Toutes mes réponses sur les forums
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Pas mieux que Camille, le port des EPI est obligatoire dans notre entreprise point.
On informe de cette règle les nouveaux embauchés, on fait des rappels aux anciens. Si non respect = sanction.
Version courte :
Une non-conformité c’est le non-respect d’une exigence que vous avez identifiée.
Ça peut prendre plein de formes, non respect d’une consigne de travail, réclamation client, matériel en panne au moment de l’utiliser, mauvaise préparation du matériel, absence de formation du personnel, non respect du code du travail, ….
Tout dépend des exigences que tu auras identifiées et décrites dans ton système de management (au travers des procédures / modes opératoires / processus / … )
24 août 2016 à 15 h 58 min en réponse à : Projet Fin d’étude – Visites Comportementales Sécurité – Benchmark – Critiques #12872Pour ce genre de sujet nous faisons appel à la vidéo.
Nous filmons une équipe durant une courte période (d’une demi journée à une journée selon le type de travaux). Ensuite nous analysons la vidéo et préparons un montage des bonnes pratiques / mauvaises pratiques.
Nous faisons ensuite un briefing avec le montage vidéo et l’équipe concerné. L’avantage de la vidéo c’est que les gens peuvent se voir travailler dans leur environnement et mieux visualiser les contraintes / risques extérieurs. Ils détectent aussi des situations dangereuses qui ont pu nous échapper. C’est plus collectif et j’ai l’impression que ça leur parle plus qu’un briefing à l’oral.
ola a déclaré
Merci Henri pour cette réponse détaillée !
Cela me parait très contraignant pour l’EU, non ?
Je dois verrouiller la gestion de la sous-traitance dans le cadre d’une démarche MASE. Le référentiel a des exigences que je ne suis pas certaine de comprendre….Le référentiel est simple, il te demande de sélectionner des sous-traitants ayant un niveau d’exigence SSE équivalent au tien … d’être MASE en gros et de les évaluer sur ces critères.
Tu peux avoir également la relation client – fournisseur interne avec la gestion des dépannages, le suivi des licences logicielles, la CNIL, les droits d’accès …
Regarde le/les processus qui concernent ton service info, les procédures et tu devrais y voir plus clair.
Bonjour,
Effectivement l’article R. 4624-28 du code du travail est clair :
Le temps nécessité par les examens médicaux, y compris les examens complémentaires, est soit pris sur les heures de travail des salariés sans qu’aucune retenue de salaire puisse être opérée, soit rémunéré comme temps de travail normal lorsque ces examens ne peuvent avoir lieu pendant les heures de travail.
Le temps et les frais de transport nécessités par ces examens sont pris en charge par l’employeur.A mon avis, la seule chose que tu peux faire, c’est exiger de ton service de santé au travail que les horaires soient bien notés sur la fiche d’aptitude. Après tu peux toujours accompagner toi-même les salariés à leur visite mais ça me paraît compliqué.
Ici, on a pas ce problème, on fait venir le médecin du travail au sein de l’entreprise et il organise les visites sur place.
Je rajouterais juste que tu dois également t’assurer qu’en cas de retour de matériel « non-conforme » les dispositions prévues sont appliquées (réforme de l’appareil, revue de produits mesurés, ….) en fonction évidemment de ce que tu as de prévu dans ta procédure.
19 juillet 2016 à 11 h 26 min en réponse à : Différence entre politique qualité et lettre d’engagement de la direction #12849Bonjour,
Paulo, je pense que c’est dû à une lecture « simpliste » de l’iso 9001 qui demande à la direction de fournir la preuve de son engagement. Pour beaucoup, preuve = document.
Ça ne m’étonnerait qu’à moitié que ce genre de documents soit fourni avec des « certifications clés en main » histoire de combler le défaut de réel engagement de la Direction.
Bonjour,
« J’ai pensé à instaurer une remontée d’information spécifique pour chaque non-conformité. »
Je suis pas certaine que ça aide les contributeurs à participer davantage. Il vaut mieux privilégier des outils simples.
Bonjour,
Effectivement il n’y a pas de rétroactivité pour le compte pénibilité.
Toutes les réponses sur le fonctionnement d’un CHSCT sont dans le Code du travail (4611 à 4616 en gros).
Tu trouveras également des brochures sur le site de l’INRS.
30 mai 2016 à 23 h 37 min en réponse à : Audit de suivi ISO:9001 pendant ammenagement nouvel atelier #12803Bonsoir,
As-tu prévu un plan d’action suite à l’extension de cet atelier et de son aménagement ? Je vois que tu listes un certain nombre de points, tu as probablement identifié les actions à mettre en oeuvre pour que cet aménagement se passe le mieux possible.
