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Hello !
Les normes de SM n’exigent pas, et n’interdisent pas, qu’une entreprise passe par un prestataire pour se faire conseiller et se faire aider dans son projet de structuration et de fonctionnement d’un SM… Qu’importe que ton kit documentaire vienne d’ici ou de là, ce qui importe surtout c’est que ces documents soient conformes aux exigences des modèles de SM choisis (en fond et forme* !) et qu’ils soient adaptés à ton entreprise. A toi de voir si le kit en question colle à ces deux caractéristiques et de les approprier à ton entreprise selon besoin (adaptation, complément, simplification, précision…).
* la moindre des choses c’est d’enlever l’éventuel logo du prestataire et d’y mettre celui de l’entreprise.
A+
PS, deux remarques :
– Inutile de préciser le millésime des normes que tu utilises pour monter un SM, personne je pense n’aurait l’idée de prendre pour modèle une version précédente (annulée) de ces normes.
– La norme de SMS&ST que tu mentionnes est une norme britannique, sa vraie référence est BS OHSAS 18001. Cette norme est sur le point d’être annulée compte tenu de la publication d’ici 3-4 mois (?) de la norme ISO 45001.
Ok vu, ça roule ! Merci.
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Oups… j’ai écrit n’importe quoi… je voulais dire « Son exposition (celle du salarié) est plus interessante que celle des murs ou du sol »… car eux n’ont aucun risque de surdité !
Mais je ne partage pas ton commentaire « effectivement les mesures n’ont pas été faites sur une journée complète, donc pas de lex(d) » : c’est assez inexact… Une Lex,d n’est pas une exposition mesurée sur la journée entière réelle de travail, c’est l’exposition équivalente calculée-fixée sur 8h par principe de l’exposition sonore du salarié durant sa journée réelle de travail (qu’elle soit de 7h30 ou de 8h15 par exemple). Et il est courant de les établir sans avoir mesurer la totalité de cette journée réelle de travail.
C’est tout l’art du « mesureur » que d’analyser d’abord un minimum l’activité de travail d’un salarié pour se faire une idée de sa journée de travail « type » afin de déterminer quelle stratégie de mesurage nécessaire et suffisante il va appliquer avec les appareils dont il dispose et pouvoir in fine calculer sa Lex,d à moindre coût si j’ose dire. Et même si on n’a que des Leq,T des différentes phases de travail (comme dans ton cas semble-t-il) on peut tout à fait calculer des Lex,d.
A+
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Merci pour la communication de ces Leq,T Delphine, mais tu n’as pas vraiment répondu à ma curiosité (en Lex,d) : des mesures de niveau de bruit dans un lieu ne constituent pas vraiment une EvRP tant qu’on ne considère pas l’exposition d’un salarié au fil de son activité, c-à-d tant qu’on n’arrive pas à sa Lex(d). Son exposition est plus interessante que celle des lors ou du sol…
Avec tes chiffres on peut craindre de vrais risques pour des opérateurs s’ils travaillent la plupart du temps et sans EPI à 88 dB(A) mais pas si c’est à 72 dB(A). Ce genre de mesure ne sert qu’à envisager la signalétique géographique réglementaire du risque bruit pour les niveaux forts permanents.
Néanmoins ces valeurs sont bien plus parlantes et objectives qu’une évaluation du genre « PG (avec ou sans M) » complètement subjective et non reproductible ! D’ailleurs plutôt que « PG » il vaut encore mieux la petite grille d’évaluation de la conversation entre deux personnes distantes de 1 mètre rappelée par l’INRS…
A+
Hello !
Merci pour ta PJ Delphine.
Curiosité : quelles sont les valeurs d’expo sonore quotidienne en question les plus fortes chez toi ?
A+
PS : je t’ai envoyé un mail via hotmail.
8 janvier 2018 à 14 h 12 min en réponse à : creation d’un outil d’amelioration des performances des audit de securité #14416Hello !
Je suis content que tu reprennes la discussion.
« Etc… » n’est pas une bonne formule pour définir précisément le champ de ton travail de stage. A part les problèmes d’incendie, de produits chimiques et d’installations électriques que vises-tu d’autre ? Si tu ne peux pas lister toutes les problématiques que tu vises il faut définir ton sujet de manière plus généraliste en identifiant clairement sa finalité : par exemple le thème de l’incendie peut aussi bien être vu dans le sens de la prévention de l’environnement, celui de la préservation du patrimoine ou encore celle des la S&ST des salariés.
Du coup les « règles » que tu dois identifier pour constituer ton « référentiel d’audit » n’ont pas les mêmes sources… Si je poursuis l’exemple de l’incendie il faudra aller chercher du coté du code de l’environnement, du code de la construction et de l’habitat, des assureurs, et/ou du code du travail…
Tu dois absolument mieux définir ton champ d’intervention pour constituer ton outil d’audit.
Ton dernier message penche plus clairement du coté « audit de conformité » que du coté « évaluation des risques », c’est bien ça ?
A+
Hello !
Toutes les applications smartphones susceptibles de « mesurer » des expositions S&ST sont mille fois plus pertinentes que ce foutu machin R = P * G (qui n’est pas un outil d’EvRP et avec M c’est encore pire) ! Alors banco pour les utiliser sans modération, sans que ça remplace de « vraies » mesures lorsque ces applications smartphones montrent que ces expositions sont « fortes » voire approchent les seuils d’action voire les VLEP.
