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(quoi ? il n’y a pas d’invitation à quitter la communauté Qualiblog pour aller visionner des vidéos sur une chaine youtube commerciale ? )
25 août 2018 à 8 h 51 min en réponse à : Liste des travaux dangereux (Arrêté du 19 mars 1993) #15928(suite)
Ne t’embrasse pas de ce texte… rédige toujours le PdP établi…!
A+
23 août 2018 à 15 h 34 min en réponse à : Liste des travaux dangereux (Arrêté du 19 mars 1993) #15926PS pour mémoire : l’arrêté en question détaille un des deux contextes induisant l’établissement d’un PdP par écrit… Mais quand l’opération considérée ne correspond pas à un de ces contextes EU doit néanmoins organiser l’inspection préalable commune, afin de mener la concertation sur l’opération et l’échange de certaines informations entre EU et EE(s), et au final établir un PdP au moins « oral »…
Mais chacun sait que les paroles s’envolent et que les écrits restent, et j’ai toujours préconisé de rédiger le PdP dans tous les cas…
22 août 2018 à 23 h 19 min en réponse à : Liste des travaux dangereux (Arrêté du 19 mars 1993) #15925Hello !
Je lis ce point 5 comme s’il était écrit ainsi :
5. Travaux de maintenance sur les équipements de travail qui doivent faire l’objet des vérifications périodiques prévues aux articles R4323-23 à R4324-27, R4535-7 et R4721-11 du code du travail (exceptés les appareils et accessoires de levage)…
…ainsi que les travaux de maintenance sur les équipements suivants :
– véhicules à benne basculante ou cabine basculante ;
– machines à cylindre ;
– machines présentant les risques définis aux articles R4324-18 à R4324-20 du code du travail.
Autrement dit je comprends que les travaux de maintenance considérés sont ceux portant sur ces équipements :
– en général les équipements soumis à des vérifications périodiques prévues selon certains articles du code du travail cités (mais en enlevant les appareils et accessoires de levage)…
– mais aussi les véhicules à benne ou cabine basculantes, les machines à cylindre et les machines présentant les risques définis par certains autres articles du code du travail.
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A+
François, je ne suis pas sûr qu’un « sondage » soit une bonne base d’état des lieux dans un simple « service » (même si son effectif est assez gros)… Il vaudrait mieux faire des entretiens sur la base d’une trame et laisser sortir ce qui peut. Ou simplement « vivre » dans le service et observer… A+
(suite)
Fabie décidément j’ai du mal à bien comprendre ton cadre d’intervention. Mais j’ai au moins compris que tu devais auditer plusieurs secteurs de l’entreprise selon un référentiel interne qui n’a servi que dans un seul secteur pour l’instant. Mais quel rapport avec la problématique du secteur électrolyse en particulier ? Ce référentiel C8As ne vise-t-il que la prévention des mains ?
Par ailleurs lorsque on utilise un référentiel d’audit déterminé je ne vois pas bien comment faire preuve d’innovation.
Enfin les pictogrammes (la signalisation de sécurité) ce n’est pas très nouveau, c’est utile mais assez « bas » sur l’échelle des principes de prévention…
A+
PS : que le référentiel interne en question ait été « élaboré suivant une norme » ou pas n’a pas d’importance, ce sont les dispositions de ce référentiel qui comptent seules.
PS : le but étant d’identifier des écarts entre la pratique et la théorie afin d’envisager ensuite de réduire ces écarts…
(suite)
Fabie, « auditer » c’est comparer une réalité, une pratique, ici le fonctionnement d’un service en matière S&ST si j’ai bien compris, à une théorie qui est le « référentiel d’audit », comme par exemple les dispositions de la partie IV du code du travail ou les consignes S&ST de l’entreprise…
>> Quel est le référentiel qu’on te demande d’utiliser pour ces audits S&ST des services de ton entreprise ?
A+
11 août 2018 à 10 h 21 min en réponse à : Deployer un standard de préservation de la main à l’électrolyse #15911Hello !
Bin… euh… « déployer le C8As à l’électrolyse » nécessite de connaître (ce n’est pas mon cas) et de mettre en oeuvre ce « standard C8As » pas à pas… ce qui ne me semble pas vraiment ouvrir la porte à beaucoup d’idées nouvelles et innovantes si ce « standard » est une méthode « standard »…
Pour ma part aborder une problématique de prévention de la sécurité & santé au travail dans n’importe quelle activité professionnelle ne peut commencer que par une analyse des risques en situation de travail, en coopération avec les opérateurs et les acteurs périphériques concernés, complétée par une analyse des accidents déjà survenus.
