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Quelle « fiche de sanction » cherches-tu…? C’est tout simplement le règlement intérieur dont le volet sanction est mis en oeuvre par la Direction (et non par le Préventeur). Je redis que la prévention S&ST est un acte de management !
A+
25 août 2016 à 20 h 06 min en réponse à : Projet Fin d’étude – Visites Comportementales Sécurité – Benchmark – Critiques #12882Hello !
Martin j’ai deux questions à la fois naïves (?) et fondamentales à propos de ces « Visites comportementales sécurité » qui auditent le comportement des techniciens itinérants en maintenance et dépannage de cette entreprise :
– Dans cet outil « VCS » quelle est la définition de la notion de « comportement » ?
– Quel est le référentiel de comportements servant de référentiel d’audit pour ces VCS et pour débrieffer les comportements observés ?
A+
Hello !
Réponse courte et provisoire : PR, « non-conformité » à quoi ? Je veux dire dans quel contexte, selon quel référentiel ?
A+
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Avec l’éclairage de Delphine on voit bien que le référentiel S&ST légal (d’application obligatoire) et la référentiel MASE (d’application volontaire) ont des exigences différentes.
Ola si ce sont précisément les exigences MASE qui te préoccupent ce sont elles que tu dois creuser.
A+
Hello !
Pareil pour moi, avec mes mots : la prévention S&ST un acte de management, donc décidé par la Direction (conseillée par le Préventeur de manière pertinente) et déclinée par la hiérarchie, non par le Préventeur… Le Préventeur a aussi le rôle d’auditer l’application des mesures de prévention décidée par la direction et (par exemple quand il constate le non-port d’EPI) il agit surtout auprès de l’encadrement…
A+
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Pauvre EU… non je blague. Par définition la réglementation est généralement « contraignante »… En matière de coordination sécurité des interventions EE/EU toutes les EE ont les mêmes exigences réglementaires à satisfaire et l’EU a particulièrement celle d’initier et de piloter la coordination des entreprises qui interviennent chez elles en direct (sans « sous-traiter » cette coordination). Tu peux relire les exigences du code du travail à ce sujet si tu as des doutes.
Pour ce qui est du MASE je n’ai pas en tête ses exigences en la matière, mais c’est une autre histoire puisque c’est un autre référentiel (non réglementaire celui-là). Et le MASE ne prime pas sur le code du travail.
A+
Hello !
Puisque tu parles de réglementation sécurité des interventions d’Entreprises Extérieures chez une Entreprise Utilisatrice ne parlons pas de « sous-traitants » mais bien d’EE…
L’EE contractante (EEa), qui sous-traite à une autre EE (EEb) une partie de sa prestation chez EU, n’a pas à « s’assurer que le son sous-traitant respecte la règlementation et prend en compte les risques liés à la coactivité » ! C’est l’EU qui doit le faire… EEa a juste à avertir EU que EEb va aussi intervenir aussi.
En effet toutes les EE sont considérées de la même manière par la réglementation de coordination sécurité des interventions EE chez EU : informée de l’existence de EEb l’EU va devoir l’intégrer dans sa coordination au même titre que EEa (c-à-d d’emblée en convoquant EE2 au même titre que EE1 pour l’inspection préalable commune des lieux de l’intervention). La coordination est ainsi pilotée par EU avec toutes les EE sans tenir compte qu’elles soient contractantes (comme EEa) ou sous-traitantes (comme EEb).
A+
8 août 2016 à 10 h 23 min en réponse à : Questionnaire de thèse professionnelle sur le leadership de la sécurité au service de la culture sécurité #12863(NB : La mise en oeuvre… peut-elle…)
Je ne suis pas sûr que ce jeu des 7 différences soit vraiment utile, en tout cas je ne l’ai pas fait personnellement.
Ce qui est plus intéressant c’est d’auditeur notre (« ancien ») SMQ avec la version actuelle du modèle ISO 9001. A+
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Tu m’en diras tant JLO !
Tu es donc déjà sur le processus commercial de l’organisme certificateur de ton choix. Ce processus lui est propre, c’est donc exclusivement avec lui qu’il faut en voir les détails, notamment de sa « 1ère étape »… En effet chaque organisme de certification a ses propres modalités pour arriver à produire la certification de ses clients et ont des « étapes » différentes voire pas d’étape…
Curiosité : ton entreprise a-t-elle déjà mis en place et en fonction un SME mode ISO 14001 ?
A+
Hello !
On ne « monte » pas « un dossier pour postuler à la certification ISO 14001 ».
La norme ISO étant un modèle de Système de Management de l’Environnement, on commence par doter l’entreprise d’un SME répondant aux « exigences » de cette norme et à le faire fonctionner pour commencer à améliorer les performances de l’entreprise en matière d’Environnement (c’est la finalité d’un SME)
Puis on choisit un organisme certificateur à qui on va acheter un audit de conformité du SME de l’entreprise à ce modèle normatif pour le certifier « ISO 14001 ». Il est extrêmement rare qu’on n’obtienne pas cette certification (je dirais qu’on l’ « achète » comme tout autre produit).
A+
Bin euh… c’est la T° du process dans ton entreprise…
Tu utilises tel produit à T° ambiante ? Tel autre chauffé à 50 ° ?
Il n’y a que toi qui puisse le savoir.
A+
19 juillet 2016 à 13 h 28 min en réponse à : Différence entre politique qualité et lettre d’engagement de la direction #12850Ok Delphine. Mais ça n’améliore pas ce que je pense de la certification…
A+
Hello !
A la notion de communication verbale je préfère même celle de formation des opérateurs pour leur transmettre les résultats de la conception du travail et la prévention de ses risques.
A+
19 juillet 2016 à 9 h 16 min en réponse à : Différence entre politique qualité et lettre d’engagement de la direction #12847(suite)
C’est ça, ISO 9001 exige que la politique Qualité de la direction soit documentée mais attend par ailleurs certaines manifestations de l’engagement de la direction. Je suis toujours surpris d’entendre parler de « lettre d’engagement »(cet engagement, ce comportement, ne peut être documenté).
Tina d’où te viens cette idée de lettre d’engagement ? A+
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