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15 sujets de 991 à 1,005 (sur un total de 2,029)
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  • en réponse à : Veille réglementaire #14889
    Henri
    Participant

      Hello !

      Gestion et Sabah, SVP pourriez-vous préciser :

      – Grosso modo en quoi consiste concrètement pour vous un processus de “veille règlementaire” ?

      – En réponse à quelle éventuelle exigence normative identifiée vous envisagez de définir ce processus ?

      – Pour quel pays vous voulez pratiquer cette veille ?

      A suivre…

      en réponse à : mise en place d’un SMQ ISO14001 #14888
      Henri
      Participant

        Hello !

        Le problème S.lachheb c’est que ISO 14001 n’est pas un modèle de SMQ, mais un modèle de SME. Comparer des normes de SM permet de mettre en évidence leurs points communs ainsi que leurs différences. Avec le nouveau standard “HLS” des normes ISO de SM les points communs coulent de source, restent les différences… qui font toute LA différence entre le management de l’Environnement et celui de la Qualité ! Ces deux disciplines sont distinctes, même si ISO 14001 et ISO 9001 ont la même structure. Du coup il va falloir que ton entreprise creuse la compétence “E”.

        Pour répondre à ton 1er besoin je te propose de penser à ton “projet” (le mise en place et en oeuvre d’un SME) et donc d’opter pour une approche “conduite de projet” selon les grandes lignes suivantes valables quelque soit le domaine de management “X” visé (et validées par certaines expériences personnelles) :

        – Organiser d’emblée l’intégration du modèle normatif de SMX dans l’entreprise en mode “conduite de projet” (c-à-d une petite équipe projet, un budget, un planning d’actions, de la comm, etc… à la maille de l’entreprise). Ce qui nécessite une décision et un suivi de la part de la direction…d’autant qu’elle aura aussi des tâches à réaliser en cours de projet. 

        – Commencer par une découverte-compréhension-appropriation des exigences du modèle normatif de SMX par l’équipe projet en se faisant un atelier de lecture au minimum, voire une formation sur la norme et le SM, et/ou à l’occasion du point suivant. 

        – Faire de toutes façons un état des lieux initial des pratiques actuelles de l’entreprise dans le domaine X sous la forme d’un véritable “audit” en utilisant la norme de SMX comme “référentiel d’audit”… (disons qu’on fait un audit du SMX “natif” de l’entreprise, car l’entreprise manage déjà plus ou moins le domaine X). 

        – Ce audit permet d’identifier ce que l’entreprise fait déjà de correct “sans le savoir” (à entériner par le projet), ce qu’elle fait mais pas correctement (à ajuster par le projet) et ce qu’elle ne fait pas encore mais devra faire pour être en accord avec la norme de SMX utilisée (à créer par le projet)… 

        – Cet audit nourrira l’élaboration de sa feuille de route (identification et planification des tâches nécessaires à la structuration et la mise en oeuvre du SM = planning avec responsables et jalons), surtout si l’entreprise a les moyens de faire réaliser cet audit par un consultant compétent en SMX en prévoyant au CdC qu’il le mène accompagné de la petite équipe projet (ce sera la formation minimum ou le complément de formation de l’équipe projet / norme SMX). 

        – Planifier et réaliser les tâches ainsi identifiées pour construire le SMX en associant les acteurs des principales fonctions concernées par les processus X à consolider ou créer, et lancer ainsi peu à peu le SMX avec leur participation. 

        NB : mettre correctement en place et en marche un SMX prend raisonnablement une année environ.

        Pour répondre à ton 2ème besoin, il suffit de contacter un organisme certificateur de ton choix et de lui passer commande d’un audit de certification quand tu penseras que ton SME est prêt (quand ton SME sera complet et disons qu’il aura “tourné une fois”).

        Qu’en penses-tu S.lachheb ?

        (Bernard, le lien que tu proposes date de la précédente version de l’ISO 14001 et ne comporte en fait qu’une page répondant au 1er besoin de S.lachheb)

        A+

        en réponse à : [ITIL] Indicateurs pour le processus des problèmes #14857
        Henri
        Participant

          ;)

          en réponse à : Revue de direction #14856
          Henri
          Participant

            Les attaques personnelles continuent… Une analyse de ton erreur serait plus pertinente. A+

            en réponse à : Revue de direction #14853
            Henri
            Participant

              Thaumasia je comprends, les attaques personnelles te sont plus faciles que de t’expliquer sur ton erreur de compréhension de l’ISO 9001 qui t’amène à dire que le DUER serait une exigence réglementaire à identifier au titre d’un SMQ. Je crois que je vais devoir attendre un certain temps que tu expliques ou corriges cette erreur. A+

              en réponse à : indicateurs des objectifs –URGENT– #14852
              Henri
              Participant

