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Oups désolé Elisabeth, je n’ai pas clairement identifié tes directions. Ce sont semble-t-il les suivantes : Direction Générale – Direction financière – Direction chaine logistique – Direction marketing client commerce – Direction ressources humaines – Direction informatique – Direction infrastructures et services généraux – et Direction hygiène sécurité environnement. Ok vu.
A+
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Merci Elisabeth. Les 2 processus portés par la direction sont « processus stratégie / management et amélioration continue » d’une part et « processus management des finances » de l’autre. C’est ça ?
Tu n’as pas répondu à notre curiosité / noms des différentes directions contribuant aux 5 processus du SMQ.
Thaumasia je sais bien que le nombre de processus n’est pas directement lié à l’effectif d’une entreprise. Néanmoins une petite entreprise a une structure moins complexe qu’une grande et ses processus seraient généralement moins discriminés et donc moins nombreux, non ? Ou alors l’inverse, que des entreprises soient grandes ou petites elles tendraient à identifier grosso-modo le même ordre de grandeur de processus en nombre ? Quale est ton point de vue ?
A+
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Thaumasia c’est à Elisabeth de répondre à mes questions sur sa réalité.
A+
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Ah ok Laura, tu n’as pas répondu à ma question (que sont les « engagements » que tu mets dans ton « manuel ») mais si aucun de ces « engagements » n’est documenté ne t’en préoccupe pas. L’engagement (au singulier dans 5.1.1 et 5.1.2) ne se documente pas, c’est un comportement de la direction qui se prouve autrement. Si par engagements tu évoques le contenu de la politique alors là oui on documente.
A+
Hello !
Curiosité perso Elisabeth : que sont ces deux processus « management » ? Il y a deux « directions » ? Sinon je trouve que 5 processus seulement dans un organisme de presque 200 personnes c’est peu (mais pas « interdit »). Et oserais-je demander les noms des différentes directions contribuant à ces 5 processus ?
A+
6 mai 2019 à 12 h 53 min en réponse à : grille d’auto evaluation ISO 45001, tableau de bord avec les indicateurs de performance #17105Hello !
Emouan, utiliser une telle grille venant d’un autre que toi c’est interposer un filtre (un écran, une interprétation…) entre le référentiel et toi. Il est bien plus pertinent et pédagogique d’analyser le référentiel et de t’en faire compréhension en direct !
Sur un plan pratique si tu tiens à avoir une grille d’auto-évaluation (éventuellement plus concise que les parties 4 à 10 de la norme) crée-la toi-même :
– Tu lis et analyses attentivement le référentiel pas à pas…
– Tu identifies ses exigences au degré de précision de ton choix…
– Dans la 1ère colonne d’un tableau tu notes les n° des articles de la norme…
– Dans la 2ème colonne du tableau tu reportes les exigences que tu as identifiées (simplifiées sous forme de question si tu veux)…
– Tu ajoutes une 3ème colonne pour formuler ton évaluation de la satisfaction de chaque exigence par ton entreprise…
– Tu ajoutes d’autres colonne(s) pour noter toutes choses utiles en plus à ton goût… comme par exemple l’identification des documents ou éléments existants liés à telle exigence (4ème colonne ?) ou encore l’évocation d’une action prévue ou en cours pour améliorer la satisfaction de telle autre (5ème colonne ?)…
Et hop tu as TA PROPRE GRILLE !!!!!! Tu en maîtriseras bien mieux l’exploitation. Mais la vraie grille d’évaluation du management S&ST de ton entreprise c’est la norme elle-même.
A+
Emilie ?
PS : au fait tu ne m’as pas éclairci ce qu’est la documentation « engagements ».
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Laura, de fil en aiguille tu devrais glisser la plupart des documents de ton SMQ dans ce « manuel »… et in fine il s’agirait tout simplement de la documentation du SMQ sans en faire un « manuel »… C’est une blague perso, car ce « manuel » n’étant plus exigé par l’ISO 9001, continuer à parler d’un « manuel Q » ne signifie plus rien dans une discussion avec des « extérieurs ».
En effet faute de définition de référence chacun peut considérer tout et n’importe quoi sous cette appellation et générer des quiproquos (contrairement par exemple à l’emploi du terme de « politique Q » par exemple). La notion de « manuel Q » est aussi indéterminée que celle de « bible Q », « spectre Q », « consensus Q », « étoile Q », « menu Q » ou de je ne sais quel autre terme non normalisé ISO 9001…
De coté « ressources pour la surveillance et la mesure » ce sera plus clair si je te rappelle « qu’avant » il s’agissait des « équipements pour la surveillance et la mesure ». On pourrait admettre que ce glissement de vocabulaire tendrait à couvrir non seulement les équipements en eux-mêmes mais peut-être aussi les compétences pour les utiliser…
Que surveiller ou mesurer ? Ça dépend de ta « production »… je ne peux que plagier l’ISO 9001 : il s’agit d’assurer de manière adéquate « des résultats valides et fiables lorsqu’une surveillance ou une mesure est utilisée pour vérifier la conformité des produits et des services aux exigences »…
A+
Hello !
Laura si je comprends bien tu appelles « manuel » un extrait réduit de certaines des informations documentées pour ton SMQ modèle ISO 9001 introduites par une description de l’entreprise (pourquoi pas ?) : ses engagements (*), la politique qualité (5.2), la cartographie des processus (une façon de coller globalement à 4.4) et son mode de gestion documentaire (lié à 7.5).
