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Bien d’accord Safae. Et le plus important c’est certainement d’une part que chaque document ait surtout une référence et une date de validité (ou d’application) et d’autre part de disposer d’un référentiel permettant de s’assurer de la validité des documents en cours (ce qui est très facile avec l’informatique). Le reste n’est que de la « qualité qualitienne » inutile si j’ose dire…
Miss CMQ où en es-tu de ta problématique ?
A+
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Ah désolé… j’ai manifestement mal compris ta question (qui n’était peu-être pas assez explicite ?). Alors s’il s’agit plutôt de la difficulté d’appropriation de ton logiciel BPMN et/ou de complexité de son utilisation pour intégrer la cartographie et interactions des processus de ton entreprise, et/ou encore de ton insatisfaction des résultats que tu en tires … alors là impossible de t’aider par télépathie sans manipuler ensemble ton logiciel ni connaître les processus de ton entreprise.
Logiciel ou pas de toute façon tu as aussi à déterminer à quel niveau de précision tu veux placer le curseur de la lisibilité de ta cartographies entre « simplicité d’une représentation synthétique » et « complexité d’une représentation très détaillée »…
A+
Hello !
Bin euh Sarah… je crois comprendre au fond que tu veux réaliser une cartographie des processus, c’est ça ? Si oui, interroge internet « cartographie de processus » et tu trouveras vite plein de représentations de telles cartographies.
Sinon pour un « utilisateur » (qui est cet utilisateur et de quoi ? ) il me semble facile « d’avoir une vue de son interaction(s) avec d’autres processus » (je suppose que tu parles d’interactions entre des processus et qu’alors il y a très certainement plusieurs interactions entre eux) : ces interactions sont tout simplement les « entrées » (elles viennent d’autres processus) et « sorties » (elles alimentent d’autres processus) des processus considérés.
A+
Hello !
Bin euh Miss CMQ… il faut peut-être revenir aux exigences de l’ISO 9001 pour vérifier si «
une procédureun document a (vraiment) besoin d’identifier un rédacteur + un vérificateur + un approbateur »… Pour moi c’est non !A+
27 février 2022 à 9 h 18 min en réponse à : ISO 45001 / 5.4 consultation et participation des travailleurs #20918PS : En entrée du processus il s’agit de structurer l’identification des objets et occasions de consultation-participation des travailleurs (particulièrement d) et e) ). En sortie il s’agit de pointer les résultats de ces consultations-participations (apports ou question du personnel ; ce qu’en retient ou répond la direction). Et pour le bon fonctionnement de la boite noire anticiper les conditions de bonne consultation-participation du personnel ( a) b) c) ). J’ajoute, suivant la taille et le pays d’implantation de l’entreprise, l’intégration dans le processus de la mise en oeuvre des exigences réglementaires relatives à la représentation collectives du personnel.
27 février 2022 à 7 h 56 min en réponse à : ISO 45001 / 5.4 consultation et participation des travailleurs #20917Hello !
Le copier-coller n’est pas une bonne bonne approche Hakeem, particulièrement dans ce volet consultation-participation légitime des travailleurs (et pas seulement en ce qui concerne la politique S&sT !). Ca doit venir de ta direction, de l’intérieur de ton entreprise. En tout cas il me semble que l’article 5.4 est très clair, particulièrement ses point d) et e) sur le plan opérationnel.
Remarques : il ne s’agit pas de « transition de l’OHSAS 18001 (norme* britannique) vers l’ISO 450001 (norme* internationale) » mais de mise en conformité du SMS&ST de ton entreprise avec la la norme ISO 45001 ; il n’est pas question d’établir une « procédure » de consultation-participation des travailleurs mais de définir un processus à utiliser pour enrichir la détermination et la gestion de différents aspects du management S&ST de l’entreprise grâce au point de vue du personnel (notamment au niveau exécution) sans se limiter à celui de la seule direction, et en assurant un « retour » de la direction vers le personnel.
* Ces deux normes sont ce qu’elles sont, produites par des organismes différents et annulée pour l’une.
A+
Hello !
Ce « manuel de savoir-faire de la marque » peut bien être considéré comme un référentiel d’audit… il n’y a pas « d’obligations » ou « d’exigences » mais il contient bien les « attentes » dont le franchiseur espère la satisfaction par ses franchisés, non ? Sinon à quoi sert ce manuel et pourquoi (ou sur quoi d’autre) vouloir auditer les franchisés ?