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Hello !
Bin… euh… « déployer le C8As à l’électrolyse » nécessite de connaître (ce n’est pas mon cas) et de mettre en oeuvre ce « standard C8As » pas à pas… ce qui ne me semble pas vraiment ouvrir la porte à beaucoup d’idées nouvelles et innovantes si ce « standard » est une méthode « standard »…
Pour ma part aborder une problématique de prévention de la sécurité & santé au travail dans n’importe quelle activité professionnelle ne peut commencer que par une analyse des risques en situation de travail, en coopération avec les opérateurs et les acteurs périphériques concernés, complétée par une analyse des accidents déjà survenus.
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Hello !
Sans infos explicites sur ta production Fabien on parle un peu dans le vide… mais en principe ta conception de tes produits a des répercussions sur des phases de leur cycle de vie qui sont « hors de ton périmètre ».
Par exemple même si tu ne peux (dois) pas « gérer les déchets finaux » que seront un jour tes produits quand leurs utilisateurs s’en débarrasseront, selon les matériaux que tu choisis d’utiliser pour les fabriquer le recyclage de ces déchets finaux sera plus ou moins pénalisant pour l’environnement… C’est vrai pour tes produits, c’est vrai aussi pour les emballages dans lesquels tu les livres…
Par contre si tu fabriques des produits selon un CdC des « industries manufacturières » qui sont tes clientes (tu ne conçois pas les produits, tu ne choisis pas les matériaux…) c’est sûr que tu n’a pas d’influence sur le recyclage final des déchets qu’ils seront à terme.
A+
(suite)
La réglementation S&ST d’un pays et un modèle de système de management S&ST sont de nature et de consistance différentes : une réglementation S&ST est généralement plus volumineuse et plus précise qu’un modèle de SMS&ST, sans forcément formuler une démarche ou des principes généraux comme le fond plutôt les modèles de systèmes de management normatifs (qui sont plus « courts »). Donc il sera plus clair de faire un double diagnostic (même si le cas échéant certaines exigences de tes deux référentiels peuvent être proches) : un volet « conformité réglementaire », un volet « vision SMS&ST ».
Je ne connais rien de la réglementation S&ST gabonaise mais elle peut avoir par exemple certaines dispositions visant la formation du personnel à la S&ST, tout comme le modèle de SMS&ST ILO-OSH. Par contre elle peut avoir des dispositions particulières visant la prévention des risques chimiques alors qu’aucun modèle de SMS&ST n’en a (les dispositions d’un SMS&ST étant des généralités).
Un troisième volet de diagnostic pourrait être de faire une analyse transverse des « résultats » S&ST de l’entreprise à partir d’une revue des accidents du travail et maladies professionnels des trois dernières années par exemple. Mais pour avoir un minimum d’intérêt il faut disposer d’une traçabilité fiable et documentée en détail de ces AT et MP (nature, circonstances, conséquences, actions menées…) afin de « voir » les problématiques S&ST de l’entreprise.
Si tu ne disposes pas d’une telle base de données fiable et riche, alors tu peux aussi commencer une analyse systématique et approfondie de tous les AT-MP qui surviendront durant ton projet de diagnostic S&ST de ton entreprise. Si tu pousses bien ces analyses sur un « échantillon d’AT-MP, ça pourrait générer des observations interessantes au second degré sur l’approche S&ST de l’entreprise. Ce qui complètera utilement les deux premiers volets du diagnostic
Qu’en dis-tu ? A+
1 août 2018 à 18 h 48 min en réponse à : Impact de l’évolution de l’ISO 9001: 2015 sur la performance des organisations #15881(suite)
Je réagis tardivement à un détail de ton message initial Moi33 : tu dis de l’ISO 9001 que c’est une « nouvelle norme », mais ce n’est qu’une nouvelle version d’un norme qui existe depuis longtemps et qui a déjà évolué plusieurs fois. Cette nouvelle version n’est pas radicalement novatrice par rapport à la précédente (elle ne révolutionne donc pas la performance qualité des entreprises qui s’en servent).
A+
(suite)
Fabien voici un lien vers le règlement européen EMAS (c’est son annexe 1 qui traite de l’analyse environnementale) :
https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/HTML/?uri=CELEX:32009R1221&from=FR
A+
1 août 2018 à 15 h 10 min en réponse à : Impact de l’évolution de l’ISO 9001: 2015 sur la performance des organisations #15873Je crois que nous sommes tous bien d’accord, dans SMQ il y a le M de management, qui est le propre de la direction.
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