* que sont ces engagements ? (cf ISO 9001)
Pourquoi ne pas y dupliquer aussi le domaine d’application du SMQ (4.3) ou les objectifs Q (6.2) ou encore les ressources (7.1.5), etc… toutes choses également intéressantes pour les clients et/ou le personnel ? Je sais bien que les Qualiticiens sont attachés à feu leur manuel Q mais c’est plutôt la documentation du SMQ qu’il faut s’attacher à maîtriser, ce qui n’empêche pas d’avoir un(des*) « powerpoint » de présentation de l’entreprise sous l’angle Q.
* différentes versions suivant le public cible (un principe de base en communication).
A+
2 mai 2019 à 19 h 50 min en réponse à : Mise en place d’un SMSST (ISO 45001:2018) dans une administration allemande. #17092Hello !
Euh… il n’ya pas de « trame de questions à poser » pour structurer un SMS&ST. Il y a à confronter une à une les exigences du modèle (ISO 45001) à la pratique de l’organisme puis à construire ce qui manque ou améliorer ce qui existe et faire fonctionner le tout…
Si tu veux vraiment voir la chose en termes de questions à te poser : tu prends chaque exigence de la norme (ex : « la direction ou l’organisme doit xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx » et tu te demandes « la direction ou l’organisme satisfait-il cette exigence ? ». C’est « l’état des lieux » de la démarche que je t’ai proposée en fait. Ensuite il faut combler les écarts entre l’existant et le modèle.
A+
Hello !
Je ne suis pas un pro de l’environnement (et il ne semble pas y en avoir ici) mais je ne comprends pas bien que tu parles en fait de l’application de deux arrêtés préfectoraux qui semblent se contrarier…
Question : l’arrêté de 2015 abroge-t-il celui de 2013 ou pas ? Les deux arrêtés visent-ils précisément ton entreprise ?
A+
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Peux-tu nous en dire plus sur cet arrêté préfectoral…?
Sur quoi porte-t-il vraiment ? Date-t-il d’avant ou d’après le « déclassement » de ton entreprise de « SEVESO seuil bas » à simple(s) ICPE ? En quels termes exacts évoque-t-il ce fameux Plan Interne d’Intervention* qu’on ne trouve dans aucune réglementation ?
* Alors qu’on trouve les notions de Plan Particulier d’Intervention et de Plan d’Opération Interne comme ici : http://circulaire.legifrance.gouv.fr/pdf/2011/06/cir_33260.pdf
Quelle est le type (cf nomenclature) et le régime (E, D, A…) de l’ICPE ou des ICPE actuelle(s) de ton entreprise ?
A+
30 avril 2019 à 17 h 19 min en réponse à : Mise en place d’un SMSST (ISO 45001:2018) dans une administration allemande. #17058Hello !
Bin euh… tu as l’air de savoir ce que tu fais. Continue en mettant en route ou instrumentant les fonctionnements du SMS&ST (cf exigences ISO 45001) que tu as repérés comme insuffisants ou en panne… Je ne vois pas bien quoi te dire d’autre, il faut compléter et surtout faire « tourner » le SM maintenant.
A+
La démarche de principe que je propose pour mettre en place un Système de Management (quelque soit le domaine de management « X » et la norme de SM visée) voici quelles sont à mon avis les grandes lignes à suivre (validées par certaines expériences personnelles) :– Voir d’emblée l’intégration du modèle normatif de SMX dans l’entreprise comme un « projet » de l’entreprise à mener par la direction en mode « conduite de projet » (c-à-d une petite équipe projet, un budget, un planning d’actions, de la comm, etc… à la maille de l’entreprise). Ce qui nécessite une décision et un suivi de la part de la direction…d’autant qu’elle aura aussi des tâches à réaliser en cours de projet.
– Commencer par une découverte-compréhension-appropriation des exigences du modèle normatif de SMX par l’équipe projet en se faisant un atelier de lecture au minimum, voire une formation sur la norme et le SM (et/ou à l’occasion du point suivant).
– Faire de toutes façons un état des lieux initial des pratiques actuelles de l’entreprise dans le domaine X sous la forme d’un véritable « audit » en utilisant la norme de SMX comme « référentiel d’audit »… (disons qu’on fait un audit du SMX « natif » de l’entreprise, car l’entreprise manage déjà le domaine X d’une manière ou d’une autre, même si c’est d’une manière empirique.
– Ce audit permet d’identifier ce que l’entreprise fait déjà de correct « sans le savoir » (à entériner par le projet), ce qu’elle fait mais pas correctement (à ajuster par le projet) et ce qu’elle ne fait pas encore mais devra faire pour être en accord avec la norme de SMX (à créer par le projet)…
– Cet audit nourrira l’élaboration de sa feuille de route (identification et planification des tâches nécessaires à la structuration et la mise en oeuvre du SM = planning des tâches avec responsables et jalons), surtout si l’entreprise a les moyens de faire réaliser cet audit par un consultant compétent en SMX en prévoyant au CdC qu’il le mène accompagné de la petite équipe projet (ce sera une sorte de formation minimum ou complémentaire évoquée plus haut).
– Planifier et réaliser les tâches ainsi identifiées pour construire le SMX en associant au passage les acteurs des principales fonctions concernées par les processus X ainsi consolidés ou créés, et lancer peu à peu le SMX avec leur participation initiale et maintenue ensuite.
NB : créer et lancer un SMX prend raisonnablement de l’ordre d’une année.
Hello !
Bin euh… FFF pourquoi utiliserais-tu une autre « méthode de formalisation » pour formaliser ces « autres exigences » que la « méthode » que tu as déjà utilisée pour formaliser les « exigences légales »…? Et voici une autre réponse : je te propose la méthode « stylo/papier » ou encore « clavier/word »…
Qu’espères-tu comme genre de réponse ? Je ne comprends pas ta question.
A+
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