages)
salut,
Ma problématique, qui actuellement me prend un temps considérable:
– La complexité et la multiplicité des textes réglementaires applicables pour les entreprises
Code du travail, convention collective, accord de branche, réglementation régionale, locale, spécifique à certain sites … plus la jurisprudence qui s’y rapporte.
Faire le point sur ce qui est applicable pour une structure requière énormément de temps et d’énergie (trop?).
d’autres thématiques:
– le facteur humain dans la réussite d’une communication QSE (comprise/appliquée)
– L’évaluation des facteurs de pénibilité (si les textes sortent un jour)
Bonjour,
cela te coûtera moins cher de faire appel à un prestataire que d’investir dans du matériel (3 à 5000€) si c’est pour une mesure ponctuelle.
les fréquences des US commencent à partir de 16kHz (le seuil de l’audible monte jusqu’a 20kHz) , c’est pourquoi l’appareil doit mesurer des gammes de fréquence largement supérieures.
Par contre, étant donnée que ta machine est en fabrication interne, tu n’a pas les données relatives aux fréquences de la partie US, cela t’aiderai a déterminer les caractéristiques de ton appareil.
Idéalement: fréquence: 0/30Hz en min; 60 kHz ++ (mais ne couvre pas tous les US, idéalement vise la valeur donnée par le bureau d’étude + marge de sécurité)
de classe 1 pour une précision accrue
valeurs max: 140 dB(C) et 120 à 130 dB(A)
avec enregistreur, les données sauvegardées pouvant servir de justificatif.
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