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Hello !
Marco ton SMQ dispose d’un « manuel qualité » (l’ISO 9001 n’en mentionne pas), de « procédures » (l’ISO 9001 n’en dit rien)… et d’une « cartographie des processus » (l’ISO 9001 ne l’évoque pas plus)…
Mais de manière générale elle exige de documenter les informations nécessaires au bon fonctionnement du SMQ (4.4.2), en précisant ensuite que celles qui sont « obligatoires » ( a) de 7.5.1) peuvent être complétées par d’autres « à l’initiative » de l’entreprise ( b) de 7.5.1).
* Exemples « obligatoires » : la politique Q (5.2.2), les objectifs Q (6.2.1), les compétences Q des personnes concernées (7.2), la mise en oeuvre et les résultats du programme d’audit interne (9.2.2), etc…
Alors pour savoir si tu dois documenter (« obligatoirement » ou « à ton initiative ») ce que tu appelles des « fiches processus, données d’entrée/sorties, risques/opportunités, ressources nécessaires, responsabilités, etc…) il te faut relire attentivement une à une les exigences documentaires de l’ISO 9001. Sachant que tu peux structurer ta documentation SMQ comme tu l’entends (en dénomination, intégration, précision…).
PS : ta « cartographie des processus » peut par exemple figurer ou annexer leurs « entrées/sorties » respectives…
Qu’en dis-tu ? A+
Hello !
Jacks ce paragraphe 6.1.2.3 de l’ISO 45001 ne vise pas « l’évaluation des risques des opportunités » mais « l’évaluation des opportunités« … L’évaluation des risques (S&ST ou système) fait l’objet du paragraphe précédent et dans ce paragraphe seule la méthode d’évaluation des risques S&ST doit être justifiée et documentée. Peux-tu préciser quelle est ton doute ?
A+
Hello ! Alice je te suggère de consulter la brochure INRS ED6054 « les extincteurs d’incendie portatifs, mobiles et fixes »… tu y trouveras des éléments de réponse à ta problématique bien qu’elle ne soit pas franchement de l’ordre de la S&ST comme l’a pointé Delphine. A+
Hello !
Je dirais que c’est à la ligne hiérarchique que l’employeur* confie de fait (entre autres choses) ses pouvoirs S&ST. Donc ce sont les hiérarchiques d’un certain niveau qui sont naturellement légitimes pour « signer » les autorisations de conduite des salariés qu’ils ont respectivement sous leur autorité.
* Delphine, tu évoques le « chef d’établissement », si je lis ce terme littéralement celui-ci est normalement déjà délégataire de « l’employeur » (« chef d’entreprise »). C’est l’employeur qui est le premier responsable de la S&ST de son personnel en général.
Je déconseille qu’on confie l’attribution des autorisations de conduite en question au fonctionnel prévention de l’entreprise.
A+
Hello !
Bin… euh… je crois avoir déjà répondu assez largement à la problématique initiale dont la tienne semble proche. Mais tu devrais peut-être présenter ton contexte et ce qui t’est vraiment demandé de manière plus étoffée, car « je dois concevoir un outil de ce genre et vraiment je suis perdue » ne nous éclaire pas beaucoup sur tes besoins.
A+
Hello !
Bin euh… Bonsens il y a aussi la facilité de faire le tour de la concurrence… il existe déjà plusieurs offres du genre sur le marché. Un petit oeil dans le grand tout permet très rapidement d’enrichir tes perspectives de développement d’un logiciel de gestion intégrée des domaines QSE… par exemple avec des fonctionnalités de gestion-suivi de plans d’actions ; de contrôles audits mesures revues ; de NC incidents accidents déchets ; de réclamations client demandes contrats ; exigences et conformités réglementaires, gestion et diffusion de la documentation de l’entreprise ; collecte-édition de reporting d’indicateurs clés ; gestion-suivi de l’AE et de l’EvRP ; gestion-suivi des compétences QSE du personnel ; etc…
A+
Hello !
Euh Jenny tu cherches un tunnel ? Une URL ? (« sites » façon « établissements », façon « internet »…?)
Peux-tu expliquer ta problématique et son contexte ? Car moi je ne comprends rien à ta question…
A+
Hello !
