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Messages
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(suite)
Effectivement les produits de le l’ISO ou de l’AFNOR, tout comme ceux de ta propre entreprise, ne sont pas gratuits, il faut les acheter si on les veut (celui n’est pas obligatoire). Ce n’est pas comme la réglementation qui elle est gratuite mais obligatoire…
A+
Hello !
L’auto-promotion d’une fonction de l’entreprise par elle-même est-elle vraiment une voie sûre pour améliorer la reconnaissance de cette fonction par la Direction ? J’en doute… Cette reconnaissance vient plutôt de ce qu’apporte cette fonction.
D’autres avis ?
Hello !
Question fondamentale et incontournable :
Quel est le REFERENTIEL D’AUDIT auquel tu veux confronter cet atelier de découpe Bovins..?
A+
Hello !
Aide-toi et le ciel t’aidera… Rien de plus facile…:
– Tu prends une copie du référentiel selon lequel tu veux faire une évaluation (en l’occurence la partie vive de la norme ISO 22000) et un fluo jaune (NB : ça marche aussi avec un fluo d’une autre couleur…).
– Tu passes au fluo ce que tu identifies comme étant les différentes “exigences” de la partie vive de ton référentiel cible.
– Tu montes un tableau* où tu rapportes (en “lignes”) les n° et titres/sous-titres des paragraphes du référentiel (donc deux ou trois colonnes) dans lesquels tu as passé au fluo les exigences que tu as identifiées.
– Et tu reportes aussi les exigences correspondantes en question (une autre colonne).
– Tu ajoutes d’autres colonnes selon tes besoins pour saisir les constatations et remarques que tu vas faire lors de ton évaluation.
Et hop tu as fais d’une pierre deux coups : tu as obtenu la “grille*” que tu recherches et tu as aussi progressé sensiblement dans ta connaissance du référentiel qui t’intéresse… Et ça marche avec n’importe quel référentiel !
* avec un tableur tu pourras même sortir des beaux graphiques en 3D de ton évaluation par paragraphes du référentiel…
Qu’en penses-tu ? A+
Hello !
Réflexion matinale à propos du dernier alinéa du son message ayant généré cette discussion (“Néanmoins, j’ai l’impression de ne pas aller assez loin dans l’analyse et de ne pas valoriser l’expérience de chacun, c’est à dire tout ce que la salarié a appris en dehors des formations. Avez vous des idées pour avancer sur ce point ?”) :
Joelinou, le but n’est pas de “valoriser l’expérience de chacun“, mais de “déterminer les compétences nécessaires des personnes effectuant un travail qui a une incidence sur les performances et l’efficacité du SMQ“… de s’assurer que ces personnes ont ces compétences ou les leur apporter, les entretenir, en documenter les preuves… (ISO 9001 point 7.2 Compétences).
Ainsi si tels membres du personnel ont certaines compétences mais qui ne font pas partie des compétences nécessaires au SMQ de leur entreprise (pour la satisfaction du client donc) alors on n’a pas pas à les valoriser, on s’en fout royalement !
A+
(suite et fin )
Delphine, je n’avais pas saisi le caractère “interne” de ton “obligation” d’attestation de formation… Pour moi une obligation c’est du réglementaire et c’est donc une exigence externe à l’entreprise, alors que ton exigence d’attestation de formation est une exigence interne et volontaire.
Par ailleurs je veux bien que des exigences de compétences S&ST puissent relever d’un SMQ, mais typiquement dans le cas particulier où elles qualifient la prestation de l’entreprise (ex : opérations de désamiantage, vérification périodiques levage électricité etc, formation PCR ou CHSCT…). Ces exigences sont “contractuelles” si j’ose dire. Par contre je vois mal que des compétences “travail en hauteur” ou “vérification d’EPI” (tes exemples) conditionnent vraiment la satisfaction des clients d’une entreprise de peinture en bâtiment. Cette satisfaction (objet du SMQ du prestataire) résultera des compétences du personnel prestataire en matière d’application des peintures même s’il grimpe n’importe comment en hauteur et utilise des EPI pourris (pour faire court).
