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  • en réponse à : Démarche de certfication ISO 17025 V2017 #16124
    Henri
    Participant

      Hello !

      Si je comprends bien (en te lisant entre les lignes) ton entreprise a déjà adopté et pratiqué les exigences ISO/CEI 17025 concernant la compétence des laboratoires d’étalonnages et d’essais et souhaite maintenant se mettre à jour avec leur version 2017. C’est bien ça ?

      Alors rassure-toi ça devrait bien se passer puisqu’il s’agit « juste » d’une transition comme tu dis. C’est naturellement moins lourd qu’une première adoption de ce référentiel. 

      J’ai deux questions : combien de temps dure ton stage ? et quelle différence fais-tu entre « mettre en place la nouvelle version 2017 » et « assurer le plan de transition entre les version 2005 et 2017 » ? Moi il me semble que c’est la même chose.

      Mais voici ma réponse de principe à ta question, je pense qu’il faut adopter une approche « projet » (c-à-d prévoir une petite équipe projet, un budget, un planning d’actions, de la comm, etc… selon la taille et les ressources de l’entreprise). Ce qui s’appuie sur une décision et un suivi de la part de la direction… bref un certain engagement de sa part (pour éviter l’approche « c’est le truc du stagiaire »). 

      1- Commencer par une découverte-compréhension-appropriation des exigences de la norme dans sa version 2017 par l’équipe projet en se faisant un atelier de lecture au minimum, voire une formation sur la norme et le SM (et/ou à l’occasion du point suivant). 

      2- D’une manière ou d’une autre (travail d’analyse comparative par l’équipe ou recherche d’un comparatif crédible éventuellement dispo sur internet) identifier toutes « nouveautés » ou « disparitions » de la version 2017 (ce que l’entreprise doit adopter)  par rapport à la version 2005 (ce qu’elle pratique déjà). Ce sont ces « variations » que le projet devra mettre en musique dans l’entreprise…

      3- Cette identification précise permet l’élaboration de la feuille de route de l’équipe projet (identification et planification des tâches nécessaires à la conception et la mise en oeuvre de la « transition » 2005/2017 (= planning des tâches avec responsables et jalons). 

      4- Superviser/concevoir/réaliser les tâches ainsi identifiées pour produire la transition voulue AVEC les acteurs concernés par les évolutions nécessaires… 

      Au préalable, à ton arrivée en stage, il faut que tu puisses bénéficier d’un temps de découverte de ton entreprise et de son fonctionnement, particulièrement du point de vue « ISO 15025″…

      Qu’en dis-tu ? A+

      en réponse à : service commercial #16114
      Henri
      Participant

        (suite)

        RMQ je ne comprends pas ta question (peut-être car tout ce n’est pas vraiment ma partie), je t’invite donc à la clarifier : 

        en regard de quelle exigence(s) du modèle ISO 9001… voudrais-tu FAIRE QUOI… à propos de bons de livraison et de factures…?

        A+

        en réponse à : EN9110 #16110
        Henri
        Participant

          Hello ! bin euh… c’est un document protégé par des droits d’auteur… Cordialement.

          en réponse à : REACH et RoHS dans l’électronique #16109
          Henri
          Participant

            (suite)

            Ton premier alinéa : Se mettre en ordre de bataille pour être conforme à une directive dès sa publication est une bonne pratique (particulièrement pour des activités trans-européennes). Mais localement ça ne présume pas de notre conformité future à sa transposition nationale : une transposition peut être plus contraignante mais pas moins (sauf écart de transposition que surveille et fait redresser l’UE).

            Ton second alinéa : ok pour les règlements évidemment. 

            A+

            en réponse à : REACH et RoHS dans l’électronique #16107
            Henri
            Participant

              (suite)

              Shawar je me permets ce point (non négligeable) sur la différence entre directives (nombreuses) et règlements (rares) européens :

              Les dispositions d’une directive ne sont effectivement pas applicables dans un état européen tant que cet état ne l’a pas transposée dans son droit national. Or cette transposition n’est pas forcément un copié-collé exact… Donc (exemple) une entreprise française ne doit pas appliquer les exigences de la directive européenne RoHS mais bien celles de la réglementation RoHS française telle que déclinée de cette directive… 

              NB : en fait il faut bien voir que les directives européennes s’appliquent aux états et non aux entreprises. Si une directive n’est pas appliquée (par transposition locale) dans un pays c’est cet état qui est en infraction devant l’UE et non les entreprises du cru. La France a par exemple été condamnée pour sa trop tente ou incomplète transposition de la directive 89/391/CEE visant à promouvoir la sécurité et la santé des travailleurs pondue en 1989 (notre droit du travail, arcbouté sur ses vieux poncifs, a fini de transposer cette directive de manière « acceptable » dans les années 2008-2010 seulement, soit près de 20 après sa promulgation !). Il est d’ailleurs curieux de constater que la France est un mauvais élève de l’UE en matière de transposition alors qu’elle est reconnue comme un des moteurs de l’UE.

              A+

              en réponse à : service commercial #16105
              Henri
              Participant

                Hello !

                L’auditeur peut titiller qui il désire sur n’importe quelles exigences de la norme, mais la pertinence de tel service en regard de telles exigences dépend principalement des missions attribuées à ce service dans l’organisation de l’entreprise. D’où l’intérêt de la revue documentaire faite par l’auditeur préalablement à l’audit afin de préparer son audit et typiquement de déterminer au mieux ce qu’il va aborder avec tel interlocuteur (tout en étant ouvert à des surprises…).