                (suite)

                Le cas est vraiment capilotracté (on est d’accord et tu aurais pu en prendre un plus réaliste). Multiplier les indicateurs de santé pourrait plutôt convenir à un objectif global du genre “vivre sa vieillesse en bonne santé”. Et la santé étant multi factorielle cet objectif global peut être servi par une série d’objectifs d’une formulation générique du genre “maintenir tel critère biologique dans la gamme valeur normale”. Ces valeurs ou critères étant autant d’alarmes de risques compromettant l’objectif global. Mais aucun des indicateurs “taux de cholestérol”, “tension”, “transit intestinal”, etc…. n’est en soi un indicateur de tenue de l’objectif “vivre sa vieillesse en bonne santé”. Et, sauf à se définir un indicateur composite de ses divers indicateurs fractionnés, je ne vois aucune indicateur possible pour rendre compte de la réalisation de l’objectif de vieillesse en bonne santé.

                La discussion illustre peut-être la problématique de la formulation d’un objectif… mais je ne vois toujours pas de proposition illustrant correctement un ças “1 objectif <=> plusieurs indicateurs”.

                A+

                en réponse à : [ITIL] Indicateurs pour le processus des problèmes #14851
                Henri
                Participant

                  Le partage dans un forum, c’est dans le forum, pas sur le site d’un consultant… (sauf si celui-ci plutôt que d’aspirer les membres  d’un forum ouvre son propre forum). C’est juste une question d’éthique Thaumasia. Tu es en train de faire le coucou dans le nid d’un autre. A+

                  en réponse à : [ITIL] Indicateurs pour le processus des problèmes #14846
                  Henri
                  Participant

                    Du rabattage systématique de prospects vers le site d’un consultant… ce n’est pas vraiment la finalité d’un forum internet. A+

                    en réponse à : INTERACTION ENTRE LES PROCESSUS #14845
                    Henri
                    Participant

                      Hello !

                      Même genre de réponse que celle de Thaumasia (il n’y a aucune “obligation” particulière induisant telle formalisation des interactions de processus plutôt que telle autre).

                      A+

                      en réponse à : indicateurs des objectifs –URGENT– #14844
                      Henri
                      Participant

                        Hello !

                        Thaumasia ton alerte pourrais être intéressante si tu l’argumentes et si tu l’illustres par un exemple d’école, sinon ce n’es qu’une affirmation spectaculaire mais gratuite. Peux-tu essayer de l’expliquer ?

                        A+

                        en réponse à : Revue de direction #14843
                        Henri
                        Participant

                          (Suite)

                          La différence entre nous, c’est que je justifie mes arguments sur la base du référentiel en question, alors que toi tu esquives les objections. Quand on a fait une erreur il est plus sain de la corriger que de l’éluder ou la nier.

                          Et si un auditeur pointe une NC sans la justifier en regard du référentiel d’audit alors il ne fait pas du tout son boulot.

                          A+

                          en réponse à : Revue de direction #14837
                          Henri
                          Participant

                            Hello !

                            Thaumasia si je ne suis pas un spécialiste de la Qualité (mais un professionnel de la S&ST), pourtant depuis le temps je suis au moins autant que toi un spécialiste du concept de SM, ce qui me permet en terme de compréhension des modèles normatifs d’être souvent pertinent non seulement en SMS&ST mais aussi SME et SMQ (notamment sur la base de mes expériences de SMI).

                            Je ne t’interdis rien, j’alerte nos lecteurs sur ta grave erreur d’interprétation maximaliste de l’exigence ISO 9001 d’identification des exigences légales et églementaires. Depuis un certain moment, dans des discussions sur la compréhension des modèles de SM, je me demandais si tu n’avais pas plus à coeur de faire part de ta conception toute personnelle des SMQ que d’aider nos collègues à lire et comprendre l’ISO 9001. Mais cette fois c’est clair tu interprètes la norme à ta guise et à l’encontre même de ses exigences. Toutefois il arrive assez souvent que des Qualiticiens aient des vues impérialistes sur d’autres domaines de management que celui de leur spécialité, par exemple en prétendant par des chemins tortueux manager “par la Qualité” d’autres responsabilités d’une direction, mais c’est une autre histoire.