Te voici rassurée Delphine ? A+
(suite)
Alors ces annonces doivent certainement en dire un peu plus sur le profil des postes en question. Peux-tu nous communiquer ces descriptifs ?
A+
Hello !
Je ne vois qu’une option : changer de métier (ou d’entreprise) afin de se plonger dans une autre routine…
A+
25 décembre 2017 à 7 h 04 min en réponse à : MODIFICATION DE LA DOCUMENTATION ISO 9001 : 2015 #14402PS: une manière de « ne pas risquer d’épuiser un auditoire parfois effrayé à l’idée même de converser sur le management de la qualité » c’est en l’occurence de ne pas valoriser ou même évoquer dans une discussion sur la mise en oeuvre de l’ISO 9001 un document qui ne fait tout simplement plus-pas partie de ce modèle de SMQ… A+
On ne sait pas trop… mais en tout cas cette procédure est assez mal rédigée. A+
24 décembre 2017 à 17 h 39 min en réponse à : MODIFICATION DE LA DOCUMENTATION ISO 9001 : 2015 #14400C’est bien ça, si les équipes en place en ont l’utilité, un support a toute sa légitimité (c’est par exemple le cas du « carnet de bord », du « mode opératoire » , de la « spécification de fabrication », du « plan de vérification », de la « résolution d’une NC », du « support de REX », etc…). A+
24 décembre 2017 à 9 h 48 min en réponse à : MODIFICATION DE LA DOCUMENTATION ISO 9001 : 2015 #14397(suite suivante)
Je vais aborder la question d’une autre manière, plus courte…
Imaginons un auditeur intervenant dans une entreprise dont le SMQ ne comporte pas de « manuel Qualité » parmi ses « informations documentées » et une autre qui en a un. En auditant la documentation SMQ de la seconde entreprise il sera automatiquement amené à interroger l’entreprise sur la pertinence de ce « manuel » qui ne répond à aucune exigence particulière du référentiel d’audit (l’ISO 9001)…
Alors pourquoi donc gérer un « manuel Qualité » à ce jour ? Toute la question est là. Et la réponse ne peut plus être « normative », elle ne peut être que « personnelle » (puisque que « hors ISO 9001 »).
A+
23 décembre 2017 à 19 h 06 min en réponse à : MODIFICATION DE LA DOCUMENTATION ISO 9001 : 2015 #14396(suite d’un échange intéressant…)
Thaumasia, je crois que nous sommes assez d’accord sur le fond. Mais je poursuis pour ceux qui tiennent au « manuel Qualité » pour ce qu’il était sans trop savoir pourquoi…
Je repars de ta phrase « depuis des années, certaines et certains ont largement dépassé la simple exigence pour s’approprier des dispositions et en faire des supports utiles« . C’est admettre que l’utilité de l’ancienne exigence ISO 9001 d’établir un « manuel Qualité » n’était peut-être pas si manifeste et que certains avait alors dépassé cette disposition pour en faire qqchose qui leur était utile. Alors j’aimerais bien connaître cette utilité(s) passée « dépassant la simple exigence » du manuel Qualité, que pourtant tous les SMQ ont formellement satisfaite puisque c’était avant tout une exigence du modèle (avant d’identifier un besoin interne qu’il pouvait satisfaire).
J’oserais dire qu’à avoir été obligé de créer un tel « manuel » certaines et certains ont cherché à lui trouver une utilité pour justifier son existence autrement que pas par la seule disposition normative… Poussé par l’évolution de l’ISO 9001 mon propos est alors d’oublier provisoirement ce « sacro-saint » manuel Qualité et de s’approprier l’ISO 9001 sans s’occuper du passé : ISO 9001 exige explicitement quelques « informations documentées » et laisse à l’organisme l’initiative de leur ajouter toutes autres informations documentées qui lui semblera nécessaires à son SMQ… (NB à part la « politique » ISO 9001 n’induit aucun nom pour ces documents). La logique est donc d’identifier ces besoins avant de créer les informations documentées qui semblent nécessaires et non l’inverse. Du coup je reformule mon attente en : j’aimerais bien connaître ce besoin(s) actuel
« dépassant la simple exigence » du manuel Qualitépassant par une éventuelle information(s) documentée(s) que certains tiennent absolument à appeler « manuel Qualité (en maintenant l’ambiguïté de cette appellation)…Posée ainsi mon attente est totalement en phase avec l’ISO 9001 actuelle, sans la moindre scorie du passé appelée « manuel Qualité » (lequel n’a plus de justificatif de contenu) !
A+
23 décembre 2017 à 18 h 01 min en réponse à : Modèle demande d’actions préventives ou actions correctives #14395Hello !
Qualitéfacile tes propositions (celles-ci à nouveau) sont sensiblement dépassées. Manifestement tu ne travailles pas avec la version actuelle de l’ISO 9001… (qui ne « définit » ni les actions « correctives » ni les actions « préventives » et qui d’ailleurs n’exprime pas d’exigence en terme d’actions « préventives » désormais…).
A+
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