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Hello !
Il n’y a aucune question « spécifique » dans un entretien d’embauche qui dépend de tant de choses… ça tournera toujours autour de toi, tes qualités compétences et expérience par rapport à l’entreprise et au au poste considéré. Soit reposée et soit toi-même… et ça se passera au mieux.
A+
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AFAF, je ne vois pas bien que que signifie « SMQ processus »… as-tu un document de référence pour nous mettre sur la piste ? Car c’est de lui que tu pourras tirer une « grille d’audit ». Ce document on l’appelle alors « référentiel d’audit ». Par exemple quand on audite un SMQ de type ISO 9001, c’est cette norme qui est le « référentiel d’audit » (qu’on peut vouloir résumer dans une « grille »).
Manue, tu as proposé à AFAF d’auditer (en interne) chacun de ses processus pour vérifier s’il répond bien aux différents points de la norme* (ISO 9001 probablement) il doit répondre… Peux-tu comme je l’ai déjà demandé identifier précisément dans l’ISO 9001 ces « différents points auxquels les processus doivent répondre » que tu as évoqués ?
Au plaisir de vous lire tous les deux. A+
Hello !
Bin euh… il faudrait déjà savoir quel domaine de certification tu voudrais viser (Qualité, Environnement, Energie, Sécurité et santé au travail…). Vouloir une certification sans dire de quoi, c’est comme vouloir faire un voyage sans dite dans quel pays…
A+
Hello !
Suggestion : considérer que les « formulaires vierges » (ou « formulaire d’enregistrement) sont que des « détails » d’application de documents « supérieurs » (genre procédures » du SM, et insérer leur fichier dans le fichier du ducument SM qui nécessite leur utilisation… C’est ce que je fais et ça marche impec.
Un formulaire d’enregistrement inclus dans une procédure porte la même référence que sa procédure mais pas le même titre… Exemple de principe : le fichier de la procédure Z28AA3 « traitement des réclamations clients » inclue le fichier Z28AA3 « consignation d’une réclamation client ». Si le fichier « consignation d’une réclamation client » évolue cela occasionne un changement d’indice de la procédure Z28AA3 « traitement des réclamations clients ».
A+
PS : voir mon message du 9 mai 2017 à 8:3 dans cette discussion http://www.qualiblog.fr/forum/management-de-la-qualite/gestion-documentaire-4/
16 mai 2017 à 13 h 20 min en réponse à : mise en place smq processus production et logistique #13872Remarque en forme de boutade : fondamentalement ISO 9001 formule toute une série d’exigences façonnant un modèle de système de management de la qualité. Mais ce modèle n’est pas un modèle de management des « processus »… Alors qq’un peut-il me dire comment auditeur la conformité des « processus » d’une entreprise sur la base de la norme ISO 9001 plutôt qu’auditeur son SMQ ?
En clair : qq’un peut-il identifier précisément dans l’ISO 9001 les exigences ISO 9001 visant spécifiquement les « processus » et pouvant servir à les auditer comme le propose Manue ?
A+
15 mai 2017 à 15 h 26 min en réponse à : mise en place smq processus production et logistique #13868(suite)
Désolé mais décidément je ne comprends pas quelle est ta « problématique » ni la « démarche » que tu cherches pour la production et la logistique à l’intérieur d’un SMQ pour l’entreprise… L’implémentation d’un SMQ se mène dans son ensemble et en équipe selon une démarche de type « conduite de projet » sans laisser Pierre Paul ou Jacques en charge d’une partie du SMQ et libres de la traiter comme chacun le veut bien.
A+
15 mai 2017 à 13 h 33 min en réponse à : mise en place smq processus production et logistique #13864Hello !
La démarche que tu résumes (autoévaluation > plan d’action) est la démarche classique conseillée à toute équipe en mode projet chargée de créer et de lancer un Système de Management que la base d’un modèle normatif comme ISO 9001
Par contre normalement un SMQ c’est celui de (toute) l’entreprise et pas seulement d’une partie de ses fonctions (production et logistique dans ton cas).
A+
PS : mais je veux bien croire que la crainte (irraisonnée) de n’être pas certifiée « motive » une Direction à la veille d’un audit.
(suite)
Transposition fictive de notre différence d’analyse : imaginons une course de voitures de grandes marques où les gagnantes seraient des Ferrari. Toi tu dirais que les voitures de couleur rouge sont les plus performantes et moi que ce sont les concepteurs, metteurs au point et pilotes des Ferrari qui font leur supériorité… (si tant est que les Ferrari soient toujours traditionnellement rouges).
Dans des discussions avec des auditeurs de certification (au restaurant ou en marge de rencontres à l’AFNOR par exemple ou ailleurs) j’ai souvent abordé cette « problématique ». Plusieurs d’entre eux m’ont facilement confié « hors micro » préférer à l’occasion réaliser des audits systèmes hors sanction « certification ». Car, particulièrement quand le management Q (ou autre) de l’entreprise est « limite », ils se sentent alors plus libres d’apporter leurs constats sur la réalité du management à la direction auditée. Mais bien sûr officiellement tout est affaire de « certification » car aucun acteur de ce business ne veut se tirer une balle dans le pied.
