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11 janvier 2020 à 18 h 32 min en réponse à : Eléments de preuve concernant chacun des 32 indicateurs de Qualiopi #17930
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Chardav, je suis d’accord avec toi je n’ai pas utilisé le vocabulaire de ce contexte réglementaire. Mais pour autant je ne comprends pas que la réponse qui t’a été donnée avant moi te convienne alors que :
1- D’une part cette première réponse est basée sur une erreur :THAUMASIA_Academie a déclaré
…/…
Par exemple, le critère 1 (… le prestataire diffuse une information accessible au public, détaillée et vérifiable sur les prestations proposées : prérequis, objectifs, durée, modalités et délais d’accès, tarifs, contacts, méthodes mobilisées et modalités d’évaluation, accessibilité aux personnes handicapées…) propose plusieurs exemples de preuves : plaquette, réseaux sociaux, site internet…
…/…
Son exemple n’est pas un « critère » mais un « indicateur » (c’est l’indicateur 1 du critère n°1 qui comporte 3 indicateurs)
2- D’autre par part elle n’a pas traité ta demande « quantitative » (une seule preuve suffit-elle pour justifier notre conformité à tel indicateur ?), mais a pris un angle qualitatif.
Je note au passage que toi non plus tu n’utilises pas le vocabulaire du contexte réglementaire avec ce terme « preuve »…
Et au global je confirme ma réserve sur la formulation de ton besoin et je confirme aussi, en répondant strictement à ta question, qu’une seule preuve par critère ne suffit pas, puisque chaque critère fait l’objet de plusieurs indicateurs. Par contre, toujours dans ton optique quantitative, on peut dire qu’une seule preuve par indicateur suffit.
A+
PS à propos de ton histoire « d’exigence » qui n’aurait de sens que dans une « norme » :
– Quand une réglementation mentionne « Le prestataire définit les objectifs opérationnels et évaluables de la prestation » ne comprends-tu pas que c’est une « exigence » ? Mais tu peux le refuser et dire que c’est une « obligation »… bonnet blanc er blanc bonnet. D’ailleurs même tes « normes » parlent des « exigences » légales ou réglementaires !
– Je te rappelle que les lois, décrets, arrêtés… sont également appelés « normes juridiques ». Les normes juridiques se distinguent des autres (genre ISO) par le fait qu’elles sont d’application obligatoire, tandis que ces « autres » ne sont « que » d’application volontaire… sauf quand ces dernières sont rendues d’application obligatoire… par une norme juridique !
A+
11 janvier 2020 à 11 h 59 min en réponse à : Eléments de preuve concernant chacun des 32 indicateurs de Qualiopi #17928Hello !
Chardav, le guide-référentiel en question est clair en ce qui concerne les éléments de preuve recherchés pour la certification. Mais il faudrait s’entendre sur ton besoin : tu parles de « preuve(s) par critère ». Or si tu as bien lu le document ses 7 « critères » regroupent en fait 32 exigences, chaque exigence étant illustrée par de nombreux exemples « d’éléments de preuve ».
Ainsi le critère n°1 est triple si j’ose dire avec ses trois exigences : 1 informer le public sur les prestations proposées – 2 diffuser des indicateurs de résultats de ses prestations – et 3 diffuser des informations supplémentaires si prestation de certification(s) professionnelle. Ton organisme doit pouvoir montrer la satisfaction de ces trois exigences (deux s’il ne propose pas de certification professionnelle). Disons alors qu’il faut au moins une preuve par exigence si tu veux les compter, donc trois preuves pour le critère n°1…
Conclusion il faut au moins autant « d’éléments de preuve » par « critère » qu’il comporte d’exigences, si tu veux vraiment dénombrer tes preuves. Mais un même élément peut prouver la satisfaction de plusieurs exigences, alors je ne sais pas comment tu quantifies le cas…
Est-ce que ça éclaire ton questionnement ?
A+
PS : ne cherche pas « combien il faut en mettre » des preuves, attache-toi plutôt à ce que ton organisme satisfasse les exigences du référentiel « au niveau attendu » de qualité des formations professionnelles qu’il dispense.
