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Bonjour NINA 12
Pour t’aider, je te partage avec toi l’échelle que nous avons utilisée pour déterminer les niveaux de pertinence.
Le niveau de pertinence de la partie intéressée peut être déterminé selon une échelle allant de 1 à 3 et qui peut s’apprécier en fonction des risques encourus par l’organisation si elle n’entre pas dans le dialogue avec cette partie intéressée.
Si l’organisme n’entreprend pas un dialogue avec cette partie intéressée :1 : Les risques de non-respect des exigences clients ou exigences légales et réglementaires sont faibles pour l’organisation. La pertinence du dialogue avec cette partie intéressée est donc jugée faible.
2 : Les risques encourus se situent au niveau opérationnel, ou managérial et ils peuvent toucher par exemple à la satisfaction du client sur au moins un produit, ou à la qualité du produit, ou faire encourir un risque portant sur la partie légale et réglementaire du produit ou service. L’innovation, les produits et services peuvent être affectés. La pertinence du dialogue avec cette partie intéressée est donc jugée forte.
3 : Les risques encourus sont stratégiques pour l’organisation et se situent au niveau de la réputation, de l’image ou de la stabilité financière de l’organisme. La pertinence du dialogue avec cette partie intéressée est donc jugée très forte.
j’espère t’avoir aidé.
Bonne journée
20 avril 2017 à 15 h 12 min en réponse à : Analyse des risques des attentes de parties intéressées #13756audec a déclaré
Nous avons pris la décision de ne pas déterminer les attentes de toutes les parties intéressées, car cela peut vite devenir une « Usine à gaz ». En effet, nous avons identifié plus d’une soixantaine de parties intéressées.Mais notre démarche n’est peut être pas la bonne. Je suis preneuse de tout vos conseils.
Pour faire simple, Faut les classer par famille ou sous-faire. les parties interessées, y’en a pas un million. c’est généralement:
- Administration
- Actionnaires
- Banque et institutions financières
- clients
- Fournisseurs/prestataires externes
- Partenaires
- Personnel
- Entreprises environnantes
- Collectivités locales
- etc…
Les besoins et attentes se sont par famille. ca facilite le travail.
NB: voir si necessaire la possibilité d’intégrer les composantes de chaque famille.
M
20 avril 2017 à 10 h 51 min en réponse à : Analyse des risques des attentes de parties intéressées #13753audec a déclaré
Merci pour l’information, c’est très intéressant,Mais une fois la partie intéressée jugée pertinente, il faut déterminer chacune de ses attentes. Ne faut-il pas réaliser l’analyse de risque de ses attentes ?
alors je vais mieux expliquer ce qu’il ya à faire selon moi.
-faudrait tout d’abord déterminer toutes les parties intéressées sans distinction;
-déterminer les besoins et attentes de chaque partie intéressée;
quand tout çà est fait,
-faudrait par la suite déterminer le risque encouru par l’organisme si les besoins et attentes identifiés ne sont pas pris en compte,
-puis attribuer des notes, selon l’échelle ci-dessus, à chaque partie intéressée, pour déterminer celles qui sont pertinentes(c’est ça l’objectif)
c’est impossible de dire tout de suite après avoir identifié une partie intéressée qu’elle est pertinente sans aucun critère de pertinence défini.
20 avril 2017 à 10 h 21 min en réponse à : Analyse des risques des attentes de parties intéressées #13751Bonjour Audec,
je crois que concernant les parties intéressées, à ce stade, pas besoins de critères (fréquence-gravité-probabilité-maîtrise) pour déterminer celles qui sont pertinentes. Le niveau de pertinence peut être déterminé selon une échelle allant de 1 à 3 et qui peut s’apprécier en fonction des risques encourus par l’organisation si elle n’entre pas dans le dialogue avec cette partie intéressée.
1 : Les risques de non-respect des exigences clients ou exigences légales et réglementaires sont faibles pour l’organisation. La pertinence du dialogue avec cette partie intéressée est donc jugée faible.
2 : Les risques encourus se situent au niveau opérationnel, ou managérial et ils peuvent toucher par exemple à la satisfaction du client sur au moins un produit, ou à la qualité du produit, ou faire encourir un risque portant sur la partie légale et réglementaire du produit ou service. L’innovation, les produits et services peuvent être affectés. La pertinence du dialogue avec cette partie intéressée est donc jugée forte.
3 : Les risques encourus sont stratégiques pour l’organisation et se situent au niveau de la réputation, de l’image ou de la stabilité financière de l’organisme. La pertinence du dialogue avec cette partie intéressée est donc jugée très forte.
Il s’agira donc d’attribuer une note à chaque partie intéressée en fonction de risque encouru si ses (la PI) besoins et attentes ne sont pas pris en compte par l’organisme.
En espérant vous avoir aidé,
Bonjour,
c’est très bien de penser à établir un plan de communication mais attention à ne pas mettre n’importe quoi dans ce plan.
je te conseillerais de commencer par les thèmes exigés par L’ISO 9001:2015 que sont:
1 – la Communication sur les responsabilités et autorités qui planifient, mettent en oeuvre, modifient et revoient le SMQ;
2 – la communication sur l’orientation stratégique, les objectifs qualité et leur déclinaison au sein des processus;
3 – la communication sur l’importance d’un système:
– efficace, c-a-d qui réalise à tous les niveaux ce qui a été planifié, dans les délais et si possible avec les ressources planifiées;
– qui permet l’amélioration;
– qui détecte les risques et opportunités;
– qui traite sans délai les réclamations et autres NC;
– qui rend compte de l’atteinte des performances et des besoins d’amélioration et d’innovation;
– qui soit conforme aux exigences clients (ISO 9001), légales et reglementaires
4 – la communication qui encourage à l’amélioration continue;
5 – la communication qui encourage à l’orientation client
Ensuite insérer les thèmes supplémentaires sur lesquels l’organisme voudrait bien communiquer.
j’espère t’avoir aidé!
Bonne chance
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