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Bonjour,
Dans un système de management, vous ne faites (pratiquement) que ce que vous vous imposez de faire… Si vous considérez qu’un produit « non-conforme » dont on ne rebute ou refuse pas plus de x % de défectueux est normal et acceptable, soit, c’est votre référentiel et vous pouvez ne pas vous imposer d’ouvrir une fiche de traitement de NC à chaque fois.
D’autant que les fiches de traitement de NC ne sont pas une exigence de la norme…
Cependant, la récurrence peut-être, en elle-même, une non-conformité selon le contexte.
Pouvez-vous nous en dire plus sur ce que sont ces non-conformités et leurs récurrences ?
Je vous présente mes excuses, effectivement, je me suis un peu égaré dans ce fil de discussion (je repère les thématiques au titre et j’avais oublié que nous étions passés d’un contexte » stagiaire Qualiopi » à « vous » ISO 9001).
Sur le principe, malheureusement, déployer un système pour juin : même « nous » en conseil nous n’accepterions pas ce genre d’ineptie…
Il serait donc bon que vous proposiez, dans un premier temps, un plan d’action sur les mois à venir pour présenter cette « échelle de temps » minimum qui intégrerai au moins les grandes étapes suivantes : diagnostic de l’existant, définition de la politique, conception des processus, identification et maîtrise des risques, déploiement de la mesure de performance (des processus et de la satisfaction), formation des collaborat.eurs.rices, formalisation des informations documentées nécessaires, mise en oeuvre de la boucle d’amélioration (traitement des NC, plan d’action), évaluation des prestataires externes, gestion des compétences, audit interne, information des collaborat.eurs.rices, revue de Direction et… en avant pour un nouveau tour.
Bonsoir Jasmine,
Nous vous remercions d’avoir pensé à ce forum pour exposer votre demande de conseil, mais cela n’est pas dans nos « cordes ». Tout au plus : nous ne pouvons que vous conseiller d’aller discuter avec cette dernière ou de vous adresser, dans votre cas, à l’administration du district dont vous dépendez (votre London boroughs).
Nous refermons ce sujet
Cordialement,
Votre situation est parfois symptomatique d’un responsable (le vôtre en l’occurrence) qui, à la fois :
/ n’a absolument aucune idée de comment traiter le sujet qu’il vous confie (ce qui, en soit, n’est pas un drame s’il le confie à une personne expérimentée)
/ n’a absolument ni les compétences ni la carrure d’un manger (qui, dans une telle situation, s’attèlerait à trouver une solution pour vous en donner les moyens, et recourrait au collectif pour avancer)
Cela a toutes les chances, dans votre cas, de mener au fait que ce « responsable » va faire de vous son fusible et se servir de vous pour masquer son incompétence. Mais, pas de panique : vous n’êtes qu’en stage et comme cela a été écrit précédemment, vous n’y êtes pour rien.
Ce que vous vivez aura une fin (pour vous) et n’est en aucun cas représentatif d’un bon management. Une petite pensée émue pour les prochaines personnes qui seront aux mains d’un si mauvais maître de stage et zou : pensez à votre futur avant tout.
Bonjour,
Il y a fort à parier (merci de nous le confirmer) que votre client soit un client lié au domaine pharmaceutique.
Dans ce cas, la notion de déviation s’apparente à la notion d’écart, ou de non-conformité.
Il existe plusieurs sources très intéressante pour approfondir ce concept et en voici une très complète : https://pepite-depot.univ-lille2.fr/nuxeo/site/esupversions/da78c1f2-5eaf-429e-980c-2756f60f534c
Bonjour,
Si vous laissez vos coordonnées mails (ou « un » mail) ici : celles et ceux intéressé.e.s pourront alors prendre contact avec vous.
Cordialement,
PS : nous sommes bien d’accord sur l’entreprise d’une structuration (petit moment de grâce dans nos échanges).
Pour autant, je suis convaincu qu’un « bon » consultant doit également être capable de dire qu’il n’est pas/plus utile selon certains contextes.
Vous connaissez certainement ce dicton : « quand on manage comme un marteau, tous les problèmes sont des clous… »
Je vous déconseille l’option « audité par un auditeur de certification ». Vous aurez, avec cette approche, une vision de la conformité de votre système de management vu de la norme ISO 9001, et pas forcément les recommandations de ce qui est important dans votre contexte. Beaucoup font l’erreur de croire que parce qu’on évalue sa conformité à une norme, si on devient « simplement » conforme à une norme : la magie opérera et nous dotera d’un mécanisme d’amélioration extraordinaire. C’est joli sur le papier, dans 50% des cas (constaté en audit, recoupés avec des pairs, croisés avec des organismes de certification) : on obtient un système de management inutile, sans motivation et fort coûteux pour ce qu’il rapporte.