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Hello !
Emouan, une formation c’est toujours une transition entre un état de connaissances-compétences A vers un état de connaissances-compétences B supérieures en fonction des objectifs. Il est impossible de répondre à ta demande sans connaître l’état des connaissances-compétences du « candidat » en culture générale (avec pertinence en QHSE, comme par exemple en chimie, en droit…) et « QHSE » proprement dit et ce qui est attendu pour le poste QHSE visé (attentes et ampleur du poste / caractéristiques de l’entreprise)… En tout cas un « power-point » n’a jamais assuré la formation du professionnalisme d’un fonctionnel QHSE !
A+
9 janvier 2020 à 9 h 09 min en réponse à : Utilisation d’un certificat ISO 9001 périmé (la version 2018) #17923Un organisme de certification doit prendre soin de ses clients, comme toute structure commerciale.
Hello ! En effet si ton produit dilué a un Ph de 7 c’est la neutralité ! Te voici rassuré sur l’ensemble de ton évaluation. A+
Hello !
Marion, en vertu de 5.3 (ISO 9001) le rôle d’auditeur(s) interne du SMQ doit être clairement attribué à telle personne(s) et en vertu du 7.2 cette personne doit en avoir les compétences par formation initiale ou professionnelle, ou par expérience appropriée.
Vu que le SMQ de ton entreprise démarre, tu peux bien faire au mieux et commencer à pratiquer des audits internes avec les moyens dont tu disposes (c-à-d toi-même, en charge du SMQ). Demande une formation aux techniques d’audit à ton boss (il n’y en a pas de particulièrement « officielle »), tu en profiteras quand tu pourras, et tu progresseras en pratiquant. Tout ça sera surveillé par les audits de suivi et autres, ce qui pourra donner lieu à remarques et pistes d’amélioration… ne t’inquiète pas.
Moi j’ai une question qui me turlupine toujours : dans les entreprises qui font certifier leur SM pourquoi donc les audits de suivi et certification ne compteraient-ils pas tout simplement comme des audits internes ? Ca éviterait ces doutes notamment dans les PME.
A+
(suite)
Thaumasia, Albdelghani ne cherche pas à « évaluer la contribution des audits internes » au SMQ mais il a explicitement dit qu’il voulait « évaluer l’efficacité du SMQ selon la mission d’audit« .
A+
5 janvier 2020 à 17 h 00 min en réponse à : Utilisation d’un certificat ISO 9001 périmé (la version 2018) #17905Un rappel à l’ordre de la part d’un organisme de certification… brrrr ça fait peur !
Mais, que ce soit à propos de cet organisme ou d’une ancienne attribution de marché (à l’époque de validité de cette certif), s’afficher comme avoir été certifié ISO 9001v2008 reste une information vraie… et sachant que le millésime actuel de cette norme a déjà 4 ans, personne ne peut sérieusement « croire » aujourd’hui au maintien de cette vieille certification…
A+
Dernier PS pour cette fois :
Si tu en restes à « évaluer l’efficacité du SMQ selon la mission d’audit » (je comprends « à l’aide » ou « sur la base » de ton audit interne du SMQ) : pour moi les conclusions justifiées de ton audit en termes de non-conformités de tel(s) élément(s) du SMQ constituent directement, selon « l’importance » de ces NC, l’évaluation des faiblesses d’efficacité du SMQ. J’ai hâte de lire le questionnaire d’évaluation que tu évoques car j’imagine de moins en moins comment il répond à ton besoin.
Exemple (j’invente) : si la direction se donne tel objectif(s) et que l’audit révèle que l’indicateur(s) sensé le suivre n’est pas mesuré, alors c’est sûr l’efficacité du SMQ est très douteuse sur cette exigence importante (les objectifs). Par contre si l’audit révèle que la conservation de telles informations documentées passées n’est pas assurée comme exigé, ceci compromet bien moins l’efficacité du SMQ. On retrouve ici la « hiérarchie » des conclusions d’audit depuis les simples remarques (ou les « pistes de progrès ») jusqu’aux « NC majeures » ! Ces dernières pénalisant plus fortement l’efficacité du SMQ évidemment.
