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Bonjour
Tu es dans un cas bien spécifique. Sur le forum, on risque de passer à côté d’un truc important et tu ne t’en rendra compte que tardivement.
Le mieux est de contacter ton organisme certificateur (ou 2 ou 3 pour les mettre en concurrence), qui se fera un plaisir de venir rapidement pour donner son avis. Avis que son auditeur ne pourra pas remettre en cause dans 12 mois. Ainsi tu partiras sur des bases saines.
Bon travail.
13 mars 2017 à 18 h 59 min en réponse à : mise en place iso 9001 2015 dans une TPE de prestation de service #13478rebonjour
il est très courant qu’une même personne porte plusieurs casquettes.
tu vas te retrouver avec 4 PSS : Commercial, achats/appros (n’oublie pas les transporteurs, le gestionnaire du site internet), logistique et Direction/amélioration/ressources
Bonjour
les compagnies aériennes ont le même problème (c’est critique chez eux).
Pour toujours progresser en sécurité, faute d’avoir de véritables NC (cynique, non ? ) il faut absolument faire remonter les quasi-accidents (incidents, quasi-collisions…) Mais les pilotes rechignent à les déclarer, car ce serait montrer des faiblesses. Alors c’est anonyme. J’ignore si c’est efficace.
bonjour
bonne idée, que vas-tu mettre dans ce tableau ?
10 mars 2017 à 19 h 06 min en réponse à : Détermination des ressources nécessaires pour les processus #13468salut Henri,
hors sujet dans cette section du forum mais tant pis : en santé et sécurité au travail, de quand date l’analyse des risques obligatoire ?
10 mars 2017 à 19 h 04 min en réponse à : mise en place iso 9001 2015 dans une TPE de prestation de service #13467Bonjour
quelle est la finalité de l’entreprise ? c’est écrit en toutes lettres dans ses statuts. Lis.
tu as besoin d’une analyse de type SWOT (voir le net). Le créateur a toutes les infos nécessaires en tête !
ensuite, fais un tableau qui fait quoi. Va voir les gens, au besoin passe qq heures avec chacun et note ce qu’ils font.
par la même occasion, vois leurs « objectifs » (chiffrés ou non)
vois s’il n’y a pas malgré tout des « équipes » ou des niveaux hiérarchiques.
Bonjour
C’est le patron qui donne ses directives. Il sait les valeurs qu’il veut atteindre, et les valeurs minimales acceptables qui le font réagir en cas de non atteinte.
8 mars 2017 à 8 h 56 min en réponse à : Détermination des ressources nécessaires pour les processus #13459Henri,
as-tu constaté que la notion de processus PSS a profondément modifié la manière de structurer la qualité dans l’entreprise ?
l’approche PSS est devenue essentielle, obligatoire pour être certifié. Allant jusqu’à structurer notre manière de penser.
Le PSS est devenu la grammaire de la qualité.
Alors oui, je me demande d’où viennent les PSS !
Remarque personnelle : la qualité est traversée par des modes, comme la mode vestimentaire. Des trucs qui apparaissent, dont tout le monde pense que c’est LA bonne méthode. Et qui disparaissent. Kepner Tregoe, cercles de qualité, qualité totale, 6 sigmas (vite dérappés vers du Lean, car délirant ! )… Même phénomène qu’en management.
La seule méthode structurante qui persiste durablement est le PDCA.
Les PSS sont maintenant incrustés dans des normes, ce qui leur assure un avenir assez stable. Mais on verra dans l’avenir.
Note qu’une autre notion fait son apparition : les risques (et opportunités) en tant que pilier de la qualité. C’étai tdéjà le cas pour la santé et sécurité au travail depuis quelques années. D’où vient cette notion ?
bonjour
je gère avec les améliorations (tableau avec dates, pilotes, moyens, objectif, résultats…) Peut-être ajouter une colonne « risques et opportunités » si ce n’est pas déjà fait ailleurs.
note qu’une amélioration est un changement
6 mars 2017 à 19 h 04 min en réponse à : Détermination des ressources nécessaires pour les processus #13453ma question reste claire : d’où sort cette idée étrange de « processus » qu’on n’avait jamais vu avant (du moins dans l’acception dont on parle) ?
je pense que ça vient du contrôle de gestion, mais pas de la qualité, ni de l’environnement, ni de la santé au travail, ni rien d’autre.
mais je comprends que l’histoire de la qualité ne te motive pas.
(mais l’histoire de la S&ST ? )
voir le message n°6
bonjour à vous
pour une étude, il faudra aller voir des entreprises bien réelles. Car réfléchir sur des cas d’école c’est de la pure spéculation.
6 mars 2017 à 8 h 58 min en réponse à : Détermination des ressources nécessaires pour les processus #13445c’est fait , depuis longtemps
la version 9001:2015 ne conserve plus qu’une scorie, alors que 9001:2008 en avait beaucoup plus (processus documents, processus d’achats… )
sais-tu de quel chapeau est sortie cette notion de « processus » il y a quelques années, que personne n’attendait dans des normes qualité ?
remarque qu’aucune méthode qualité classique ou récente ne fait appel à la notion de processus (AMDEC, 5S, 5 pourquoi, Pareto, Lean, PDCA… )
J’ai une hypothèse : les processus sont une invention du contrôle de gestion (« contrôle » au sens de « maîtrise »), reprise par les normateurs quallité.
Henri a déclaré
JMD, c’est curieux que pour toi tel mot ait un sens et un autre soit un joker…
A+
beh c’est normal au contraire. Audit est cadré par des normes (et mon métier est d’appliquer des normes). Diagnostic n’est pas cadré par des normes.
Si une entreprise veut nommer « voiture » un carton à chaussures, c’est son droit. Il faut juste qu’elle n’oublie pas de préciser sa définition à ses salariés, ses clients et ses fournisseurs et autres tiers. Evidemment c’est tous les jours dans toutes les entreprises qu’il y a des mots « internes ». On finit par l’oublier tellement on vit avec.
5 mars 2017 à 16 h 58 min en réponse à : Détermination des ressources nécessaires pour les processus #13437LA 9001:2015 conserve encore des scories * de la notion « normale » de processus
voir 9.2.2.c « processus d’audit »
il est vrai que mis à part ce machin qui traîne (et qui si on est rigoureux devrait faire l’objet d’un traitement comme on traite le processus de conception ou le processus de fabrication ! ) le terme processus est réduit à ce que je nomme encore « les grands processus »
pour le reste, une entreprise fait à son idée. Je déconseille les PSS de 1 ou 2 personnes. Trop petits. Mais ce n’est qu’un avis général, à nuancer selon la situation.
étant donné qu’on va passer du temps à étudier chaque PSS (et donc dépenser de l’argent « non productif » ), il vaut mieux découper le gâteau en peu de processus.
* voir aussi les 9100:2016 par exemple et y trouver les « petits » pour comprendre pourquoi je nomme « grands » les « grands processus ».
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