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Hello !
Combien y avait-il « d’acteurs » dans ce projet ?
A+
Hello !
J’espère avoir compris ton questionnement, voici ma réponse :
Pourquoi chercher à « déterminer la nature de cette documentation (cf tes exemples) ? Sauf exceptions (ex : la « politique ») la norme ISO 9001 ne projette ou ne fixe aucun vocabulaire particulier pour les différentes « informations documentées » que l’entreprise doit élaborer (exigence de la norme) ou jugera nécessaire d’élaborer (choix de l’entreprise) pour le bon fonctionnement de son SMQ…
Donc tout document que tu trouves dans l’entreprise est susceptible de relever de la documentation du SMQ de l’entreprise. Et c’est l’entreprise qui détermine en fait quels documents constituent la documentation de son SMQ.
A+
Hello !
Pour moi une manière de tirer vers le haut et d’homogénéiser une « culture » S&ST de groupe est que le groupe anime et diffuse dans ses entreprises un système de management S&ST commun (passant notamment par des procédures de base communes gérées par une fonction S&ST « groupe ») tout en laissant les chefs d’entreprise du groupe responsables de la S&ST chez eux. Mais il faut que la direction du groupe s’engage tout autant dans le management de la S&ST du groupe et « surveille » la mise en oeuvre de son SMS&ST effective dans ses entreprises.
C’est assez facile si le groupe est un groupe national, c’est un peu plus compliqué si le groupe est international car alors les contextes et cultures nationales peuvent avoir certaines différences qu’il n’est pas toujours facile de concilier, notamment du fait des réglementations*… sans compter la barrière des langues.
Exemple trivial : les statistiques AT sont assez « incomparables » car même dans les différents pays européens on ne « déclare » pas les AT et on ne comptabilise pas les arrêts de travail de la même manière… d’emblée les statistiques AT sont différentes.
A+
PS : tu auras compris Secult que pour moi « culture S&ST » = « management S&ST mené par la direction ».
Hello !
Je vais répondre par une boutade : si l’objectif de la direction est d’avoir un certication à afficher, alors elle peut bien faire n’importe quoi et elle trouvera toujours un certificateur pour lui vendre un certificat. Si la direction veut adopter un modèle de SMQ pour améliorer ses performances Q, alorson comprend mal pourquoi elle ne le ferait que pour le management d’une partie seulement de l’entreprise (le « service » aux clients)…
A+
Hello !
Questions-réflexions sur ton sujet de thèse Secult :
– Il évoque la dynamisation de la « culture » S&ST… ok. Mais encore faudrait-il qu’elle soit « bonne » cette culture… Si la culture S&ST d’une entreprise est « mauvaise » (comme on en connaît qui poussent les salariés à cacher les AT ou même les incidents qui surviennent…), je ne tiens pas à ce qu’elle soit « dynamisée »…
– Tu cibles précisément une culture S&ST de « groupe » (bien que ta question 6 redescende dans chaque « site », ou entreprise du groupe ?). Tu as l’air de supposer qu’elle est homogène… est-ce certain ? Pour l’avoir vécu les « cultures » S&ST des entreprises d’un « groupe » sont largement plus induites par leur histoire personnelle que par le « groupe », du moins particulièrement dans les premiers temps de leur intégration dans le groupe, mais restent de toute façon assez sensiblement marquées par leur nationalité (impact de leur réglementation nationale en S&ST).
– Ta question 4 est curieuse : comment peut-on « dater » une « culture » sécurité ? De fait (bonne ou mauvaise, maigrichonne ou marquée) toute entreprise a une « culture » dès sa naissance…
– Ta question 7 évoque plusieurs outils « Qualité » mais il lui manque des outils « S&ST » puisque tu t’intéresses à la sécurité*… (EvRP, conformité réglementaire, analyse d’AT-MP, formation S&ST…).
* pourquoi ne t’intéresses-tu pas à la Sécurité & Santé au Travail d’ailleurs ?