Si vous avez effectivement un budget à consacrer, demandez à une société de conseil « correcte » de faire un diagnostic de votre organisation avec, certes la conformité à la norme ISO 9001 en point de mire, mais surtout les préconisations de déploiement et le plan d’action qui vous correspond.
Mais si vous n’avez pas ce budget, je réitère ma question : « sur quoi bloquez-vous » ?
Bonjour,
Non… ce n’est pas irréalisable de « partir sans filet ». Nous rencontrons tous les cas notamment lors des audits internes que nous réalisons : les entreprises qui, sans accompagnement extérieur, ont su trouver la manière de concevoir un système utile pour elles… celles qui n’ont pas eu la bonne approche et galèrent, parfois en pensant que ce qu’elles ont vu/vécu ailleurs et copiable/collable à volonté… celles qui ont été accompagnées par des cabinets externes qui avaient plutôt des compétences de clowns que de véritables compétences… et celles qui ont été correctement accompagnées.
Il n’y a pas de « recette miracle » et transposable de manière standard pour une démarche qualité.
Mais, pour obtenir des résultats probants et utiles : la mise en œuvre d’un système de management doit être adapté à l’entreprise. Et les moyens, les approches, les choix et les dispositions sont différents selon l’activité de l’entreprise, sa taille, ses points forts et ses points faibles, sa stratégie (dans le désordre), sa culture, son mode de management, ses marchés, ses compétences, sa concurrence…
La norme ISO 9001 ne comprendre aucune solution, aucune « manière de faire » mais seulement des exigences à maîtriser. Et le besoin de maîtrise peut être totalement différent d’une entreprise à une autre… c’est la raison pour laquelle les entreprises qui, au moins au début, se font accompagner simplement pour définir la stratégie de conception de leur système gagnent généralement à la fois des années de retour d’expérience en quelques jours, et une assurance de disposer d’un système qui leur sera, après déploiement, réellement utile (enfin… accompagnés par les cabinets sérieux).
Cependant : oui. Sans filet, cela est possible.
Sur quoi « bloquez-vous un peu » à présent ?
Personnellement, je trouve qu’une journée passée sur la gestion de la documentation dans les systèmes de management c’est 3/4 de journée… de trop. Mais je passe peut-être à coté de mystères contenus dans une formation révolutionnaire.
Qu’est-ce que vous a été présenté en 1 journée sur ce thème ?
Etrange… je comprends le principe de faire un premier démonstrateur, mais il ne vous apprendra pas grand chose sur sa généralisation possible tant le sujet sera… vide, éloigné de vos réels enjeux durables.
Néanmoins, ne tombez pas dans le piège des « achats verts » et autres « produits » bio que proposent les fournisseurs bureautiques, c’est bien de commander « vert » sur catalogue, mais l’impact est relativement négligeable et la plupart des produits étiquetés « verts » ne sont que du marketing et ne sont pas plus respectueux que les autres…
Identifiez déjà vos familles d’achats bureautiques, leurs valeurs, les métriques de consommation, et pensez-les « cycle de vie » : nature (effectivement « verts / pas verts »), quantités consommées, déchets produits et recyclabilité de ces déchets (impact environnemental). Puis, selon les priorités identifiées, sélectionnez les premières familles sur lesquelles appuyer (soit dans les modes de consommation, choix d’achat ou, si possible, spécifications à transmettre à vos fournisseurs).
Bonjour,
On passe un peu du coq à l’âne, mais voici quelques éléments.
Concernant les Poka-Yoké, il vous faudra au préalable identifier les points de détrompage par :
/ l’analyse et le séquençage fin des étapes (voir gammes) de production pour identifier les détrompages
/ l’analyse des non-conformités et réclamations pour identifier les détrompages possibles selon l’origine ou les étapes de détection potentielles de ces non-conformité
Bonjour,
Pourriez-vous nous en dire plus sur votre contexte (activité, nombre de personnes, de sites…), les référentiels que vous souhaitez intégrer (ISO 9001…) et les raisons de la mise en oeuvre de ce SMI ?
Bonjour,
Quelle est l’activité de votre laboratoire et quelles seraient vos portées d’accréditation ?
Quelle est votre connaissance :
/ des systèmes de management ?
/ de la norme ISO/IEC 17025 ?
/ du LAB REF 02 ?
Au-delà de cet exercice et de ce contexte, pour le futur : gardez à l’esprit que ce principe de codification, de cartouche et de lexique est heureusement en voie de disparaitre là où ce n’est pas d’une grande utilité. Notamment dans les systèmes de management peu documentés, ou documentés autrement que par des procédures ou des supports 100% écrits.
Ainsi, ces principes sont une réponse possible par rapport aux exigences des normes de système de management, mais pas les seules réponses et, à moins d’être dans un contexte qui l’impose : produisent souvent des gestions techniques, gourmandes en temps et relativement disgracieuses.
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