                            Les exigences ISO 9001 sont toutes à prendre selon la finalité d’un SMQ c’est à dire pour et autour des produits et services délivrés aux clients en visant leur satisfaction optimale. C’est même souvent rappelé dans ses exigences et typiquement en ce qui concerne notre désaccord dans son art 8 .2.2 qui exige explicitement notamment de définir “les exigences relatives aux produits et services”  y compris” “toutes exigences légales et réglementaires applicables”… C’est clair les exigences légales et réglementaires sont celles relatives aux produits et services pour nos clients. Dire que cela inclue par exemple le DUER est une énormité ! Mais tu peux toujours tenter de m’expliquer par quel mystérieux détour le DUER exigé par le code du travail rentre dans ce créneau…

                            Compte tenu de la présence de cette même exigence d’identification des exigences légales et réglementaires dans n’importe quelle modèle normatif de SM comment peux-tu soutenir par conséquent qu’à l’occasion de n’importe quel SM visant le domaine X on retiennent toutes les exigences réglementaires de n’importe quel autre domaine de SM ?

                            Désolé mais tu marches sur la tête sur ce coup Thaumasia. Et si un auditeur reproche à un SMQ de ne pas comporter de DUER ou de ne pas avoir identifier cette exigence réglementaire ou toute autre relevant d’un SMS&ST d’un SME alors il t’emboîte le pas… Ah si un auditeur avait oser pointer une telle NC Qualité chez nous… il l’aurait bien vite avalée car totalement incapable de la justifier! 

                            D’autres avis ? A+

                            en réponse à : [ITIL] Indicateurs pour le processus des problèmes #14836
                            Henri
                            Participant

                              Hello !

                              Même remarque que Thaumasia sur l’originalité de ce processus.

                              Curiosité (du point de vue de l’interaction des processus dans un SM) : mais alors Qualitech l’existence de ce processus “gestion des problèmes” voudrait-elle dire que les autres processus ne sont au fond pas en charge de traiter leurs “problèmes” ?

                              A+

                              en réponse à : indicateurs des objectifs –URGENT– #14835
                              Henri
                              Participant

                                Hello !

                                Euh… Delphine c’est toi qui d’emblée a découper ton objectif clients en sous objectifs par type de clients ayant chacun son indicateur. Mais je suis d’accord avec toi, la direction est libre de viser un objectif “satisfaction des clients au global” et un autre “satisfaction des clients par type”. Néanmoins on a toujours “1 indicateur par objectif”…

                                Je n’ai pas d’approche purement “mathématique” des indicateurs je ne fait qu’utiliser le M de SMART ou pratiquer l’adage qu’on ne peut améliorer qqchose que si on peut la mesurer.

                                Beaucoup de paramètres caractérise un être vivant, néanmoins il n’y a qu’un indicateur qui montre qu’on a atteint ou pas l’objectif d’être en vie à 100 ans : c’est d’être en vie ou mort à cet anniversaire… Raisonnement par l’absurde sur ton exemple : tu peux suivre 50 indicateurs de santé et les avoir tous au vert à ton anniversaire de 99 ans et mourrir le lendemain sans atteindre ton objectif dont le seul et unique indicateur est “vivant / non-vivant à 100 ans”.

                                PS : je ne vois pas en quoi le nombre de questions d’une enquête de satisfaction clients intervient dans le débat du nombre d’indicateurs par objectif. Si on pose plusieurs questions dans une telle enquête c’est par exemple qu’en plus de vouloir simplement déterminer le taux de satisfaction des clients, on cherche par exemple à mieux comprendre les causes du mécontentement de ceux qui sont mécontents, c’est tout.

                                A+

                                en réponse à : Revue de direction #14831
                                Henri
                                Participant

                                  Hello!

                                  Alors là les bras m’en tombent… Je n’ai jamais croisé quelqu’un prétendant qu’un modèle normatif de management du domaine “W” exigeant d’identifier les exigences légales applicables visait tous les domaines légaux “X, Y, Z…) au-delà du domaine X en question ! Identifier les exigences légales dans le cadre d’un SMQ ISO 9001 ne concerne que celles relatives aux relations de l’entreprise avec ses clients ! Celui qui irait chercher aussi toutes les exigences des réglementation de l’aviation civile, de l’environnement, de la sécurité routière, de la construction et de l’habitat, sécurité et santé au travail, de la navigation, du parimoine… n’a vraiment rien compris.

                                  Lecteurs de ce forum, oubliez cette interprétation complément erronée et ahurissante de l’ISO 9001 selon Thaumasia. Les exigences réglementaires d’EVRP et plus généralement de la partie IV du code du travail n’ont rien à faire dans l’identification des exigences réglementaires du domaine Qualité…

                                  Les seuls cas d’identification croisée si j’ose dire sont spécifiques et leur champ limité. Eexemple : en mode ISO 9001 un fabricant d’EPI va effectivement aller chercher dans le code du travail quelles obligations réglementaires concernant la conception, la fabrication et la mise sur le marché de ces équipements dans le le code du travail. Mais en mode ISO 45001 c’est une erreur d’aller chercher dans le code de l’environnement des exigences réglementaires relatives à la déclaration des ICPE. etc…

                                  A+  

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