A+
20 avril 2017 à 13 h 15 min en réponse à : Enquête sur la pénibilité au travail pour la rédaction de ma thèse professionelle #13755Eclairage personnel sur la pénibilité :
Après les forts anciens dispositifs de prise en charge des AT et des MP, le jeune dispositif de la pénibilité n’est qu’une (juste) 3ème manière de « réparer » (partiellement) les atteintes long terme du travail au long du parcours professionnel de certains salariés. Le C3P c’est de la prévention tertiaire.
Mais sur le plan prévention primaire ça ne change rien au fond. Son seul véritable intérêt est de mettre alors l’accent sur certains risques chroniques marqués en termes de santé au travail des salariés, alors que les entreprises ont trop souvent tendance à ne penser que sécurité du travail et court terme.
A+
19 avril 2017 à 16 h 53 min en réponse à : Enquête sur la pénibilité au travail pour la rédaction de ma thèse professionelle #13743Hello !
Sarah, à lire le questionnaire on a l’impression que tu considères la pénibilité comme complètement distincte des risques professionnels, alors qu’elle n’est que la partie « haute » de certains risques professionnels.
Du coup l’évaluation des expositions aux risques susceptibles de pénibilité n’est au fond qu’une fraction de l’EvRP* et son traitement passe d’abord et toujours dans toutes les entreprises par le programme annuel de prévention* (« prévention normale » si j’ose dire par opposition aux rares entreprises soumises à l’obligation de négocier un accord ou à défaut de mener un plan d’actions spécifique).
* suggestion de nouvelles questions : « Votre DU comporte-t-il les données collectives d’exposition aux risques de pénibilité dans les UT ? » « Votre programme annuel de prévention comporte-t-il des actions de réduction des risques de pénibilité ? »
A+
Hello !
Euh… mettre en place un « Système de Management » de n’importe quoi sur la base d’une norme cible s’est toujours la même chose (ça ne dépend guère du domaine de management X visé). Je rejoins tout à fait Savlynn et (comme je l’ai déjà fait dans d’autres discussions) j’exprime la démarche de ce genre de projet ainsi :
– Organiser d’emblée l’intégration d’un modèle normatif de SMX dans l’entreprise en mode « conduite de projet » (c-à-d petite équipe projet, budget, planning d’actions, communication, etc… à la maille de l’entreprise). Ce qui nécessite une décision et un suivi de la direction…d’autant qu’elle aura aussi des tâches à réaliser en cours de projet.
– Commencer par une « découverte-compréhension-appropriation » des exigences de cette norme par l’équipe projet en se faisant un atelier de lecture au minimum, voire un stage, et/ou à l’occasion d’un véritable « état des lieux » des pratiques de l’entreprise dans le domaine de management X.
– Faire de toutes façons un état des lieux initial des pratiques actuelles de l’entreprise dans le domaine X sous la forme d’un véritable « audit » en utilisant la norme de SMX comme « référentiel d’audit »… (disons qu’on fait un audit du SMX « natif » de l’entreprise, car l’entreprise manage déjà plus ou moins le domaine X).
– Ce audit permet d’identifier ce que l’entreprise fait déjà de correct « sans le savoir » (à entériner par le projet), ce qu’elle fait mais pas correctement (à ajuster par le projet) et ce qu’elle ne fait pas encore mais devra faire (à créer par le projet) pour être en accord avec la norme de SMX…
– Cet audit nourrira l’élaboration de sa feuille de route (identification et planification des tâches nécessaires à la structuration et la mise en oeuvre du SMX), surtout si l’entreprise a les moyens de faire réaliser cet audit par un consultant compétent en SMX en prévoyant au CdC qu’il le mène accompagné de la petite équipe projet (ce sera la formation minimum ou le complément de formation de l’équipe projet / norme SMX).