Nous avons par exemple des nouvelles machines qui se retrouvent sans fiche d’enregistrement car elles n’ont pas été encore rédigées, tous les marquages au sol n’ont pas été réalisés car il y a encore du déménagement a prévoir, Certaines procédures aux postes de travail ne sont pas présentes par manque de supports d’affichage….
Si tu as déjà identifié et prévu de mettre en place le nécessaire, aucune raison que l’auditeur te mette une non-conformité.
Au contraire, valorise cet aménagement, la manière dont vous avez géré le projet et l’impact sur la qualité du travail une fois les travaux terminés.
Revoir toutes tes procédures d’ici l’audit pour changer la référence des enregistrements, c’est effectivement beaucoup de boulot pour pas grand chose. Le risque de se tromper de documents existe-il réellement ?
Si ta procédure fait référence à un enregistrement type « ENT-M1-FOR 1 – Formulaire de demande de stylos » et que tu veux transformer en « Formulaire de demande de stylos », le risque de se tromper est assez faible. Si tu passes de « ENT-M1-FOR 1 » à « Formulaire de demande de stylos » ça sera probablement plus compliqué à s’y retrouver.
A ta place, une ligne dans ton plan d’actions :
Modification de la procédure de gestion des enregistrements -> Modification du référencement -> Mise à jour des procédures au fur et à mesure de la veille documentaire.
Si pas de risque de confusion, je pense pas que ton auditeur te cherchera là-dessus.
20 mai 2016 à 20 h 40 min en réponse à : Peut on choisir les établissements qui seront certifiés? #12786Bonjour,
Il suffit de définir clairement ton périmètre de certification (avec les établissements concernés). Aucun problème.
Simple question pour ma curiosité personnelle, pourquoi seulement 3 ?
Bonjour,
Excellent début de démarche pour cette fameuse partie métrologie.
Oui, tu peux désigner certains instruments comme étant uniquement des indicateurs (attention toutefois à bien t’assurer qu’ils soient identifier comme tels par les utilisateurs et qu’ils ne servent pas à faire mes mesures nécessitant une certaine précision). Pour ma part, j’avais opté pour un code couleur :
– gommette verte + date validité = ECME= métrologie = précision,
– gommette rouge = indicateur = pas précis.
Cela peut permettre en plus d’utiliser des instruments « déclassés » comme indicateurs. La condition étant que tout cette organisation soit bien identifiée dans ton tableau.
La détermination des intervalles de tolérance dépend d’une chose : le degré de précision que tu as besoin !
Exemple, ton client te demande de fabrique des tuyaux d’un diamètre de 100 mm et d’une épaisseur de 2 mm. Le client peut te préciser dans sa commande une précision de mesure de 0.1 mm (en principe dans ce cas, on note 100.0 et 2.0 mm par convention). Dans ce cas, il faut que tes ECME soient en mesure (c’est le cas de le dire) de contrôler que tu respectes ta tolérance client.
Pour ton rapporteur c’est pareil, si ton client te demande de plier une plaque en inox sur un angle de 23° avec une précision à 1°, il faut être certain que ton appareil soit adapté et pas que son intervalle de confiance soit de 2° car tu risques de livrer un produit « non-conforme » aux exigences clients.
En cas de doute, tu peux aussi regarder les fiches techniques de tes appareils, les intervalles de tolérance sont notés dans les spécifications de mesure, ils dépendent notamment de la « classe » de l’instrument. Si cela correspond bien à ton besoin, base tes vérifications / étalonnages sur ce principe. Cela permet également d’être certain d’acheter des instruments adaptés au mesures qu’ils doivent faire.
Dans tous les cas, tu peux regarder quels sont les degrés de précision demandés par tes clients, ça peut être bien utile. Reprenons ton rapporteur. Sa fiche précise qu’il a un intervalle de confiance de 0.1°, tu t’en sers pour exécuter des commandes qui relèvent d’une précision de 0.5° (jusque là tout va bien). Après un retour suite à vérification, on t’apprends qu’il n’est plus conforme à sa spécification de base de 0.1 car il est à 0.3, il reste conforme à tes spécifications clients (et donc tu n’as pas à courir après les pièces pour faire un rappel client).
Concernant le contrôle. Tu peux le faire en interne (moyennant du personnel compétent) à condition que tu aies des étalons, que tu respectes les procédures de vérification/étalonnage de tes instruments et que tu sois en mesure de prouver le rapprochement de tes étalons aux étalons de référence … bon perso, je préfère faire appel à une société spécialisée.
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