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Hello !
Le « Management des entreprises d’assurance » serait le contexte ou le domaine de cette thèse, mais quelle est la problématique envisagée susceptible de faire débat et de te donner l’occasion d’apporter des réflexions nouvelles à travers ta thèse Raouf ?
A+
Hello !
Walid, ce « processus de veille réglementaire déclenché par la surveillance des textes réglementaires et/ ou l’apparition ou promulgation d’un nouveau texte, proposition de loi ou tout autre événement » n’est qu’un petit bout de l’iceberg… Quid de tous les « textes » existant avant son lancement à l’occasion du projet de certification ? Plus largement je n’y vois pas la satisfaction des exigences ISO 9001 en matière de conformité réglementaire.
Camelia tu n’as pas répondu à mes questions.
A+
12 octobre 2019 à 16 h 05 min en réponse à : mise en place d’un SMQ dans un organisme de distribution des produits pharmaceutique #17546Hello !
Miss CMQ, pour mettre en place un Système de Management (quelque soit le domaine de management « X » et la norme de SM visée) voici quelles sont à mon avis les grandes lignes à suivre (validées par expériences personnelles) :
– Voir d’emblée l’intégration du modèle normatif de SMX dans l’entreprise comme un « projet » de l’entreprise à mener par la direction en mode « conduite de projet » (c-à-d une petite équipe projet, un budget, un planning d’actions, de la comm, etc… à la maille de l’entreprise). Ce qui nécessite une décision et un suivi de la part de la direction…d’autant qu’elle aura aussi des tâches à réaliser en cours de projet.
– Commencer par une découverte-compréhension-appropriation des exigences du modèle normatif de SMX par l’équipe projet en se faisant un atelier de lecture au minimum, voire une formation sur la norme et le SM (et/ou de manière opportuniste à travers le point suivant).
– Faire de toutes façons un état des lieux initial des pratiques actuelles de l’entreprise dans le domaine X sous la forme d’un véritable « audit » en utilisant la norme de SMX comme « référentiel d’audit »… (disons qu’on fait un audit du SMX « natif » de l’entreprise, car l’entreprise manage déjà le domaine X d’une manière ou d’une autre, même si c’est d’une manière empirique). Cet audit est bien plus pertinent que l’inutile « audit à blanc » à la fin du projet…
– Ce audit permet d’identifier (1) ce que l’entreprise fait déjà de correct « sans le savoir » (à entériner par le projet), (2) ce qu’elle fait déjà mais pas correctement (à ajuster par le projet) et (3) ce qu’elle ne fait pas encore mais devra faire pour être en accord avec la norme de SMX (à créer par le projet)…
– Cet audit nourrira l’élaboration de sa feuille de route (identification et planification des tâches nécessaires à la structuration et la mise en oeuvre du SM = planning des tâches avec responsables et jalons), surtout si l’entreprise a les moyens de faire réaliser l’audit initial en question par un consultant compétent en SMX en prévoyant à son CdC qu’il le mène accompagné de la petite équipe projet (ce sera une sorte de formation minimum ou complémentaire à celle évoquée plus haut).
– Planifier et réaliser les tâches ainsi identifiées pour construire le SMX en associant au passage les acteurs des principales fonctions concernées par les processus X ainsi consolidés ou créés, et lancer peu à peu le SMX avec leur participation initiale et maintenue ensuite.
NB : créer et lancer un SMX prend raisonnablement de l’ordre d’une année.
A+
PS : documenter ou pas un SMQ ne se discute pas, particulièrement si l’on veut le faire certifier ! Les modèles ISO de SM exigent tous de documenter un certain nombre d’informations et plus si affinités…
Hello !
Camélia, à propos de quelle « exigence ISO 9001 » envisages-tu cette notion de « veille réglementaire » ? A ma connaissance cette norme ne mentionne rien de tel. Et en quoi consiste cette « veille » selon toi ? Quel genre de « processus » voudrais-tu mettre au point ? A partir de quelles « données d’entrée » et pour produire quelles « données de sortie » ? Quel est par ailleurs le domaine d’activité de ton entreprise ?
