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Salut,
Oui, et le moyens c’est un mélange de:
– temps
– ressources (humaines) qualifiée en la matière (réglementation)
– connaissances et maîtrise de l’ensemble des aspect de l’activité de ta société (QSE)
De manière générale, il ressort de l’identification:
– Le code du travail
– la convention collective
– les spécificités locales
– Les décrets
A partir de là il faut étudier les textes qui les composent afin de déterminer l’applicabilité à ton entreprise, puis déterminer la conformité.
Salut,
Il est simplement demandé de maîtriser cet aspect. Libre a ta structure de le traduire comme elle le souhaite dans la pratique (Attention, certains documents sont soumis à des exigences réglementaires).
Salut,
http://www.ineris.fr/guide-sse/guide/Introduction.htm
Pas forcément à jour, mais donne des pistes intéressantes
AMALL2307 a déclaré
Salut,je vous demande svp de m’aider par rapport à la matrice de criticité puisque j’ai utilisé la formule C= G*F*D de( ll5) ? je viens de chercher sur google mais j’ai trouvé seuls les matrices qui sont en fonctions de la gravité et fréquence!!!!!!
@Ito
SVP est ce que la norme EN 9100 est-elle spécifique pour le secteur aéronautique en industries ou aussi pour les services par exemple service de l’information aéronautique et trafic aérien?
merci
La EN 9100 est à destination des fournisseurs de pièces Aéro/militaires/spatial , c’est une norme qualité type ISO 9001 avec un renforcement de la traçabilité de chaque pièce produite et du contrôle conformité (en très résumé).
Pour du service, je ne vois pas vraiment l’intérêt (surtout si ça n’est pas demandé par le/les clients).
Salut,
Même avis que Polo.
La seule chose que tu peux lui rappeler en dernier ressort (vraiment quand tu a le dos au mur, et en y mettant un maximum les formes) c’est que l’accréditation passant obligatoire, si il ne veut pas fermer boutique, il va être nécessaire de faire au moins le minimum.
un bouton poussoir relié à un gyrophare orange à chaque poste et un report dans le bureau de la qualité
Une pièce à contrôler et hop ça clignote (comme à l’hôpital)
plus sérieusement:
– 100% des pièces doivent êtres contrôlées,
ex: La turbine vendue à un client tombe en panne après une semaine d’exploitation, après expertise du client de fortes suspicions portent sur la pièce n°2150 (problème dimensionnel supposé).
comment atteste tu, a ton client final, que le contrôle à bien été réalisé (sans fiche de suivi pièce par pièce)?
Des idées en vrac par rapports à tes réponses:
– nombres de problèmes soumis (lignes de prod)
– nombre de problèmes identifiés (lignes de prod)
– gain liés à l’optimisation process (en temps et en €) / se rapproche de l’indicateur d’efficience
– taux opérateurs formés par rapport aux objectifs formation (par produits et par procédé)
– taux d’indisponibilité machine lié à l’absence d’opérateur formé
– efficience du service méthode (coût pour l’entreprise par rapport aux gains)
je vais avoir besoin d’info complémentaire:
Quel est le cœur de métier de l’entreprise?
quel est le rôle du processus méthode, ses finalités et sa place dans l’organisation de l’entreprise?
Quels sont les autres indicateurs existants (si il y en a)?
Salut,
Tu pars des données d’entrée (demande faite au service méthode, cahier des charges, …)
tu va aux données de sortie (dossier, projet,…)
Les deux indicateurs généraux sont:
– la satisfaction des clients de ton processus
– la génération de bénéfice et/ou la maîtrise des coûts
tu peux les “éclater” pour plus de lisibilité
– taux de réponse à une demande en entrée
– délais de réponse à une demande
– conformité par rapport à la demande
– temps de processus gagné
…
tu a l’option (très lourde) de faire suivre une fiche avec chaque pièce :
Pièce XYZ : gamme usinage poste A ; C ; E
1/Poste A: usinage ok/Nok // controle ou autocontrole : nom et ok/nok
2/Poste C: usinage ok/Nok // controle ou autocontrole : nom et ok/nok
3/Poste E: usinage ok/Nok // controle ou autocontrole : nom et ok/nok
4/fin de game : Pièce conforme : ok/nok
Avec un laïus du genre “en cas de Nok, étiqueter la pièce immédiatement et prévenez le service qualité dès que possible”
Houla, attention:
Je ne sous-entendais pas la mise en place d’indicateur de qualité individuels et nominatif (ce type de management est à bannir de mon point de vue).
