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Bonjour Web222,
Quels sont vos processus s’il vous plait ?
Bonjour Lepouss,
Pour déployer des vidéos, des motion design et autres supports pour nos clients, je me permets quelques conseils.
En premier lieu, un peu comme les supports d’une démarche de déploiement d’un système de management : la forme n’est pas la première question à se poser. Les deux premières questions sont :
– quels objectifs visés (une information « basique », une formation à la sécurité aux nouveaux arrivants, une formation détaillées avec test des connaissances avant d’autoriser l’entrée sur site…)
– quel scénario (moins de 3mn, moins de 15mn, aux alentours d’une heure…)
Cela vous permettra de créer le storyboard de la vidéo (motion…) et la solution s’imposera d’elle même.
Par exemple : une information « basique » de moins de 3mn convient au motion design. Une formation plus longue avec « immersion » sera plus simple à faire en tournage vidéo pour peu que le storyboard ait été planifié et validé auparavant.
Merci pour ces précisions Div,
Votre objectif est alors « relativement » simple à comprendre, un peu plus complexe à mette en œuvre.
Intervenant dans le domaine de la santé, le Décret n°2016-1327 du 6 octobre 2016 vous impose de déployer un Plan de Sécurisation d’Etablissement (PSE) dont vous trouverez le contenu ici : https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/guide_d_aide_a_l_elaboration_du_pse_-_version_avril_2017.pdf
Bon courage
Bonjour Div,
Pourriez-vous nous dire « qui » vous a demandé ce « plan de sécurisation » et ce qu’il souhaite y voir figurer ?
A priori, cela peut avoir un rapport avec l’exigence 6.1 effectivement, mais des plans de sécurisation peuvent être dédiés à la continuité d’activité, à la sécurisation des locaux et des personnels…
En résumé : quelles sont les activités de votre société ?
Bonjour Dim,
Ces trois normes sont élaborées selon la structure HLS.
Aussi, 80% des exigences peuvent être maitrisées par des dispositions communes (une seule revue de Direction QSE, un seul modèle d’audit interne QSE, un seul plan d’action…).
Le plus simple est de créer une matrice HLS, de lister les éléments de votre système répondant à chaque orientation Q, S et E et les éléments particuliers ne dépendant que d’une norme spécifique.
Vous aurez votre matrice de déploiement.
Bonjour,
Certaines exigences peuvent être exclues, c’est vrai. En les argumentant comme il se doit.
En revanche, si la conception peut-être exclue, non seulement cela est difficilement justifiable pour la sensibilisation, mais il n’y a aucun rapport entre la « conception » et la « sensibilisation » et aucun effet domino entre les deux.
A quoi pensiez-vous ?
Bonjour,
Nous avons publié une petite série de vidéos sur ce thème : « certification ISO 9001 est-ce utile ? », ou l’on y décrypte ce que l’on peut réellement attendre d’une démarche certifiée (ou non) et ce qu’il n’est pas nécessaire de… croire ou de faire croire.
(l’accès à ces vidéos est toujours… gratuit… faut-il le rappeler).
Cordialement,
Bonjour,
Quelle est l’origine de cette spécification, ou : d’où vous vient cette information s’il vous plait ?
Bonjour,
Concernant le personnel ayant une influence sur l’activité : il faut voir cela au sens « large » du terme. Il s’agit bien des personnes qui, de manière directe ou indirecte, ont une influence sur le déroulement des activités comprises dans le cadre de l’accréditation et, de manière plus prégnante : sur la qualité et la conformité des résultats dans le champ d’activité et dans les portées concernées.
Cela peut donc concerner : les personnes en charge des mesures / essais / étalonnages, en charge des rédactions / vérifications / validations des rapports, les intervenants en qualité / planification / laboratoire, les fonctions supports. Cas échéant, si des personnes externes interviennent (consultants, sous-traitants apportant une compétence technique précise lors des essais…) cela s’applique également.
Une liste peut-être un début, mais ce n’est que le haut de l’iceberg. En effet, pour ces personnes, vous devez vous assurer de : leur impartialité, leur compétence, leur connaissance et respect de vos dispositions.
Les fournisseurs, eux, peuvent requérir un suivi de compétence et une maîtrise de l’impartialité, mais ils seront surtout suivis par es exigences du paragraphe 6.6.
18 mars 2019 à 8 h 17 min en réponse à : Audit interne de la qualité et l’amélioration continue #16812Bonjour,
Et lorsque vous posez la question, en interne, des thèmes en audit qualité : avez-vous un retour de ce cabinet ?
Une réponse « dans les grands principes » a été proposée dans un post d’il y a quelques minutes pour le sujet précédent.
Les principes du PDCA sont, bien évidemment, applicables quels que soient les sujets comme étant des règles de « bon sens ». Ils ne sont pas un outil de résolution de problème à part entière, mais plutôt un outil d’instruction des actions inhérente à un préalable d’identification de cause et forment, avec ces outils, un « mécanisme » de résolution de problèmes.
C’est pourquoi l’opposer ou le préférer ou préférer à une méthode DMAIC est délicat : ces outils n’ont pas la même vocation… mais ils se complètent très bien et reposent sur des fondamentaux analogues.
