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Hello !
Mes éléments de réponse :
Q1 : euh… tout simplement en produisant à chaque fois un nouvel état circonstancié de l’évaluation de la conformité aux exigences légales et réglementaires.
Q2 : Vaste question… Il ya les indicateurs réactifs classiques (TF, TG, nb de MP…) qui ne sont pas toujours très parlants ou ciblés mais ils sont “officiels”. Je préfère leur ajouter des indicateurs proactifs plus ciblés sur des risques importants et significatifs de l’entreprise, comme par exemple la diminution des expositions sonores quotidiennes dans les ateliers les plus bruyants ou la réduction du nombre de CMR utilisés dans l’entreprise le cas échéant… Mais les indicateurs de performance ne traduisent pas typiquement l’engagement de la direction (relire la formulation des exigences de “leadership” de la direction das les normes ISO de SM).
Q3 : Je ne sais pas bien ce qu’est ton “comité de management” mais j’imagine grosso-modo que les salariés dans leur ensemble n’y participent pas. Alors pour communiquer les objectifs QSE (ou n’importe quoi d’autre en QSE) il suffit d’utiliser les canaux habituels de communication déjà pratiqués par ton entreprise. Pourquoi rechercher midi à quatorze heures, QSE est un objet de communication interne comme un autre.
Q4 : Je n’ai pas compris la problématique.
Q5 : Même réponse que Q1, en produire un compte-rendu si j’ose dire…
Q6 : Moi non plus je ne sais pas ce qu’est un “cahier de recette pour le projet de demande de prix” !
Q7 : Je ne suis pas sûr de bien comprendre la question. Mais je dirais qu’il s’agit simplement d’évaluer si le résultat de l’action décidée est probant… Exemple bateau, sur telle machine on identifie du jeu dans les roulements de tels guides… on décide de remplacer les roulements en cause… on les remplace… il reste à vérifier si ce remplacement a bien supprimé le jeu qui posait problème…
Qu’en penses-tu Slim ? A+
Hello !
Ne dit-on pas “aide-toi… et dieu t’aidera” ? Créer une telle grille d’auto-évaluation (ce n’est pas vraiment réaliser un audit interne) présente plusieurs atouts :
– C’est très facile : tu identifies dans la norme britannique en question (ou tout autre référentiel d’audit) les exigences qui sont significatives selon toi (avec la formulation et la précision de ton choix) et tu les reportes dans la colonne B d’un fichier Excel (en A tu mets les n° des articles de la norme pour te repérer plus facilement). Puis tu t’inventes un “code de degré de satisfaction” de ces exigences dans la colonne C et tu ajoutes au moins une colonnes D pour annoter ton appréciation de la satisfaction de chaque exigence.
– C’est très pédagogique : on produit un travail personnel d’analyse, de compréhension et d’appropriation du référentiel.
– C’est très autonome : on obtient ainsi un outil qui nous convient et qu’on maîtrise totalement, et qui de plus n’est pas faussé par l’interprétation d’un tiers.
Qu’en penses-tu Nina ?
A+
Hello !
Bien sûr que ton entreprise peux communiquer sur tout ce qu’elle veux avec ses clients, quelles sont tes inquiétudes ?
Par contre à titre personnel je trouve malheureusement significatif que la démarche de ta direction soit la certification. Je préférerais que ce soit une démarche de progrès dans ses performances de qualité à travers un SMQ efficace.
A+
Hello !
Commence par établir les documents qui sont véritablement exigés par ce référentiel. Ensuite tu réfléchiras plus facilement aux documents qu’il te semblera nécessaires d’ajouter pour compléter la documentation du SMQ de ton entreprise.
A+
(suite)
OK, ayant un peu précisé le champ de ta demande tu auras peut-être plus facilement une réponse d’un internaute compétent.
Curiosité perso pour pouvoir peut-être te répondre néanmoins : l’audit interne en question a-t-il un rapport avec l’ISO 27001 ?
Bonne continuation.
Hello !
A force d’utiliser des sigles on ne sait plus vraiment de quoi on parle, mais désolé, que ce soit en “Sécurité Informatique” (?) ou en “Système d’Information” (?), ou encore en “Sécurité Incendie” (?), je ne sais pas vraiment te répondre.
