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Hello !
Non décidément si l’ovalisation d’une partie de cette production de fil d’acier est non seulement bien connue mais aussi considérée comme impossible à traiter (et donc que ce coût de non-qualité est accepté par la direction)… alors il est tout à fait inutile de continuer à faire des « fiches de NC » pour rien.
Il faut simplement continuer à faire du contrôle qualité final de la production pour éviter de livrer des bobines NC. Mais on est assez loin des principes d’une démarche Qualité de type SM.
A+
Hello !
Si je peux me permettre Marco, tu donnes l’impression de compléter-réviser ta documentation SMQ (mode ISO 9001 ? est-ce que ce sera le référentiel d’audit ?) « à cause » de cet audit ? Si c’est le cas : d’une part normalement tu ne devrais pas en arriver là (cette documentation devrait déjà être adaptée et opérationnelle sans craindre un audit) et d’autre part tout aussi normalement c’est la réalité du management Q au quotidien qui va d’abord être le centre d’intérêt principal de l’audit (avec retombées bien sûr du coté documentaire).
QQ autres rebonds :
– Les documents ficelés au dernier moment comme les modes opératoires vont-ils être bien « connus » et pratiqués par ceux qui ont à les mettre en oeuvre et que l’audit observera ou rencontrera ?
– Laisse tomber la fin de ton « manuel Q » (sauf si c’est une exigence explicite du référentiel exigé par ton client auditeur, ce qui n’est probablement pas le cas). Si tu y tiens tu verras ça une autre fois.
– Sinon un conseil général : quand on est audité on se contente de répondre simplement et succinctement aux questions à l’auditeur sans en rajouter !
A+
Hello !
Nazim désolé mais pour ma part je ne connais aucun document qui t’identifiera ou t’expliquera quel(s) outil(s) utiliser pour chaque exigence voire groupe d’exigences ISO 45001 (et encore moins pour chaque chapitre*)… Peut-être aurais-tu plus de chances de réponse si tu identifiais (en les formulant explicitement) pour quelles exigences tu espères des « outils ».
* Ex 1 : la notion d’outil « EvRP » que tu attribues au chapitre 6 « Planification » n’est pas un « outil » de référence clairement déterminé ici ou là (!) mais un processus de principe combinant déjà une partie (seulement) des processus exigés dans les articles 6.1.2.1 « identification des dangers » + 6.1.2.2 « Evaluation des risques pour la S&ST et des autres risques liés au SMS&ST ».
* Ex 2 : je ne connais aucun « outil » d’audit interne ou de revue de direction (ISO 45001 ou autre), etc…
Par contre dans chaque métier il y a des outils de référence à telle échelle régionale pour répondre à tel besoin (ex INRS ou NF : SIERICH pour l’EvRP par exposition aux substances dangereuses, « l’arbre des causes » pour analyser un accident du travail, la norme NF X…… (ref à retrouver) pour l’évaluation des risques des manutentions manuelles, etc… sans compter qu’un sonomètre est bel et bien un outil d’évaluation des risques de surdité pour le moins.
Mais d’autres auront peut-être des réponses pour toi. A+
Hello !
Bin euh… je réfléchis à haute voix Fredy (mais en l’absence de contexte) : si la direction de cet organisme voit la chose comme une formalité « papier » à mettre sous cadre en bonne place dans le hall d’accueil, le bureau du boss et les salles de formation de l’établissement juste bonne à être sous-traitée à au stagiaire du moment alors l’engagement sociétal de cette direction restera plutôt maigre…
Dans ce cas en tant que stagiaire je te suggère de grenouiller sur internet et tu trouveras diverses « chartes RS » (autant d’exemples de fonds et de formes) ou même de « politiques RS » qui pourront t’inspirer utilement pour produire une charte RS. Fais aussi quelques lectures internet sur la norme ISO 26000.
Pour t’aider de manière plus positive, en terme de méthode si j’ose dire : je te propose à partir de la recherche ci-dessus de rédiger 3 maquettes de chartes assez différentes mais collant néanmoins à ce que tu perçois peu ou prou de la « culture » de l’entreprise. Ces « maquettes à casser » vont juste te servir de support pour discuter et faire « réagir » (positivement) ton terrain de stage. Fort de ce matériel propose à ton maître de stage entreprise de rencontrer successivement un panel de membres représentatifs de ton organisme (à identifier avec lui, dont bien sûr lui-même et les dirigeants)…
Dans cette « tournée » (la faire annoncer par ton maitre de stage entreprise et prendre de vrais rendez-vous dans leurs plannings pour que chacun soit disponible le moment venu) :
– Te présenter et expliquant qu’il t’a été demandé d’animer l’élaboration de la charte RS de la boutique…
– Présenter succinctement ce qu’est la RS (prépare-toi une petite fiche de synthèse que tu peux leur laisser)…
– Les faire réagir sur tes 3 maquettes (les leur fournir qq jours avant avec leur « convocation » pour qu’ils les lisent…).
