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Un mémoire (comme n’importe quel document que l’on demande à un salarié, un apprentit ou un étudiant…) est un livrable (élément de sortie d’un projet) qui correspond à une demande. Ce livrable est définit par le client (ici la structure pédagogique) qui dicte ses besoins et ses attentes dans un Cahier des Charges.
Par conséquent, si tu veux de l’aide à ce sujet, nous avons besoin de ce cahier des charges (ou note de cadrage…) afin d’orienter nos commentaires. Sinon nos réponses pourraient dévier de ce que tu attends, comme celle de lpfdgl qui pensait pourtant bien faire en répondant à ce sujet.
L’important serait de savoir dans quel cadre tu réalises cette veille… Est-ce pour l’entreprise en elle-même ou pour pouvoir vendre ce service à des clients. Dans tout les cas, certains outils permettent de cerner la réglementation sur des points précis (INRS en tête) ou d’effectuer une veille (COD-IT, Legi-France…). Pour la sécurité, c’est le moins galère, pour l’Environnement, à part le Code en lui même ou les organismes comme l’INERIS ou la DREAL. En terme de Qualité, il existe quelque fois des normes devant être appliquées pour la réalisation d’un produit, j’imagine qu’il en est de même pour des services.
J’ajouterais juste une chose, il faut différencier l’analyse des exigences légales applicables (et la mise en conformité) et la veille réglementaire. D’ailleurs il me semble que Polo en parlant dans un précédent post.
Les intrus viennent du fait que j’ai voulu tout mettre dedans. Le but étant de structurer l’entreprises, je m’en suis servi pour créer le DU et toute la partie sécurité / environnement. La Politique et le Manuel sont dans le chapitre 5, perso j’aurais commencé par les références… ça parait plus logique. Les « procédures groupes » sont juste les procédures « obligatoires » permettant de cadrer le système, sinon il s’agirait d’exigence client, en effet.
Merci des précisions, toujours bon à prendre. Je ne recherchais pas une trame, plutôt des points d’orientation, ce que tu m’as donné.
Bonjour, il me semble que chaque composant chimique doit être pris en compte séparemment, dans la mesure où chaque produit possède ses propres caractéristiques et des dangers qui lui sont propres sur la santé.
D’un point de vue réglementaire, il faudra valider que les salariés ne sont pas exposés au dessus des valeurs limites pour chaque produit chimique. Mais peut-être existe-t-il un moyen de calculer une VLE ou une VME globale pour ce produit…
Dans ce cas il va te falloir trouver de la documentation et des expertises de Qualiticiens chevronné…
Dans notre cas le déploiement du SMQ nécessite quelques ajustements par rapport à ce qui a été planifié. La démarche avance bien mais les documents ne sont pas encore signés (mais ils sont appliqués)… si au bout du compte tout ça tiens debout, ça ne posera pas de problème. Mais ça pourrait nécessité une analyse approfondie.
En fait c’est la version 2015… j’avais très rapidement entendu parlé de l’EFQM il y a quelques temps sans comprendre vraiment ce que c’était…
Mais si on veut faire de la « qualité totale » sans passer par une certification ISO c’est pas forcément la peine d’aller vers une autre démarche de certification ou d’évaluation… il suffit juste de penser son propre système « Lean » (Débarasser de tous les trucs inutiles qui font perdre du temps).
23 avril 2015 à 10 h 38 min en réponse à : Enquête rapide sur les consommateurs et les labels responsables ! #12120J’ai répondu, ce questionnaires est rapide et bien réalisé… ce n’est pas souvent le cas.
Bon courage pour la suite.
Je suis confronté aux mêmes problématiques et voici le retour que j’ai pour l’instant :
> Tout les documents doivent (devraient) faire partie du SMQ, notamment pour en assurer la disponibilité et l’archivage. Un document hors système est un document non maitrisé. Si il a une incidence sur le produit finis ou la satisfaction du client alors il doit être formalisé et intégrer la dedans (sinon il faut s’intérroger sur l’utilité du document).
> Avant 2000, il fallait absolument tout écrire… maintenant, et encore plus avec la version 2015, rien n’est obligatoire mais il faut que ça tourne correctement (en gros). Certains vont mettre des modes opératoires pour tout et n’importe quoi, d’autres vont faire des formations approfondis, ou encore un petit affichage furtif en cas d’oublie… Pour la piqure, il s’agit d’une opération de base (formation, évaluation, re-formation si nécessaires… pas de documents) mais dans un contexte à gérer (un affichage sur l’hygiène par exemple… qui ne sera pas « dans le système » mais précisera les bonnes pratiques à adopter).
Après libre à chacun de mettre un enregistrement à coté qui demande au patient si il est content et des « audits de postes » qualifiant les infirmière… mais ce serait un peu lourd ?!
Je vois moyennement l’intéret d’une certification, hormis s’il s’agit d’une exigence client… si le site en france est certifié c’est déjà une bonne garantie de la méthode non ? Quels sont les avantages (s’il y en a) d’une telle démarche… et les inconvénients (si c’est fait ou pas fait), c’est la question à ce poser dans ce cas de figure il me semble.
En tant que QSE débutant, je ne peux que dire une seule chose… quand une exigences Qualité fait appel à des choses existantes en Sécurité et en Environnement, il ne faut pas se priver. Identifier les parties prenantes, les risques et les opportunités de nos processus vis-à-vis de tout ce qui gravite autour, et traiter cela comme une bonne vieille démarche de prévention.
C’est vrai que souvent, au début, chacun à ses propres documents et il est plus naturel pour la majorité d’entre nous de travailler avec une version papier (ou écrire). Je suis dans un cas similaire mais sans la GED et le plus compliqué sera de sensibiliser les gens à utiliser le logiciel de gestion et de vérifier constamment qu’ils n’ont pas de documents périmés (la date doit correspondre à la version).
Pour l’auditeur… hé bien déjà si il devait y avoir un tel document au fin fond d’un tiroir, il tombera forcément dessus. Mais encore une fois, si la date correspond à la version et que le papier es signé (ou n’importe quoi de nominatif) tu ne devrais pas avoir de problème.
L’un des points principaux restera de sensibiliser et de faire des vérification de temps en temps, ou bien faire de l’autocontrôle sur les documents qui changent.
La disparition du manuel qualité est logique en effet, car maintenant on y retrouve tout et n’importe quoi. De plus la « Qualité » telle qu’elle est définit dans l’ISO 9000 doit être incorporer à tout les niveaux…
L’orientation voulue est la maîtrise des risques de toute manière, que ce soit des risques pour le client, pour la sécurité du personnel ou pour l’environnement, tout se regroupe. La perte de clients, de financement, de personnel ou la détérioration de l’environnement ont tous pour résultat la fermeture de l’entreprise ou une situation économique difficile, donc il faut maîtriser tout ces risques
La confrontation entre Préventeurs et Qualiticien n’a plus de sens aujourd’hui, surtout avec la nouvelle version de l’ISO 9001 et la 45001 qui sortira l’an prochain sur le Management du Risque SST… même sans être certifié, les entreprises doivent gérer tout les risques si elles veulent prospérer et viser l’amélioration de leurs performance pour créer plus de richesse.
Oui mais pas seulement, car l’AMDEC ne prend en compte que les risques pour le client alors que là, il faut être plus global et voir les impacts sur les parties prenantes.
Entre autre oui, j’ai un peu de mal avec cette partie Risque de la version 2015, mais de ce que j’en comprend il faut définir les risques liés aux opérations réalisées (qui sont plus ou moins définit dans l’AMDEC processus lorsqu’elle existe).
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