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Bonjour à tous,
Après avoir identifié les PI pertinentes, je me retrouve face à la données d’entrée de la revue de direction c) 1).
Ma question est la suivante : comment avoir le retour des parties intéressées? Comment répondre à cette exigence?
Le travail d’identification est déjà assez fastidieux, devons nous en plus les interroger? (dans l’hypothèse où elles nous répondraient). Pour les PI internes le travail peut être plus facile, mais pour les PI externes…
Merci à vous
Je rebondi.
Concernant chap 6.1.1 et 6.1.2, sur le processus RH, j’ai par exemple un risque de dégradation du dialogue social avec les représentants du personnel. J’ai un moyens de maitrise en face, mais comment mesurer son efficacité ?
Le dialogue social est particulièrement non mesurable – et je ne compte pas mettre un indicateur sur le nombre de questions posées auxquelles aucune réponses n’a été donné etc… Ca deviendrait une véritable usine à gaz..
Merci pour vos éclairages
Camille
Merci Savlynn
Je vais donc laisser les choses ainsi, et voir avec l’auditeur le meilleur moyen de répondre à ce chapitre.
Camille
Savlynn a déclaré
Bonjour Wikotch,désolé j’aurai dû indiquer la signification de cet acronyme même si tu l’a deviné en majeure partie, donc:
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- T pour technique
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- H pour humaine
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- O pour organisationnelle
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- F pour financière (budget, aide financière, …)
Sinon ton document est semblable au mien ce qui devrait donc répondre à l’exigence de la norme.
Cordialement
Savlynn
Bonjour,
Je rébondi sur ce sujet.
Je ne vois pas la finalité de récenser ces informations.
Je m’explique, aujourd’hui si je devais formaliser les ressources en forme TOHF sur mon processus logistique, je devrais recenser le nbre de chariot, de transpalettes etc… quel est mon intérêt..?
Et lorsque je suis sur un processus support (où travaille 1 seule personne), je vais notifier sur le T : possède un ordinateur.
Merci de vos retours
Camille
Merci pour ce retour qui me rassure un peu.
J’ai du mal à me dire qu’il va falloir que j’aille voir chaque collaborateur et leur demander comment ils font pour exercer leur métier.. Peut être que par grande famille de métier cela simplifierait la démarche;
Merci encore
Merci pour vos précisions @Delphine et @Jmd
Merci pour vos réponses.
Je me pose aujourd’hui cette question pour 2 raisons :
1- mon ancienne entreprise n’avait pas de processus de direction, dans la cartographie figurait juste le comité de direction + comité exécutif sans être formalisé comme un processus mais plutôt comme une instance de décision.
2-les objectifs qualité de mon entreprise actuels sont définis en revue de direction avec l’ensemble des participants. La politique découlent de ces indicateurs. Mon dirigeant n’est pas impliqué dans les réunions mensuelles où nous passons en revue ces mêmes indicateurs. Les informations/objectifs/stratégie nous sont descendues 1/an en séminaire. Il ne traite quasiment qu’avec son CODIR et il est encore moins question de lui faire une revue de processus alors que j’en fais avec les autres processus.. Ou alors puis je faire une exeption pour lui, je ne pense pas…
Bonjour
Pour moi non.
Mais je pense aussi que la version 2015 avec les notions de leadership et l’implication de la Direction dans le SMQ, peut pousser des organisme à intégrer un processus de Direction.
Je ne suis pas experte, mais c’est mon avis..
J’ai personnellement un indicateur 2 indicateurs de suivi :
– taux d’avancement de la revue documentaire (% de docs à jour, en cours de modification, en création… )
– le nbre de NC min / maj sur l’aspect documentaire aux audits
Si ça peut te servir !
Camille
Bonjour,
J’avais personnellement choisi de faire un parallèle entre les nouvelles normes ISO (9001, 14001 version 2015) et 45001 (2017) et la RSE. Savoir si la RSE avait encore une légitimité avec les nombreux apports/changements des normes.
Bonjour,
Dans mon entreprise de logistique, le port des EPI figure dans le règlement intérieur (que chaque salarié signe).Tout manquement est sanctionné. Ça n’empêche que chaque salarié nouvellement embauché fait l’objet d’une démarche de prévention.
L’employeur est garant de la sécurité de ses salariés.
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