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re bonjour à tous
Henri : en 2018, avant mai, il restera quelques entreprises. Après mai, il n’y en aura plus aucune.
Sarah : un objectif de zéro est-il réalisable ? On parlait avant du « zéro défaut » et puis on a commencé à dire « le zéro défaut signifie peu de défauts » et maintenant, on a réfléchi un peu, et on ne parle plus de « zéro défaut ». On parle par exemple de 0,1% ou même de ppm. Donne-nous un exemple de tes objectifs à zéro pour qu’on avise.
ceux dont le certificat (qui est valable 3 ans) vient à expiration en 2018. Pour des raisons économiques essentiellement, car il y a parfois un surcoût si on bascule en version 2015 lors d’un audit « de suivi ».
Henri a déclaré
…les Qualitiiciens devraient arrêter de parler de la norme ISO 9001 « version 2015 », car c’est évidemment cette version actuelle qui est la référence…
A+
heu… non
la version 2008 est encore acceptée, jusqu’en septembre 2018 !
(dernier audit de certification possible en juin 2018)
bonjour
peux-tu préciser ? quel indicateur ? pourquoi une « limite critique » et pourquoi un objectif ?
à quoi va servir cet indicateur ?
27 janvier 2017 à 18 h 41 min en réponse à : mise en place d’un système qualité ISO 9001 version 2015 #13287Bonjour
Mon conseil : voir comment l’entreprise est subdivisée en « services » avec un chef de service (les mots peuvent différer mais tu devrais avoir 4 à 6 services en tout : direction, achats, vente, logistique/stockage … ). Pars du principe 1 service = 1 processus.
Dessine la tortue de Crosby pour chacun (voir Google pour la tortue)
Vois avec la Direction et les chefs de service les indicateurs qu’ils ont déjà en place (souvent chiffrés en € ou en nombre de tracteurs).
Liste les parties intéressées (Google regorge d’exemples avec ISO 9001 2015)
Fais une analyse SWOT (Google te donne des tonnes d’exemples)
Le reste, tu verras après.
dès qu’il y a création de données de sortie à partir de données d’entrée, alors c’est un processus (ou c’est un sous-processus d’un processus plus grand)
quel est le rôle de la Direction ?
– définir la politique (donnée de sortie) à partir d’idées, d’analyses diverses (données d’entrées)
– définir certains objectifs (données de sortie) à partir de la politique et d’autres informations (données d’entrée)
conclusion ?
tu as la liberté de nommer ce processus du nom que tu veux. Mais c’est bel et bien un processus ou un sous-processus (on nomme parfois « activité » les sous-processus)
bonjour
penser à faire une analyse des risques liés à cette fermeture d’activité et à ce départ. De cette analyse on en déduira le besoin ou pas en audit, en contrôles, en visites clients, etc.
bonjour à tous
il faut remarquer que l’approche processus entraîne parfois des bêtises : optimiser le pss A fait parfois perdre de l’argent à l’entreprise.
exemple : le pss Achats doit atteindre un objectif de budget. Il y parvient. Mais les matières achetées sont de mauvaise qualité et font perdre plus d’argent à l’entreprise qu’elle n’en économise (voir les grilles des primes des acheteurs pour constater que le cas est fréquent).
selon mois, il est parfois bien de fixer un objectif couvrant 2 pss qui dépendent l’un de l’autre de manière à optimiser le global. Mais vous allez souvent tomber sur un auditeur administratif et puriste des normes, qui ne connaît rien à la gestion, et que vous devrez convaincre.
pour se fixer une politique et des objectifs, faut-il des éléments d’entrée, une moulinette, et y a-t-il des éléments de sortie ?
si, oui, alors c’est un processus.
notez qu’on pourrait aussi dire que c’est un sous-processus d’un plus grand processus.
25 janvier 2017 à 14 h 10 min en réponse à : Gestion des risques au niveau des exigences de la norme ISO 9001:2015 #13277bonjour
cotation genre GxF ou pas cotation, il faudra bien se fixer des priorités d’action si on a une liste de 50 risques !
n’oubliez pas les « opportunités »
bonjour
est-ce que définir une politique et des objectifs est un processus ?
(voir la définition du mot processus)
24 janvier 2017 à 16 h 54 min en réponse à : mise en place d »un système de management QHSE dans un parc d »attraction #13271bonjour
sans un minimum de formation ou bien une expérience en opérationnel ou exploitation, ça va être difficile.
24 janvier 2017 à 16 h 53 min en réponse à : Gestion des risques au niveau des exigences de la norme ISO 9001:2015 #13270bonjour
beaucoup d’auditeurs se contentent du SWOT
mais comment faire de la prévention concernant la qualité des soudures, des usinages, du code logiciel, du mélange chimique, etc. sans analyse de risques en production ? (genre AMDEC)
re
La 9001 pose une exigence de résultat, alors que par ex il n’y a pas d’exigence de résultat pour la conformité des produits. C’est donc assez spécial.
b) (la politique doit) être … comprise et appliquée au sein de l’organisme
Henri, les déroulements des audits interne ou de certification n’ont pas les mêmes objectifs :
– audit de certif -> conformité au référentiel.
– audit interne -> conformité au référentiel + performance/efficacité/efficience (on se rapproche du contrôle de gestion (qui n’est pas un contrôle mais une maîtrise soit dit au passage) )
C’est différent, et exige plus de compétences de la part d’un auditeur interne !
Concernant la politique, pour vérifier qu’on est tout bon, on peut attendre un audit interne (si possible demander à l’auditeur de bien creuser ce point précis). Mais on peut aussi se contenter de discussions informelles. Tous les coups sont permis.
François, essaye. Tu verras bien ce qui est le plus économique.
Oui, et non…
C’est d’abord à l’entreprise de s’assurer que la politique est comprise (voir le texte de la norme).
Un audit interne, ou un questionnement comme décrit plus haut font l’affaire.
L’audit de certification n’est pas là pour « s’assurer que »
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