Pour moi (dans les domaines qui me sont plus proches) les audits internes ont pour vocation d’identifier les écarts qu’il peut y avoir entre les pratiques d’une entreprise et un référentiel (une norme de système de management typiquement) et pas vraiment de formuler des “recommandations”. Et ce n’est pas à l’auditeur de suivre ensuite le traitement de ces écarts.
Cordialement.
Hello !
Je ne comprends pas ce que tu cherches…
“Recommandations” dans quel domaines(s) ? “Audit interne” de quoi ?
A+
Hello !
Je te répondrais bien par cette question : mais qu’est-ce donc que ton “Comité Santé et Sécurité au Travail” ? Mais on risque de tourner en rond. A moins que tu en dises un peu plus sur ce comité… Est-ce une création originale de ton entreprise ? Est-ce un dispositif réglementaire dans ton pays ? Ou…? Alors si tu précises je pourrais peut-être te répondre.
A suivre.
Hello !
Personnellement et particulièrement à un niveau de doctorant je trouve un peu curieux d’envisager la recherche de sujets de thèse sur des sites qui seraient spécialisés… Ce ne me semble pas être une preuve d’autonomie, de pertinence ou de capacité de réflexion personnelle du doctorant. La suite c’est quoi ? C’est d’espérer trouver aussi un choix de sommaires pour développer ces sujets, puis de dénicher des rédactions toute prête ?
A+
Hello !
Le MASE ou un SMS&ST (et SME) n’a aucune “résonance” particulière avec l’effectif* d’une entreprise (et lycée de Versailles comme disait un certain Coluche…). Du moins je ne comprends pas ta remarque Thaumasia, peux-tu la développer ?
* La seule évocation d’un effectif dans le MASE est un renvoi au seuil d’une certaine exigence réglementaire…
La première “résonance” du MASE avec une entreprise (grande ou petite) est d’ordre commercial : c’est essentiellement son caractère incontournable pour les entreprises qui souhaitent intervenir chez les parrains de cette certification EE. J’ai travaillé dans une entreprise du CAC 40 dont une infime partie du personnel intervenait dans la pétrochimie et cette petite activité devait être Masée pour accéder à ce marché, alors que par ailleurs toutes nos entités avaient de “vrais” SMS&ST et SME.
A+
(suite)
PS : au fait qui sont les “sous-traitants” dont tu as parlé Maissa ? Que font-ils et pour qui ? Et toi es-tu dans l’entreprise utilisatrice ou chez un des sous-traitants ? Bref peux-tu décrire un peu plus le contexte de ces “laboratoires” ?
(suite)
Maissa puisque que tu es dans une démarche d’évaluation des risques chimiques pour le personnel du labo il n’y a aucune autre option que de “classifier” les produits utilisés par le labo selon leurs risques pour la sécurité et la santé de ce personnel ! Et de faire ça à partir de l’analyse de leur travail, en tâchant de déterminer des “profils” de produit-risque similaires qui te permettent certains regroupements des produits utilisés, afin d’arriver à simplifier ton problème de détermination des quantités utilisées en te concentrant sur les produits significatifs du travail courant des laborantins.
Question : initialement tu as parlé d’un laboratoire, maintenant tu en évoques plusieurs… sont-ils “spécialisés” dans leurs analyses ou font-ils tous plus ou moins le même panel d’analyses ?
A suivre.
(suite)
– Tu as raison Thaumasia je mal lu ton premier alinéa. Comme tu as évoqué la perspective de refaire l’audit (il n’en était question ni pour Farah, ni pour moi, ni même pour l’auditeur je pense) et j’ai cru que tu le suggérais alors que tu disais de ne pas le refaire en fait.
– La programmation de formations est une “réponse” tout à fait adaptée et suffisante / aux deux écarts explicites en question. Leurs apports pour consolider la prise de poste de Farah et leur exploitation dans sa contribution à l’amélioration du SMQ de son entreprise est un autre temps, une autre échelle, dépassant les deux écarts visés.
A+