– Planifier et réaliser les tâches ainsi identifiées pour construire le SMX en associant les principales fonctions concernées par les processus X à consolider ou créer, et lancer ainsi peu à peu le SMX avec leur participation.
NB : mettre correctement en place et en marche un SMX prend raisonnablement une année environ. Mais ici si le domaine de management « énergie » ne vise que le parc de véhicules de services ça sera probablement plus rapide…
A+
14 avril 2017 à 11 h 10 min en réponse à : Quelles questions lors d’un audit de certification ? #13735(suite)
… « détails pratiques » sur quoi dans le contexte ISO 50001 ?
Louise pour espérer avoir des réponses tu devrais ouvrir ton propre fil de discussion avec un titre mentionnant cette norme
A+
13 avril 2017 à 15 h 50 min en réponse à : Quelles questions lors d’un audit de certification ? #13729Hello !
Louise pourrais-tu exprimer ton besoin personnel un peu plus précisément…?
A+
Hello !
Andyoha, curiosité : en pratique quelles genres de données, intéressantes pour un audit de SMQ, sont considérées confidentielles par la DRH ?
A+
12 avril 2017 à 13 h 41 min en réponse à : Détermination des ressources nécessaires pour les processus #13722Hello !
Comme souvent JMD, tu affirmes des choses sans les justifier (PS). Cette fois tu réfutes que l’approche risques soit un fondement en prévention S&ST pratiqué depuis des lustres. Je crois que la réglementation te monte à la tête et que tu crois qu’en dehors d’elle les Préventeurs n’ont pas de métier.
Et comme un contre exemple suffit bien souvent à démentir de genre propos péremptoires je te rappelle une anecdote me concernant : mon stage de fin de formation professionnelle en « Prévention S&ST » a porté sur l’application de la méthodo MOSAR* au projet d’une petite installation industrielle… c’était en 1977 sous la coupe de l’Ingénieur sécurité du site ! Et depuis pour prévenir les risques professionnels comment crois-tu que j’ai pu (moi ou n’importe quel Préventeur !) pratiquer autrement qu’en commençant par identifier et analyser les risques d’une situation de travail pour les « comprendre » afin de proposer des dispositions adaptées pour les réduire correctement ?
En Qualité** vous avez la même histoire ancienne mais plutôt fondée sur l’identification des exigences plus ou moins explicites du client afin de les satisfaire. Cela a toujours été votre moteur premier comme l’analyse des risques professionnels en S&ST.
* Méthode organisée et systématique d’analyse des risques.
** AMDEC c’est plutôt de la sûreté de fonctionnement des systèmes et HACCP une démarche de prévention de la sécurité sanitaire des aliments (cf ISO 22000)…
A+
PS : je te rappelle JMD que dans une autre vie j’attends toujours de toi certaines justifications d’une de tes affirmations péremptoires… (cf notre discussion sur la « preuve » d’une exigence réglementaire).
Hello !
Le(les) CACES ne vise que la conduite des engins pour lesquels la réglementation impose que le salarié reçoive une autorisation de conduite de son employeur sous certaines conditions. Le CACES est pour l’employeur une manière (recommandée mais non obligatoire) de s’assurer de l’aptitude du salarié à conduire en sécurité l’engin(s) qu’il lui confit. Cette évaluation (le CACES) est sous-traitée par l’employeur à un testeur certifié. Mais les CACES délivrés par le testeur ne sont pas des « permis de conduire » : c’est l’employeur qui autorise la conduite pas le testeur !
Donc la réponse à ta question Annie est « non ».
A+
(suite)
Ok vu. En fait dans un domaine donné il n’y a pas d’actualité réglementaire tous les jours ! D’autant plus en Qualité en ce qui te concerne qui est un domaine plus « normatif » que « législatif ».
A+
(suite)
Tant mieux si ce site te semble plus efficace. Mais qu’as-tu voulu dire avec ta phrase interrompue « mais je ne souligne aucune nouvelle d’aprés… » ?
A+
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