Je serais plus sensible à la « certif » d’une entreprise si elle n’était pas systématiquement obtenue et renouvelée à quasi 100%, ou si par exemple en S&ST elle était « donnée » par l’Inspection du Travail et non par une structure commerciale.
Mais bon, nous avons une différence de point de vue JDR, c’est ce qui nourrit la réflexion de ceux qui nous lisent dans ce forum.
A+
JDR,
Que la majorité des entreprises ayant adopté le modèle ISO 9001 aient fait certifier leur SMQ ne change rien au fait que les progrès de ces entreprises viennent de leur travail de management et non de la certification par un organisme.
Structurer un SMQ mode ISO 9001 ce n’est tout de même pas seulement « faire une analyse de processus »… (je n’identifie d’ailleurs pas cette exigence ou alors j’ai raté qqchose).
A+
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JDR tu continues à baser ton analyse sur le raccourci suivant : quand on dit qu’une entreprise est « certifiée » ISO 9001, en réalité dit surtout que cette entreprise « a structuré et pratique un système de management de la qualité » basé sur ce modèle.
Son éventuelle bonne performance vient du fait de pratiquer assez correctement un management de la qualité pertinent, mais pas de la certification qu’on lui étiquette. Elle pourrait avoir adopter ce modèle de progrès, avoir tenu à faire certifier son SM, puis cesser de le faire certifier, tout en conservant son SM et ce qu’il produit (progrès des performances). Ou même elle pourrait avoir fait exactement le même travail d’adoption et de mise en oeuvre d’un SMQ ISO 9001, avoir progressé et continuer de le faire, sans avoir jamais vouloir le faire certifier…
Avant la mode de la certification des SM il y en a toujours eu des bonnes et des mauvaises (sur le plan Q ou autre)… la différence venait déjà de la qualité de leur management Q par leurs directions. Les « mauvaises » directions ne perçoivent pas l’intérêt ou n’ont tout simplement pas envie d’adopter un SMQ sur le modèle ISO (elles préfèrent faire à leur manière). Résultats celles-ci ne risquent pas d’être identifiées par un acheteur comme étant « certifiées » et ne progressent pas vraiment.
Et c’est ainsi que tu en arrives de manière statistique à croire que c’est la certification qui fait la performance, alors que c’est la rigueur et la pertinence du SMQ des entreprises qui ont adopté un modèle de SM qui obtiennent ce résultat… D’ailleurs la certif d’un SM ne repose sur aucun critère de performance, on peut avoir un système certifié tout en ayant de piètres résultats… Et je rappelle aussi que l’ISO 9001 n’a aucune exigence de certif. Le SM se passe de certif, tandis que la certif ne vit pas sans SM.
Donc je suis tout à fait d’accord avec toi : quand tu fais le bilan qualité de tes fournisseurs, rapporté à la pratique/absence de SMQ mode ISO 9001, il y a une vraie corrélation. Cette corrélation signe la pertinence ou l’intérêt du modèle ISO 9001 pour les directions qui se l’approprient correctement (elle ne signe pas l’apport spécifique de la « certif »).
A+
JDR, tu parles en réalité de la corrélation entre performance et management pertinent…
Hello !
JDR, tu le dis toi-même (je reprends tes termes) la différence c’est « grâce au processus d’amélioration (et tout ce qui tourne autour, NC, revue, risques…) ». Autrement dit c’est grâce au SMQ que ces entreprises ont monté et font vivre (ce n’est pas grâce à la « certification »). Il y a aussi plein d’entreprises « certifiées » avec lesquelles on travaille mal et d’autres non certifiées avec lesquelles on travaille bien… Le progrès la performance sont produits par l’entreprise grâce à la pertinence et la rigueur de son management (qualité ici) et non par l’organisme certificateur et la certification qu’il signe. Je suis à fond pour les modèles de SM en tant qu’outil, mais je ne plébiscite pas leur certification.
En réalité derrière « une entreprise certifiée fonctionne bien mieux que les non certifiées » il y a surtout « une entreprise ayant un management pertinent fonctionne bien mieux que celles au management fantasque ».
A+
NB : peu importe que le domaine d’application du SMQ soit documenté dans un document appelé « manuel qualité » (non exigé par ISO 9001), « démarche qualité », « domaine d’application du SMQ », « base de notre SMQ », ou autrement, pourvu qu’il soit documenté. Par contre il serait inutile et même maladroit le documenter dans deux documents différents…
Hello !
Nina je crois que tu interprètes un peu trop les exigences ISO 9001 (ici son point 5.2.2)…
Comment identifier les parties intéressées concernées par la connaissance de notre politique qualité, et quels sont les moyens pour la leur communiquer ?
>> Tu n’as pas à faire cette identification dans ce but car ces « parties intéressées » sont les mêmes que celles que tu as déjà identifiées avant (cf 4.2) d’envisager la diffusion de la politique (cf 5.2.2).>> Pour les parties intéressées externes à l’entreprise tu n’as pas à la « communiquer » non plus, seulement « à la mettre à leur disposition » (cf 5.2.2) : donc si ta politique est consultable sur le site internet public de ton entreprise, c’est un moyen très pertinent de satisfaire cette exigence de mise à disposition…A+ -
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