A+
NB : c’est dans le champ « Upload Attachments » qu’il faut déposer ton fichier de formulaire d’évaluation en question (fonction apparaissant en bas à gauche du texte d’un message quand on le crée ou qu’on le modifie).
Je ne peux que redire que la performance et l’efficacité d’un SMQ sont évaluées à travers la satisfaction des clients, les audits internes et les revues de direction… mais effectivement la double conformité du SMQ (cf audits internes) semble plutôt être gage d’efficacité (puisque le modèle est réputé apporter de l’efficacité au management de la qualité).
Je ne sais pas répondre à ta recherche même si elle est mieux cernée maintenant. D’autres pourront peut-être t’apporter des réponses plus académiques.
>> Peux-tu nous fournir en pièce jointe le questionnaire d’évaluation de la performance et de l’efficacité d’un SMQ que tu as ?
PS en attendant d’autres réponses tu devrais aussi faire un peu de bibliographie internet pour trouver des choses comme celles-ci qui vient du créateur de ce forum :
A+
Et tu veux « évaluer la performance et l’efficacité d’un SMQ » autrement qu’avec le questionnaire que tu as déjà, c’est ça ?
Peux-tu nous fournir ce questionnaire en pièce jointe ?
PS : je te pousse dans l’analyse et la reformulation de ta demande et son contexte car tu avoueras que maintenant « évaluer la performance et l’efficacité d’un SMQ après la fin de la mission de audit » c’est assez différent de « évaluer un rapport de audit qualité » ou de « évaluer les finalités d’audit interne ».
PS2 : attention « évaluer la performance ainsi que l’efficacité du système de management de la qualité » c’est justement la finalité de l’ensemble du chapitre 9 de l’ISO 9001 (qui parfois se mord un peu la queue) et pas seulement son sous-chapitre « audit interne »… L’audit interne est un des vecteurs d’évaluation de cette performance et efficacité, mais il n’est pas seul : les autres principaux vecteurs sont la satisfaction des clients et la revue du SMQ par la direction, le tout s’inscrivant dans une logique générale de « surveillance, mesure, analyse et évaluation » dixit l’ISO ! Donc ton évaluation de la performance et efficacité du SMQ de ton entreprise d’accueil ne peut pas se faire qu’avec les résultats de ton audit interne.
Je résume et je te demande de dire ce que est juste ou pas dans ces 3 lignes :
1- Ton mémoire va porter sur l’ensemble du chapitre 9 « Evalutaion des performances » (9.1 + 9.2 + 9.3).
2- Ta mise en pratique va « seulement » viser le sous-chapitre 9.2 « Audit interne ».
3- Tu veux ensuite évaluer ta « prestation » en tant qu’auditeur interne à cette occasion.
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Ton mémoire va porter sur l’ensemble du chapitre 9 « Evalutaion des performances » (9.1 + 9.2 + 9.3), mais ta mise en pratique va « seulement » viser le sous-chapitre 9.2 « Audit interne », c’est bien ça ?
Si j’ai bien compris tu vas donc pratiquer un audit interne d’un SMQ ISO 9001 de A à Z et tu veux ensuite évaluer ta « prestation » en tant qu’auditeur ? C’est bien ça ?
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Je viens de relire le titre que tu as donné à ta discussion. Il vise plutôt « l’évaluation d’un apport d’audit qualité ». Tandis que ton message m’a plutôt poussé du coté d’un « méthodes d’audit de SMQ ISO 9001 » (bien que tu n’aies mentionné cette norme ni dans ton titre ni dans ton message). Ton titre et ton message ont donc des objets différents, et je ne sais lequel est le vrai.
Ton titre nous amène plutôt vers l’évaluation de la pertinence d’un « rapport d’audit qualité » (pour peut-être aller vers l’évaluation de l’auditeur ?). Si c’est le cas il faudrait que tu en dises plus sur ce qu’est cet « audit qualité ».
Peux-tu développer et préciser ta demande, son objet réel, son contexte pour toi…?
A te lire.
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