En notant-analysant-compilant ces diverses réactions selon ta propre réflexion sur le sujet, élabore ensuite 2 vrais projets de « charte RS » (un seul serait un peu juste) à proposer à ton boss et à la direction pour en retenir un et le finaliser avec qq retouches et validation de la direction comme étant la charte RS qu’on t’a demandée…
Je pense que tu peux faire cela sans trop de problème, mais je ne vois pas bien quoi faire de mieux.
Qu’en dis-tu ?
PS : Quelle formation es-tu en train de faire qui passe par ce stage ? Quel est l’effectif approximatif de cet organisme de formation ?
28 mai 2021 à 9 h 38 min en réponse à : Méthode pour déterminer la sensibilité des milieux (analyse environnementale) #20193Alors le document fourni par Fabien te donne d’excellentes pistes. Bonne journée Arthur.
PS, je résume les deux situations typiques de « revue documentaire » (ponctuelle ou périodique), même hors exigence normative (la grande majorité des référentiels qui nous intéressent ne comportent pas cette exigence), dans un LABM comme dans n’importe quel autre activité :
– En phase d’audit, disons d’audit système de management notamment, un auditeur externe particulièrement se fait envoyer la documentation principale ou demande un accès à la documentation du dispositif visé afin de se familiariser avec et de sonder la satisfaction des exigences « documentation » du référentiel d’audit (d’où des premiers constats le cas échéant et des pistes d’investigation au cours d’audit).
– En interne un processus de revue documentaire périodique ou pas peut tout à fait être adopté pour sécuriser la gestion d’une documentation. Cette revue devra « repêcher » les éventuels défauts de mise à jour rencontrés, mais ce n’est pas la voie normale d’évolution de la documentation (c’est du correctif / mauvaise gestion documentaire). Une gestion saine déclenche une évolution des documents dès que des éléments de tel processus évoluent (ex LABM : changement de technique d’analyse pour produire tel résultat sanguin, changement d’automate…). Cette revue pourra aussi suggérer des améliorations de la documentation même sans détection d’anomalies.
Dans les deux cas c’est une approche d’audit : il s’agit d’un double questionnement de l’adéquation de la documentation au référentiel visé et de l’adéquation entre la documentation et les activités qu’elle encadre à ce titre. Les éventuelles inadéquations découvertes à ces deux niveaux doivent être traitées.
A+
27 mai 2021 à 16 h 40 min en réponse à : Méthode pour déterminer la sensibilité des milieux (analyse environnementale) #20190Hello !
Arthur, il me semble si j’ai bien compris ton besoin (déterminer la sensibilité des milieux dans le cadre de l’analyse environnementale) que tu peux partir de la rubrique 12 « informations écologiques » des FDS des substances dangereuses exploitées dans ton entreprise
Illustration de principe : l’éventuelle rivière qui longe ton site a une sensibilité bien plus grande (déversement accidentel ou pas) à telle substance mis en oeuvre dans ton site dont la CL50 est de 10 mg/l qu’à une autre qui a une CL50 de 800 ml/l.
Pour les emissions « autorisées » les seuils limites réglementaires sont aussi une forme de détermination de la sensibilité d’un milieu.
Qu’en dis-tu ?
Hello !
Merci pour le GBEA marocain Jay. Sauf erreur de me part on n’y trouve pas d’exigence de « revue documentaire » pour les LABM marocains respectant ce référentiel.
Les procédures et modes opératoires qu’il exige pour assurer la qualité des résultats produits par un LABM doivent être actualisés en direct selon l’évolution des techniques visées, sans attendre une éventuelle revue documentaire façon « inventaire annuel » par exemple (à l’occasion d’un audit système interne ou pas ).
Ce qui n’interdit pas de procéder à une telle revue périodiquement par mesure de sécurité où si on doute de la fiabilité de la gestion de la documentation visée. Pour organiser une telle revue on trouve qq pistes sur internet.
Bon travail et bone continuation.
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