Enfin tu me concéderas qu’évoquer des recommandations CARSAT dans le contexte d’un contrat de prévention n’a pas un lien manifeste avec le questionnement de Joelinou sur la gestion de la gestion des compétences du personnel dans le SMQ de son entreprise sur la base de la norme ISO 9001.
Mais mes doutes sont levés. Merci Delphine.
(suite)
Delphine, je ne cherchais pas à connaître l’intégralité de tes processus réels (d’ailleurs pour ma part j’invente souvent des exemples pédagogiques sans forcément fournir les situations réelles propres à mon entreprise).
Disons qu’à propos de la question initiale (grille de compétences du personnel / exigences ISO 9001), je pensais plus judicieux de donner des exemples de compétences susceptibles d’impacter la satisfaction de notre clientèle (des qualifs de soudeur / entreprise de tuyauterie pour le nucléaire, tels niveaux de compta pour un cabinet d’expertise comptable…), plutôt que de donner des exemples de compétences servant la S&ST de notre personnel.
A l’invresse j’aurais trouvé tout aussi bizarre à propos d’un SMS&ST de fournir des exemples de compétences impactant la satisfaction du client (suite de mes exemples : qu’on dise que des qualifs soudure nucléaire ou des niveaux comptables seraient des compétences du personnel identifiées et gérées dans le SMS&ST…).
Par ailleurs tu n’as pas répondu à ma curiosité / obligation d’attestation des formations travail en hauteur et vérificateur EPI.
A+
(suite)
Parfait Lbroyer ! Mais pourquoi donc colporter la notion de “veille réglementaire” puisque (à juste titre) tu t’intéresses au processus exigé par tout système de management notamment Q, S ou E et qui est bien “l’identification des
textesexigences légales (et autres) applicables à ton entreprise” ? Formule qu’on peut actualiser effectivement en “identification des obligations” pour faire simple*.Le terme de “veille réglementaire est à la fois une erreur de lecture des normes de SM et un trompe-l’oeil voire un piège qui pousse surtout à “surveiller” les nouveaux “textes” au lieu d’organiser le vrai processus attendu…
Pour reprendre ta formulation je trouve très très très “pertinent de proposer un outil permettant de faciliter, pour l’entreprise, l’identification de
ces textes applicablesses obligations en fonction dela thématique qui la concernede ses caractéristiques dans le code de l’environnement.Si tu le désires et si tu me donnes ton n° de portable par mail (HenriPrev “chez” gmail.com) on peut en discuter de vive voix.
A+
* Dans ISO 14001 “déterminer et avoir accès aux obligations de conformité relatives à ses aspects environnementaux ; déterminer de quelle manière ces obligations de conformité s’appliquent à l’organisme ; et prendre en compte ces obligations de conformité lors de l’établissement, la mise en œuvre, la tenue à jour et l’amélioration continue de son système de management environnemental”… c’est bien autre chose que d’assurer une “veille réglementaire” (en réalité cette veille n’est qu’un “détail”, un “accessoire” du vrai processus exigé… Je dirais presque que la “veille” est la science des ânes du sujet.
Hello !
QQ rebonds :
– En Q et E, il n’y pas photo, il faut “évidemment” exploiter les versions actuelles des normes de référence, donc ISO 9001:2015 et ISO 14001:2015, plutôt que des versions obsolètes !
– En S&ST, pourquoi continuer à se baser sur une norme britannique ? Pour être homogène autant exploiter le “projet définitif” de norme ISO 45001:2016 déjà disponible (qui devrait être “officiellisée” dans une dizaine de mois)…
– Sinon, au fond pour moi ta problématique de base c’est fondamentalement de faire un examen du fonctionnement actuel de ton entreprise du triple point des exigences ISO 9001, 14001 et 45001… C’est à dire au fond de faire un audit interne de ta boutique selon ces trois référentiels. Ensuite la “conclusion” de ton stage serait de traduire et synthétiser tes constats d’audit en un plan d’action sur quelques grandes lignes générales de progrès à proposer à ta boutique. C’est un peu plus que de monter un tableau excel et d’aller voir ton tuteur pour qu’il te dise lui où il pense qu’en est l’entreprise… Un audit ce n’est pas une check-list à cocher.
