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Dans les conventions collectives il y a des « grilles » de qualification et de gammes de salaires associées.
Illustration (au hasard et par forcément à jour), avec la page 35 de ce document http://uimm.fr/assets/uploads/pdf/conv_coll_territoriales/U9001_2013-07-08_Accord_RMAE-RMH_7.pdf
ou ces autres éléments https://www.legifrance.gouv.fr/affichIDCC.do;jsessionid=0099EF65890A35016B7DBB185357A19F.tpdjo03v_1?idConvention=KALICONT000018925934&cidTexte=KALITEXT000018926094
A+
Euh… qu’appelles-tu « fiche de sécurité » ? N’as-tu pas la notice constructeur de cette machine ? A+
PS : d’ailleurs c’est bien plus le « niveau » de qualification du poste en regard de la convention collective dont dépend l’entreprise qui a son importance que le simple « intitulé » de la fonction. Et là il vaut mieux être « mal payé » dans tel niveau « débutant » de qualification d’un certain niveau que « mieux » payé dans un niveau inférieur. Il est généralement plus facile d’avoir une évolution dans son niveau du moment que de changer de niveau. A+
Hello !
Ccilia, il ne faut pas se focaliser sur le terme « responsable* » ni faire de l’auto-dévaluation : il faut postuler à toute offre d’emploi d’un niveau « M2 » qui t’intéresse Ccilia et du coté « expérience » il faut valoriser le volet entreprise de ton alternance !
Un employeur potentiel saura bien écarter tout seul ta candidature si elle ne lui convient pas…
Ceci dit on peut penser qu’il vaut mieux commencer en étant « second » dans la fonction mais ça n’interdit pas de créer un poste ou de remplacer un « responsable ».
A+
* dans certaines structures j’ai croisé bien Préventeurs non »responsables » dans un service qui exerçaient bien plus de responsabilités que le « responsable » de la fonction dans d’autres structures…
Hello !
Dorra un audit interne de SM « E » se déroule comme l’audit interne de n’importe quel SM.
Dans un audit SM il n’y a aucune notion de « check-list sur terrain »… l’auditeur mène l’audit selon son propre cheminement et sa perception des pratiques SME dans l’entreprise. A+
A+
Ps : ton entreprise n’a pas actualisé son SME / version actuelle de la norme ISO 14001 ?
Hello !
Coralie ta problématique n’a guère de rapport avec le projet d’élaboration d’un SMQ en mode ISO 9001… Elle est surtout et directement celle de satisfaire les exigences de la norme NF L00-015 pour la déclaration de conformité en question (c-à-d fournitures pour l’aéronautique ou l’espace selon exigences du contrat passé avec le client).
Si dans ce contexte les fournitures en question doivent remplir 10 critères contractuels je vois mal comment une déclaration de conformité fondée seulement sur 6 de ces critères pourrait être recevable au titre de la norme NF L00-015. Le risque c’est que le client refuse les fournitures, dénonce le contrat à vos dépens et change de fournisseur tout simplement…
A+
Hello !
On n’a pas toutes billes sur la dynamique de cette situation de travail mais cet équipement me paraît acceptable en regard de la réglementation (pour peu que dans le feu de l’action on ne le place pas trop près du bord de l’estrade en caillibottis).
Moi je n’appellerais pas cet équipement « escabeau » mais plutôt « PIRL » (plate-forme individuelle roulante légère ; cf INRS).
A+
PS : mais finalement l’estrade ne pouvait-elle pas être à la bonne hauteur d’emblée ?
Hello !
Bin euh… interroge ton responsable de production (ou je ne sais qui dans ton entreprise) ou cherche-toi sur internet par exemple* des sources de définition des fonctions chimiques ou biochimiques « détergent » et « enzyme » qui te sembleront crédibles et passe tes produits en revue pour les classer selon la fonction qu’il jouent dans ton process « pull over »…
* un exemple comme un autre pour « détergent » : https://https://nettoyer-une-tache.ooreka.fr/comprendre/detergent-une-tache.ooreka.fr/comprendre/detergent
A+
Hello !