Du reste, il en existe tellement d’autres que tant le PDCA que le DMAIC peuvent être intéressants dans un contexte, et inutiles dans d’autres… mais c’est une piste…
Bonjour,
Alors… ce seront vraiment les grands principes dans la mesure ou, face à un tel volume (supposé) de documents, il existe des solutions dédiées diverses. Mais c’est les grands principes qu’il vous faut comprendre.
Commençons par le « pourquoi », et les risques de ne pas maîtriser un système documentaire (qui vous permettra de comprendre le besoin… de le maîtriser, justement). Ainsi, une maîtrise insuffisante peut entraîner :
– une difficulté de qualification des informations (et la mise à dispositions d’informations insuffisamment révisées, vérifiées et validées avec les risques que cela comporte)
– une difficulté de mise à disposition des informations auprès des personnes intéressées (non communication aux personnes intéressées ou difficultés pour ces dernières d’avoir accès aux informations pertinentes ou utiles, à jour)
– un risque rapide d’obsolescence et de perte de l’énergie investie pour construire un référentiel de connaissances et de pratiques (par difficulté de mise à jour, de remise à disposition…) et donc, de ne pas pouvoir se fonder sur le système documentaire pour corriger les pratiques et les connaissances en cas de retour d’expérience
– un risque plus global en cas de mise en cause (juridique, règlementaire…) lorsqu’il serait nécessaire de démontrer un historique de pratiques, une traçabilité
Le « comment », en quelques phases (qui peuvent être soulagées par la mise en place d’outils informatiques ou de bases partagées, mais pas sans avoir fait une analysés préalable des besoins de gestion exacts) :
– recensez (comme vous le réalisez en ce moment) les documents par familles et par niveaux de criticités
– identifiez clairement et de manière unique chaque document dans sa famille ainsi que sa révision
– évaluez son degré de mise à jour et ses nécessités de révision (révision, fusion, simplification…) au regard des besoins internes et de la règlementation
– planifiez un programme de révision / mise à niveau / revalidation
– établissez un process (une procédure si nécessaire) de maintien de la documentation (nature et fréquence d’évaluation, d’audit, de révision…) comprenant, à minima : les règles et responsabilités de révision, d’acceptation, d’identification des révisions, de publication et diffusion, de retrait des obsolètes
– éventuellement : dotez-vous d’un outil ou définissez la meilleure solution de centralisation et mise à disposition de la documentation validée (un outil de type sharepoint, un partage de serveur, une GED…)
Voilà qui devrait déjà tracer les « grands principes »…
Bonsoir,
Tout cela dépend… de votre contexte. Aussi, afin de mieux vous répondre, pourriez-vous nous préciser :
– la nature de vos activités, le nombre de personnes de votre/vos entreprise.s. et le niveau moyen de qualification ?
– le contenu existant de votre système documentaire : des procédures ? des instructions ? des fiches techniques ?
– l’objet de ce besoin : une certification future ? une gestion des document « commune » ?
– vos moyens : des papiers, des ordinateurs avec serveur, un ERP central ou un équivalent sharepoint ?
– les responsabilités en charge de cette gestion documentaire ?
Et nous pourrons vous trouver les solutions adaptées…
Cordialement,
11 mars 2019 à 18 h 34 min en réponse à : Définition d’une non conformité et démarche de priorisation #16802Cette playlist notamment : (www).youtube.com/watch?v=f2Q8AVl9T5I&list=PLzI6uqudyS8PZIPVOEEHfs-qQ628S77G-
Il faut recopier le lien sans les parenthèses…
11 mars 2019 à 9 h 18 min en réponse à : Définition d’une non conformité et démarche de priorisation #16800Bonjour,
Une non-conformité est une « non-satisfaction à une exigence ». Une exigence est « un besoin, ou une attente, formulé ou imposé ».
Aussi :
[sujet 1]
Les deux éléments que vous citez conduisent à ne pas réaliser la prestation. Cependant, si le client n’est pas impacté : vous pouvez tout à fait ne pas traiter ces non-conformités, dans votre système de management, par un enregistrement systématique.
Il y a donc deux manières de gérer ces cas :
– contractuellement : il est possible de vous engager auprès du client à réaliser la prestation, avec des précautions quant à, par exemple, la météo. Inscrire en toutes lettres qu’en cas d’aléa météorologique, la prestation peut être amenée à être re-planifiée (pour le plus grand bien du client).
– qualitativement : il convient de suivre malgré tout le niveau de ces perturbations. Par exemple, au-delà d’un seuil de re-planification suite à l’absence d’un technicien, cela peut témoigner d’un niveau de gestion des ressources (humaines en l’occurrence) insuffisant.
[sujet 2]
Le nerf de la guerre, dans la gestion d’un plan d’action, ne se trouve généralement pas dans les priorisation ou les natures d’actions, mais dans le suivi que l’on fait du plan…
Il est légitime de penser que la notion de priorisation va booster la réalisation des actions, mais dans les faits, c’est souvent une fausse piste. La priorisation se fait lors de la planification des actions…
Je vous conseille notre série de vidéos sur le sujet des plans d’actions. Vous y trouverez certainement quelques pistes utiles.
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