Je ne sais quelle est ta formation (durée, objet, niveau…) ni la durée de ton stage, mais c’est à toi de jouer dans ce sens à mon avis et de tirer un bon parti de cette expérience.
Qu’en dis-tu ? A+
Hello !
Ludivine, pour répondre à ton questionnaire et/ou en parler ici il faudrait qu’on sache bien de quoi on parle à propos de “veille réglementaire” : pourrais-tu préciser, définir, présenter, ce qu’est pour toi la “veille réglementaire” et dans quel cadre elle s’inscrit ? (ici en environnement, mais c’est pareil que dans n’importe quel autre domaine)
A+
Hello !
Delphine, le contexte de la question de Joelinou c’est un SMQ alors que tes exemples de compétences (travail en hauteur, vérificateur EPI, …). relèvent plutôt d’un SMS&ST. Je ne comprends pas. Peux-tu m’expliquer comment ces formations relèveraient du SMQ de Joelinou ?
Au passage tu dis qu’une attestation de formation serait obligatoire pour ces formations S&ST. Pourrais-tu m’identifier la source de cette obligation ? (je ne la connais pas )
A suivre.
(suite)
Je me répète :
1- A mes yeux il est vraiment stupide, contre-productif, incompréhensible, abérrant, etc… en 2016 de faire évoluer un SMQ basé sur ISO 9001:2008 sans le passer en mode ISO 900:2015 ! Tu devrais proposer à ton boss de profiter de la généralisation du SMQ à toute l’entreprise pour l’actualiser ISO 9001:2015.
2- Faire évoluer les documents d’un SMQ n’est qu’un “détail” (même si c’est du travail), mais ce n’est pas faire évoluer le SMQ (ici intégrer les acteurs d’un second département pour couvrir toute l’entreprise…) !
J’ajoute un autre “détail” : ISO 9001 n’exige plus de “manuel” !
Ta dernière phrase m’intrigue… tu dis qu’à terme chaque département sera “certifié” ? Ce n’est pas toute l’entreprise qui le sera ?
A+
Hello !
A l’heure de l’ISO 9001:2015 il est totalement “rétrograde” d’envisager l’évolution d’un SMQ en mode ISO 9001:2008…!
Sinon le projet c’est d’étendre le SMQ d’un département “A” d’une entreprise “X” qui a deux départements (“A” et “B”) à toute l’entreprise. Il n’y a aucun problème à actualiser toute la documentation du SMQ “A” (notamment en y intégrant les process du département
pour qu’elle devienne la documentation du SMQ l’entreprise “X”. Mais cette passe documentaire formelle ne suffit, la réalité de l’évolution de ce SMQ c’est sur le fond c’est qu’il fonctionne à la maille de l’ensemble de l’entreprise… Il faut que les membres du département B assimilent et investissent le SMQ “X” et que ce SMQ se lance pour l’ensemble de l’entreprise… par exemple il faut que la prochaine “revue de direction” ne soit pas celle de la sous-direction du département “A” mais bien la revue de direction de la direction de l’entreprise au plus haut.Il ne faut pas confondre ou réduire un SMQ à sa documentation…
D’autres avis ? A+
(suite)
Oui c’est ça, mais autant toujours chercher directement la réglementation européenne sur le site officiel eur-lex.europa.eu . La méthodo d’AE du règlement européen en question fait l’objet de l’annexe I qui me semble très pertinente (cf pages 342/22 et 432/23) : http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2009:342:0001:0045:fr:PDF
Par ailleurs je ne comprends pas ta question (il faudrait voir ta méthodo complète pour déjà comprendre ton besoin d’ajouter l’eau, le bruit, l’énergie, le visuel et les ressources…).
D’autres avis ? A+