Pour ce qui est du reste:
– NC en ligne de prod constatés: prévoir de quoi les identifier et les isoler (bac “rouge”, étiquettes, marqueur, tampons, ……)
Un registre succin (récupéré et analysé par le service qualité) peut également être bénéfique à poste pour identifier les cause et réduire à la source: on constate que la dimension Y est souvent hors tolérance, c’est peut être un problème de jeu sur l’outil de production,….
– un indicateur de performance globale (voir éclaté par secteur) peut être motivant si il est constaté une amélioration dans le temps et si une communication est réalisé sur le sujet (avec pourquoi pas un système de lot récompense (pas de financier mais des clé USB, ou équivalent) l’atteinte ou le maintient à certains paliers)
Un comparatif statistique entre autocontrolé et non autocontrolé peut également etre intéressant pour motiver les salariés à se lancer.
@ polo:
1/en appliquant ta logique:
Le qualiticien est nommé responsable qualité comme les planificateur/ordonnanceur est nommé responsable de production ….
Au final le seul responsable de tout le fatra d’une entreprise est le chef d’entreprise (et encore … quand ça va mal, le responsable désigné est le marché , la concurrence, la conjoncture économique).
Alors on va tuer dans l’œuf le débat sur qui doit être appelé responsable ou pas et passer à autre chose, ou carrément ouvrir un énième topic traitant du sujet
” class=”spSmiley” /> . 2/ On parlais ici de système de management, pas de résultat.
Une fois encore, tu détourne mes propos:
le niveau 5 ne correspond pas à un nirvana, mais à un état de déploiement d’une démarche de SM aboutie (et donc de bonnes bases pour obtenir de bons résultats)
ceci mis à part:
*les questions suivantes sont rhétoriques et n’appellent pas de réponse*
Il existe des entreprises (grâce à certains organisme de certification) qui effectivement achètent leur certificat (merci la relation auditeur (payé par le client) / audité (payé par l’auditeur) ) mais quelle proportions de tes 99.99% cela concerne t’il?
Et où se situe le reste? plutôt dans les bon ou les mauvais élèves en terme de résultats par rapport aux camarades?
personnellement, j’ai ma petite idée sur le sujet.
salut,
si j’ai bien lu,
– 100% des pièces sont contrôlées (en fin de game) ? pourquoi ne pas appliquer de stratégie d’échantillonnage?
– Les pièces contrôlés NC et envoyées au poste suivant sont elles identifiées comme NC ou l’opérateur les remets t’il sciemment dans le tas de pièce bonnes? a t’il des objectifs individuels (créant des bonus/malus financier ou des remontrances hiérarchiques)?
C’est un renouvellement ou une certification?
– Pour une certification tu va avoir pas mal d’élément (mise en place d’outil, création du système documentaire, …)
– Pour un renouvellement c’est (normalement) juste du suivi avec une mise à jour (donc moins intéressant si ton SMQ à vécu durant la période)
Si le système est mature, les pistes d’amélioration données par l’auditeur vont tourner autour de l’anticipation de l’ISO 9001 v 2015 (car elle remplacera a terme la v 2008) et je pense que comme le sujet sera plus neuf, la thématique en PFE est plus intéressante.
Sinon tu peux te baser sur le plan d’action issu de l’audit externe de l’année précédente et te trouver un sujet (ou plusieurs) dans les constats fait par l’auditeur
