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Bonjour,
Dans quel domaine s’il vous plait ?
Bonjour,
Oui, elle exige l’identification des des parties intéressées ainsi que leurs attentes et besoins.
Cependant, la norme ne précise pas que cela doit être fait pour chaque processus. Ainsi, vous pouvez identifier les parties intéressées et leurs attentes pour l’ensemble de votre organisation, ou, de manière non exigée mais plus pertinente : le faire pour chaque processus.
Je vous envoie en mp l’adresse d’une série de vidéo très complète sur ce sujet.
Ce n’est que le copier / coller de votre capilotraction Henri
Bonjour Lilya,
Cela peut poser un problème selon les personnalités de chacun… ou pas… mais vous les connaissez à priori mieux que nous.
En n’oubliant pas que la notion de « propriétaire » et de « pilote » est un choix purement organisationnel et facilitateur la plupart du temps, mais aucunement une attente de d’une norme…
Au moins, vous avez cessé de modifier les messages des autres, voyons y une forme de progrès
Vous êtes peut-être sur la bonne voie en définitive…
Sérieux ? Vous n’auriez pas oublié vos cachets ce soir ?
Les objections non, mais les déconstructions stériles pour le principe oui.
Je vous laisse le dernier mot que vous affectionnez tant, qu’elle qu’en soit la forme, et je quitte cette cours de récréation pour un autre post et un autre sujet plus utile
A tout de suite
Non… on appelle cela du partage, ne vous en déplaise
Le monde change Henri, bien plus vite et bien au-delà de ce que vous imaginez…
Hello ! Même même qu’Henri.
Ma fois, pour user du même raisonnement par l’absurde :
– imaginons avoir un objectif : vivre jusqu’à 100 ans (bon… il n’est pas très SMART, mais on va faire avec)
– si l’on se contente d’avoir un seul indicateur : vivant / pas vivant, il ne va pas être très utile pour l’atteinte globale de l’objectif. D’autant que, si la valeur est « pas vivant », on risque fort de ne pas pouvoir le mettre à jour cet indicateur
– si l’on adjoint, à cet objectif, d’autres indicateurs tels que : le niveau de cholestérol, les divers taux sanguins, la tension, la qualité du transit intestinal (amis poètes : spéciale dédicace), la longitude et la latitude par rapport à Tchernobyl, le degré de stress ressenti… j’en passe et des meilleurs !
– si l’on suit régulièrement ces indicateurs pour inspecter les tendances, identifier les corrections à faire, on renforce la probabilité de se rapprocher de l’objectif
– certes, on a pas les moyens de tout suivre : il est possible qu’un AVC sournois, qu’un décrochement de télécabine à 2 000 mètres de hauteur, que l’ingestion d’une limace (au hasard parmi les derniers Darwin Awards recensés), ou que le fait de laisser Kim Jong-un et Donald Trump dans la même pièce, viennent contrarier l’objectif
Mais on se sera donné plus de moyens que d’autres pour les atteindre et, satistiquement parlant, on aura de bien meilleures chances de s’en rapprocher
C’est un peu cela, la démarche par les indicateurs : ils ne sont pas là que pour dire « youpi » ou « pas glop », mais pour renseigner sur les évolutions et les ajustements à entreprendre par rapport à une stratégie, un ou plusieurs objectifs.
J’alerte sur le fait que nous déployons actuellement (heureux hasard) un sujet sur les processus depuis une semaine sur notre chaine : profitez-en
Bonjour Elotana,
En fait, la matrice d’interaction n’ayant aucun coté obligatoire d’une part, et souvent… moche… elle n’est que peu déployée dans les entreprises.
Les interactions peuvent être :
– une matrice effectivement
– des données d’entrées et de sorties incluant les processus fournisseurs et clients
– des « flèches » dans une « cartographie » (tout aussi peu obligatoire, mais graphiquement plus sympa tout à fait recevable)
– une analyse fine des interactions dans des supports spécifiques
Je vous invite à explorer le sujet que nous mettons actuellement en ligne sur Youtube…
Perso : j’alerte sur le risque de penser que 50 indicateurs sont 49 de trop parce que l’on a qu’un objectif
Excellente idée ce principe d’alerte !
J’alerte donc à mon tour sur les alertes mal placées !
Réfléchissez ! C’est déjà un beau mécanisme d’alerte…
Si un auteur avait, non pas « osé pointer », mais « formulé un constat », il aurait fait son boulot.
Mais : il m’est avis que les audits devaient ressembler à de bien belles batailles en cette époque… quel dommage….Bonjour Charles,
La question de la gestion documentaire se pose régulièrement dans les démarches qualité.
Cependant, les pistes dépendent de la nature et du volume documentaire à traiter et, oserais-je dire, de votre perception du « pas trop cher ».
Eventuellement, si vous nous donnez ces quelques paramètres, je pense que plusieurs d’entre nous pourraient vous renseigner, mais, de préférence et si cela convient à toutes et à tous : en mp afin de ne pas faire de ce blog une vitrine trop commerciale.
Ha au fait… avez vous vu que QUALIBLOG a été crée par une société proposant depuis des années déjà une solution QUALISHARE ?
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