A+
PS : mais au fait Anstoine pour toi que signifie ta formule « construire un audit » (en disposant déjà de la « théorie », c’est à dire en disposant du référentiel d’audit souhaité) ? Que produirait cette construction?
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On ne peut pas « auditer » sans « référentiel d’audit »…! Auditer c’est faire une comparaison si j’ose dire, mais comment « comparer » quelque chose si on ne sait pas « à quoi » comparer !?
Alors il te reste à « creuser » la demande avec son auteur pour qu’il définisse son « modèle idéal de fonctionnement d’une franchise » en exploitant ce qu’il a déjà défini (quelques procédures RH et opérationnel…) et complète ce qui manque à son avis (communication, finances, RGPD)…
A+
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Quelques lectures (il y en a d’autres…) :
https://www.orientaction.com/metier-qualiticien-responsable-qualite-formation-perspectives/
https://www.fonction-publique.gouv.fr/qualiticienne-qualiticien
Hello !
Quelques rebonds de ma part :
– Que le boss réponde ceci revient à dire je réfute cette exigence de la norme qu’il veut adopter… Gag !
– Il n’est pas question de « définir tout ce qui impacte l’Entreprise » mais de « déterminer les enjeux externes et internes pertinents par rapport à sa finalité et son orientation stratégique, et qui influent sur sa capacité à atteindre le ou les résultats attendus de son SMQ« . Cette « pertinence » peut notamment se comprendre comme visant les plus importants seulement.
– Effectivement pour la détermination de ces enjeux il est souvent évoqué l’emploi des outils SWOT et/ou PESTEL, qui sont tout autant évoqués pour l’identification des risques et opportunités (autre exigence ISO 9001). Mais la norme n’exige aucune méthode pour cela… chacun s’y prend comme il veut.
– Je ne sais pas comment dans son rapport l’auditeur a justifié et rédigé précisément sa remarque tendant à faire « prendre en compte les enjeux dans les fiches processus », mais ISO 9001 ne demande pas cette formalisation. D’ailleurs dans ses exigences générales pour les processus (4.4) la norme demande la prise en compte des risques et opportunités déterminés en 6.1, mais pas celle des enjeux…
A+
Hello !
Mais comment le Sce RH peut-il gérer ce genre de création de poste et votre affectation sans l’accompagner d’une formation adéquate sérieuse ?
A+
Hello !
Bin euh… commencez par voir avec votre Sce RH quelle formation vous pourriez suivre pour apprendre les basiques de cette fonction. Ce n’est pas sur un forum en ligne que vous pourrez l’embrasser correctement.
A+
Hello !
Pour mener un « d’audit » il est impératif de disposer d’un référentiel auquel on confronter la réalité de l’entité qu’on auditeur afin de déterminer les écarts qu’il y a entre cette réalité et ce référentiel que l’entité est sensée satisfaire…
Si « on » te demande d’auditer une entité il faut forcément que « on » te dise à quelle théorie la réalité auditée devrait se conformer. Cette théorie est le « référentiel d’audit ».
Je ne vois pas quelle autre réponse t’apporter.
A+
Hello !
Bin euh… ce genre de norme exprime toujours ses exigences de manière très généraliste et laisse une grande liberté de compréhension interprétation et application… Un dictionnaire dit que « déterminer » quelque chose c’est « l’établir, le définir avec suffisamment de précision au terme d’une recherche, d’une réflexion, d’une analyse… »
En tout cas ISO 9001 utilise très souvent cette notion de « processus » dans ses exigences et demande la plupart du temps que les « informations » relatives aux processus soient « documentées » (cf l’article 4.4.2 qui suit l’article 4.4.1 dont tu as extrait l’exigence générae « « L’organisme doit déterminer les processus nécessaires au SMQ… ».
La figure 1 du paragraphe 0.3 « approche processus » de la norme suggère une représentation de processus que tu peux utiliser… mais tu trouveras sur internet d’autres présentations y compris de « cartographie de processus ». Mais rien n’interdit que les processus soient déterminés (et documentés) de manière bien plus littéraire que schématique.
Je ne sais pas si ton vrai sujet c’est la conception agile de logiciels ou plutôt la structuration d’un SMQ, mais dans l’ISO 9001 le processus (à établir, mettre en œuvre et tenir à jour) de conception et développement d’un produit ou service est particulièrement abordé dans la partie 8.3.
A+
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