Un commentaire en attendant que tu précises ton besoin : le champ de la réglementation visant la Qualité des produits ou services est bien plus diffus et plus compliqué d’accès qu’en matière de management de l’Environnement ou de la Sécurité Santé au Travail.
A+
Parfait !
le mien découle des référentiels ISO de SM en question…!
Hello !
Ya2sin, analyse bien les exigences du modèle ISO 17025 pour conseiller utilement ta direction sur les aspects compétence, impartialité et cohérence des activités de votre structure dans son contexte.
Le MQ appartient au passé et aux nostalgiques… Mais ce serait intéressant de comprendre comment des Zaza ou autres Ya2sin désireux d’adopter les exigences ISO 17025 (ou 9001) en arrivent à chercher des exemples de « manuels qualité répondant aux exigences ISO 17025 (ou 9001) ». Quel est leur point de départ et leur cheminement de pensée ?
A+
(suite)
Oui Thaumasia, Frigidaire est une célèbre marque de réfrigérateurs comme Klaxon est une célèbre marque d’avertisseurs sonores, etc… ces deux noms étant devenus synonymes de l’ensemble des objets dont ils ne sont qu’une partie, mais ton image ne colle pas à ce dont nous débattons. Les normes ISO de SM n’exigent ni Frigidaire, ni Klaxon, ni MQ…
En continuant à jouer la carte du MQ tu ne détrompes pas la recherche « d’exemples de MQ répondant aux exigences de la norme ISO 17025 V2017 » (ou ISO 9001 V2015) alors que ces exigences ont disparu de ces normes.
Ce n’est pas le nom de MQ qui pose problème c’est l’absence d’exigences ISO 17025 V2017″ (ou ISO 9001 V2015) permettant de s’accorder sur le contenu la finalité et la place de cet élément disparu de la documentation d’un SMQ actuel. L’essentiel est de documenter notre SMQ de manière pertinente par rapport au modèle ISO utilisé.
A+
Hello !
Nous sommes plusieurs à en avoir déjà parlé et on n’en reparlera sans doute à nouveau tant que certains chercheront encore des « exemples de manuel qualité répondant aux exigences de la norme 17025 V2017 » (ou ISO 9001 V2015) sans lire la norme ni même savoir ce qu’il veulent sous cette appellation obsolète dans la documentation de leur SMQ !
On documente son SMQ avec pertinence et en accord avec les exigences de SM ISO du domaine considéré, mais ça ne passe plus par le vocabulaire MQ* qui n’a plus de « sens » ou de « contenu » au titre des exigences en question.
* Thaumasia a donc fourni en exemple (de quoi ?) un document particulier qui ne répond à aucune exigence ISO.
C’est pourquoi il est tout à fait ambigu de continuer d’évoquer « le » MQ en terme d’utilité. Dans le cadre d’un SMQ ISO. Il vaudrait mieux qu’une entreprise choisisse de créer un GQ, pour grimoire qualité, une SQ, synthèse qualitélité, ou une PQ, présentation qualité. Ce ne sont que des exemples personnels de noms inventés de documents dont la finalité et le contenu lui seraient propres et pertinents car elle en aurait déterminé et mûri le besoin dans la documentation de son SMQ. Cela éviterait clairement, dans l’intérêt des jeunes Qualiticiens, de faire implicitement référence à ou de faire perdurer des exigences périmées « du MQ » d’anciennes versions des normes ISO de SMQ…
A+
On a le choix en termes d’hypothèses, résidu du passé encore trop frais, réflexe pavlovien, résistance au changement, conservatisme inavoué, denni de la version actuelle de la norme, deuil impossible pour certains Qualiticiens*…?
* il n’y a qu’en SMQ que ce « manuel » était exigé.
Hello !
Excellente position Eriketraq, que tous les Qualiticiens devraient avoir… et en plein accord avec l’évolution des normes ISO de système de management de la Qualité. Du coté de ton auditeur je dirais qu’il est presque curieux qu’il se soit intéressé à un document « du passé » puisque rien dans la version actuelle de l’ISO 17025 n’en donne l’occasion.