Les prestations emboitées nous perdrons un jour…
Je résume ce que j’ai compris : « B » et « C » sont prestataires de services chez « A ». « D » est un fournisseur de consommables qui impose que son client « B » soit présent lors des livraisons. Mais ces livraisons sont faites dans le secteur de « C » qui est interdit à « B »… C’est ça ?
Bin euh… c’est à discuter entre les parties concernées…:
– « B » pourrait se faire livrer par « D » directement dans son secteur…
– « B » pourrait déléguer à « C » une prestation de réception de ses livraisons selon les conditions formulées par « D »…
– « B » pourrait changer de fournisseur de consommables pour en prendre un autre plus accommodant en matière de réclamations…
– « B » pourrait se faire livrer par « D » chez lui et s’alimenter en consommables lui-même…
– « B » pourrait… (autre solution à sortir du chapeau)
Mais rien de tout ça ne relève vraiment du management de la Qualité, c’est un problème d’emboitement de prestations durci par les règles de sûreté aéronautique…
A+
(suite)
Je ne comprends pas comment on peut répondre à Kenny tant qu’il n’a pas dit quel référentiel d’audit il est sensé utiliser pour faire ce qu’il appelle un « audit projet »… Sur internet on peut trouver tout et son contraire, mais cela répondra-t-il au besoin ?
Kenny, il faut absolument que tu creuses la demande avec celui qui t’a sollicité. Comme « auditer » c’est comparer une réalité, ici un projet (?), à une théorie qui est le « référentiel d’audit », demande lui quel est le référentiel selon lequel il veut que tu mènes des « audits projet »… C’est indispensable. Sinon il est fort probable que tu ailles droit dans le mur !
A+
Hello !
Je sais ce qu’est un audit interne d’un SMQ sur la base d’un référentiel d’audit comme la norme de SMQ ISO 9001…
Mais qu’est-ce donc qu’un « audit projet » ? Et avec quel référentiel d’audit ?
A+
(suite)
C’est curieux Luft, tu confrontes « sensibilisation » et « formation obligatoire à la sécurité dans le code du travail ». En toute logique tu devrais confronter « sensibilisation » et « formation » ou « sensibilisation obligatoire à la sécurité dans le code du travail » et « formation obligatoire à la sécurité dans le code du travail »… Les mots ont un sens, les échanger n’est pas anodin.
Obligation réglementaire du code du travail ou pas, pour moi la notion de « sensibilisation » (voire « d’information ») n’évoque pas du tout un processus pédagogique ayant la même pertinence, consistance et efficacité qu’un processus de « formation » (voulue « pratique » par le code du travail en l’occurence)… Sauf qu’en parlant de sensibilisation on minore sensiblement le processus envisagé, ce qui arrange bien la direction en terme de moyens mais les travailleurs seront néanmoins implicitement considérées comme « formés » puisque c’est bel et bien l’obligation…
Exemple basique : pour passer ton permis auto tu as suivi une « formation » théorique et pratique et non pas une « sensibilisation ». La finalité d’une formation c’est clairement d’acquérir des compétences et connaissances, ce n’est pas le cas d’une sensibilisation.
A+
Futilité pour futilité (?), puisque qu’il s’agit de formation réglementaire à la S&ST, Luft que vaut ici la notion de « sensibilisation » ?
(suite)
Je n’ai pas d’idée… je ne saisis pas ta problématique (c’est hors de mon champ). Pour moi évaluer des matériels achetés c’est tout simplement les confronter au CdC de leur achat… y compris en regard des exigences que le CdC contient en matière de risques.
Désolé. A+
Hello !
Je partage ta proposition de base Manue de donner une tournure d’analyse critique au mémoire de Sophie. Mais je ne la ferais pas porter sur les avantages/inconvénients de la norme, mais bien plus sur la façon dont Sophie a conduit la mis en place du SME de cette entreprise et sur le début de son fonctionnement suite à cette mise en place (réussites et loupés, 1ers résultats, 1ers aménagements,…). Ainsi ton mémoire Sophie pourrait se centrer sur la capitalisation critique de cette première expérience de SME. Pour illustrer il pourrait carrément avoir un titre du genre « premiers retours d’expérience sur la mise en place d’un SME dans une xxxxxxxx* ».
* typer l’entreprise (PME de fabrication de mobilier, une entreprise de BTP, une imprimerie, un entrepôt de logistique…).
A+