En attendant que Littledre donne suite à son message (un simple petit merci de politesse par exemple ?) voici ma réponse à ta demande Pdidry : tu as raison, au titre d’un SMQ ISO 9001 on est tout à fait libre d’apporter en interne la compétence « auditeur » aux collègues destinés à mener des audits internes (avec l’ISO 19011 en perspective). Pour ce qui est de « décrocher » la certif ISO 9001 ne te fais pas la rate au court-bouillon en suivant raisonnablement bien le modèle ISO 9001 on obtient la certif… car c’est « aussi » un produit qu’on achète au fond, normalement si on passe commande on est livré !
A+
Hello !
Littledre, j’ai deux remarques pour toi :
– Auditer c’est confronter une réalité telle qu’elle est (ici le fonctionnement actuel du processus en question) à ce qu’elle devrait être en principe (ici le fonctionnement de ce processus tel que documenté dans ton SMQ = le « référentiel d’audit » ). Pour auditer il faut maîtriser les techniques d’audit et connaître le domaine cible.
– Par contre en principe « on n’audite pas son propre travail »… donc il faut trouver dans ta boutique un collègue compétent en technique d’audit pour qu’il audite ton processus.
Qu’en dis-tu ?
Hello !
Certes beaucoup de Qualiticiens utilisent l’outil générique SWOT pour envisager les « risques et opportunités » que l’ISO 9001 mobilise dans certaines de ces exigences pour les prendre en compte à travers le SMQ…
Mais l’outil SWOT n’est pas cité ni référencé par cette norme. Alors rien ne justifie d’affirmer qu’il y aurait une stricte correspondance entre les « risques et opportunités » de l’ISO 9000 et 9001 et les « forces et faiblesses » de cet outil. Mais rien n’interdit de l’utiliser en intermédiaire.
Si tu cherches quelque chose comme « risques et opportunités ISO versus outil SWOT » sur internet tu trouveras divers commentaires avec lesquels tu pourras te faire ton idée.
D’autres avis ?
Hello !
Il est classique à partir d’une expérience SMQ de vouloir l’étendre en S et en E… Je dois dire (moi qui suis d’abord de culture S&ST) que j’ai vu beaucoup de certains Qualiticiens arriver avec leurs grands sabots me dire comment faire de la prévention des risques professionnels sous prétexte qu’ils étaient experts en management de la qualité. Or un écueil est que le management Q n’est pas aussi fondamentalement marqué par le management légal qu’en S ou E. De plus le management S a une particularité : les salariés en sont doublement « intéressés », en tant qu’acteurs et en tant que bénéficiaires.
3 SM ou 1 SMI ? Ma réponse est aussi « ça dépend »… Pour moi ça dépend des niveaux de compétences QSE disponibles dans l’entreprise. Si du fait d’une « suprématie » des compétences Q dans l’entreprise on fonce directement en mode SMI on risque de brider la montée en compétence et expérience en S et E… alors il vaut mieux travailler un SMS&ST et un SME autonomes et intégrer le tout quand les 3 systèmes seront de compétences et de maturités équivalentes. Illustration anecdotique de suprématie Q : imposer l’arête de poisson (SMQ) pour analyser un AT (SMS&ST) au détriment de « l’arbre des causes » (INRS) sous prétexte de normaliser les outils des SM.
Le second alinéa de Delphine me semble alimenter ma position.
A+
Hello !
Désolé, mais la politique ne découle pas des objectifs, c’est l’inverse ! Donc tant que la direction ne juge pas pertinent de la modifier ou de la réorienter celle-ci reste valable sans avoir besoin de la régater… Par contre les objectifs qui en sont déclinés peuvent évoluer à mesure qu’ils sont menés à bien et de nouveaux objectifs fixés tant qu’ils s’inscrivent dans l’encadre de la politique.
A+
Hello !
Farah le contrôle qualité est une chose, la prévention S&ST en est une autre… dans les deux cas tout dépend de la vocation et de la complexité de ces cartes ainsi que de la réalité des tâches dans la situation(s) de travail considérée(s)… et des diverses exigences applicables à ces cartes et cette situation(s) de production (qu’elles soient plutôt réglementaires du coté S&ST ou qu’elles soient plutôt celles du client voire normatives du coté qualité). C’est de ces éléments qu’il vaut mieux partir chez toi, plutôt que de copiés-collés d’autres situations venant d’autres entreprises.
A+