A+
2 octobre 2019 à 14 h 14 min en réponse à : risques liés à l’impartialité selon la norme ISO/IEC 17025 #17506(4.1.4 … qui risque de porter atteinte à son
activitéimpartialité …)PS : les mots ont un sens je trouve… on ne met pas en place une norme (ISO 45001)… je préfère dire qu’une direction structure ou améliore son management S&ST selon ce modèle… il me semble que ça a un autre sens.
Hello !
Annie ce serait bien que tu pointes ou cites plus précisément (références ?) les exigences qui te posent problème…
1/ détermination des enjeux internes et externes (4.1) : en plus d’une liste exhaustive, que faut il faire de plus ?
>> Où as-tu vu qu’il en fallait une « liste exhaustive » ? Mais il suffit de déterminer ses enjeux tant qu’ils sont pertinents par rapport à la finalité de l’entreprise et susceptibles d’influencer la performance de son SMS&ST. Il n’y a pas d’exigence de documentation à ce niveau. Ces enjeux sont notamment de l’ordre des besoins et attentes des parties intéressées, des exigences légales et autres exigences et des risques et opportunités. Ils sous-tendent divers éléments du SMS&ST. Pour creuser les enjeux voir A.4.1.
2 / Evaluation des risques et opportunités (6.1.1 et surtout 6.1.2) : comment aborder ce point ?
>> Pour ce qui est de l’évaluation des risques professionnels voir les exigences réglementaires qui en donne de nombreux critères ou méthodes. Ces critères méthodes et résultats doivent être documentés. Il n’y a rien à inventer, on est en plein dans les exigences réglementaires de l’EvRP et le DU… Du coté des risques-opportunités pour le SMS&ST on est bien plus libre sur la manière de faire et sans exigence de documentation. La norme et ses annexes en disent long même avec une rédaction souvent assez ésotérique qui donne toute latitude à certains auditeurs pour demander tout et n’importe quoi.
3/ pilotage du changement (8.1.3) : que mettre en place pour y répondre ?
>> Bin il faut définir un processus d’anticipation, de choix et d’application des dispositions prises permettant d’introduire tout changement pertinent en matière de SMS&ST de manière maîtrisée… Processus en interaction avec les éléments adéquates du SMS&ST (ex : consultation du personnel, planification des actions…). Je ne peux pas mieux dire.
4/ comment avez vous répondu à la consultation et participation des travailleurs (5.4) ?
>> C’est un vrai apport de cette norme par rapport à l’ancienne norme britannique, sans aller jusqu’aux attentes de l’ILO-OSH. On y répond en commençant par utiliser le CSE dans le SMS&ST. Plus globalement il s’agit d’associer les salariés concernés aux étapes de fonctionnement du SMS&ST, en les consultant vraiment chaque fois qu’ils sont concernés à telle maille et en tenant compte de leur point de vue dans la mesure du possible et de leur pertinence. En fait c’est de l’ergonomie.
5 : lorsque la norme demande d’établir un processus (3.25), est ce qu’une procédure peut suffire ?
>> La norme exige des « processus » donc une « procédure » (la norme n’en demande aucune !) ne suffit pas. Mais tu peux vouloir préciser dans des procédures (appelle ça comme tu veux) certaines manières de faire dans un processus. Tu peux aussi mettre un titre de « processus » à ta « procédure »…
6/ pour les entreprises ayant déjà été certifiées sur ce référentiel, quels sont les points de NC ou PP ayant été notifiés ?
>> Bin euh… ca dépend tellement de chaque entreprise auditée que ça ne t’avancera guère d’en avoir des exemples.
A+
30 septembre 2019 à 18 h 06 min en réponse à : Exigences Sécurité et Environnement dans les projets d’implantation ou modification d’infrastructures #17501Hello !
Faire de la prévention des risques professionnels ou environnementaux au niveau des projets c’est la voie royale de la pré-vention…! C’est vraiment être pro-actif (en S&ST c’est typiquement l’EvRP « a priori ») plutôt que curatif (analyse des risques / accidents ou incidents). La plupart des dispositions réglementaires de S&ST ou Envi sont exploitables dès les projets.
A+
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