                A+

                en réponse à : REACH et RoHS dans l’électronique #16101
                Henri
                Participant

                  (suite)

                  Tu as raison Shawar mais je n’ai pas voulu évoquer les « articles » de REACH pour simplifier (je me suis contenté de dire que ce règlement vise surtout des « substances » en pensant que les composants électroniques d’Aurore ne seraient pas des « articles REACH ». D’autant que tu dis toi-même que ce règlement* européen REACH « s’applique… également aux articles (qui ne sont pas déjà couverts par RoHS)« . Et je n’ai jamais vraiment travaillé les « articles » au sens de REACH…

                  * REACH n’est pas une directive, RoHS en est une.

                  A+

                  en réponse à : service commercial #16097
                  Henri
                  Participant

                    (suite)

                    Gag : le service Qualité non plus n’a aucune existence dans la norme… ;)

                    Mais je suis bien d’accord avec toi Aurore, le Sce Commercial de RMQ sera effectivement et notamment titillé sur la constitution des dossiers, le traitement des commandes, la stratégie commerciale, la revue d’offres et de contrats, les indicateurs associés… s’il en est en charge selon le SMQ de son entreprise…

                    RMQ qu’en dis-tu ?

                    en réponse à : REACH et RoHS dans l’électronique #16096
                    Henri
                    Participant

                      Hello !

                      Il y a tout de même une grande différence entre RoHS et REACH : le premier vise surtout des « objets » (par exemple des cartes électroniques), le second vise surtout des « substances » (par exemple un aérosol pour nettoyer des cartes électroniques)… Donc grosso-merdo une même « chose » n’est pas soumise aux deux contextes réglementaires…

                      Autre remarque : du coté REACH le fournisseur n’a pas à fournir je ne sais quelle « attestation », mais ils doit par contre la Fiche de Données de Sécurité de sa substance (ou mélange de…) à celui qui l’achète. Cette FDS est la manière exigée par REACH pour que le fournisseur montre que sa substance ou mélange respecte REACH !

                      A+

                      en réponse à : service commercial #16092
                      Henri
                      Participant

                        Hello !

                        Aucune exigence ISO 9001 ne mentionne le « Sce Commercial » (d’une entreprise de vente de produits d’électricité et d’éclairage, ou de n’importe quelle autre entreprise) en tant que tel. Donc ce Sce n’est redevable de rien à l’égard de cette norme.

                        Par contre cette norme comporte de nombreuse exigences que la direction d’une entreprise satisfait à travers ses choix d’organisation et les missions qu’elle définit (en Qualité notamment via son SMQ). Alors il est probable que ta direction a chargé son Sce Commercial de certains processus ou activités particulièrement liés à certaines exigences ISO 9001… C’est donc sur ces aspects que le Sce Commercial de ton entreprise pourra être titillé à l’occasion d’un audit du SMQ de ton entreprise.

                        A+

                        en réponse à : Politique qualité #16091
                        Henri
                        Participant

                          NB : ce qui risque de restreindre l’exigence 5.2.2 c) serait de ramener les « parties intéressées » aux « prestataires majeurs notamment »… Mais ok selon les types de parties intéressées l’éventuelle* mise à dispo de la politique peut se faire de différentes manières. Sa disponibilité sur le site internet de l’entreprise a l’intérêt de bien répondre à l’exigence quelque soit le type d’une partie intéressée qui « s’intéresserait » à la politique Q de l’entreprise… 

                          * ce n’est pas une exigence absolue.

                          en réponse à : Politique qualité #16087
                          Henri
                          Participant

                            Hello !

                            Par exemple sur un site internet de ton entreprise…

                            A+

                            en réponse à : Outils informatiques #16086
                            Henri
                            Participant

                              Hello !

                              Le morcellement, la ségrégation, des systèmes de management est particulièrement le fait de la normalisation (catalysée par le marché de la certification). Sur ces plans la multiplication des référentiels est voulue par les organismes de normalisation et leur versant certification, alors qu’au fond une seule norme de « système de management de l’entreprise » suffirait (management de l’entreprise entière et non juste de tel ou tel domaine).

                              Mais, bien avant ces modèles normatifs, et selon leur taille, les entreprises ont toujours distingué leurs fonctions (pour ne pas dire leurs processus) afin de les spécialiser avec pertinence et performance. Aussi Q, S et E ne forment pas un tout (!), ces fonctions ne sont qu’une partie du vrai « tout » qu’est le management de l’entreprise organisé et assuré par la Direction.

                              A+

                              en réponse à : Exigences relatives au leadership #16081
                              Henri
                              Participant

                                Hello !

                                Bon j’ai l’impression que mon rappel des exigences de l’article 4.3 gêne une certaine académie et que cette société savante autoproclamée restera muette sur le point en question. Dommage pour nos lecteurs.

                                Cordialement.

                                en réponse à : Outils informatiques #16078
                                Henri
                                Participant

                                  Hello !

                                  Le problème de fond est d’avoir toujours voulu confondre la notion de SMX (Q, S, E ou autre) et celle de certification (ne garantissant aucune espèce de performances). Mais ce problème (la chasse à la « certif » malgré son absence de sens en terme de niveau ou de résultat du SMX) n’en était au fond pas un dans la plupart des cas, ni pour les vendeurs de certif ni pour une bonne partie de leurs clients. La certif est une sorte de marché de dupe consenti ou d’écran de fumée recherché qui a pris le pas sur le SMX en terme de démarche de progrès. 

                                  A+

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