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Bonjour,
Etonnant que le CNEFOP ne reconnaisse pas l’ISO 9001, il me semblait que ça faisait parti des certifications qui permettait de réduire la démarche DATADOCK.
Dans tous les cas, y’a pas 50 solutions. Soit vous renseignez l’intégralité de DATADOCK (ce qui ne devrait pas poser trop de problème si vous êtes certifiés ISO 9001), pour vous faire référencer selon la procédure standard. Soit vous vous faites certifiés sur un label reconnu par le CNEFOP pour vous faire référencer en procédure simplifiée.
J’ai trouvé ce lien :
https://www.arftlv.org/Fiches-techniques/Prestataires_de_formation/806/Qualite_des_formations/
C’est la liste des référentiels reconnus, effectivement l’ISO 9001 n’y est pas.
Bonjour,
Je sais pas si c’est comme la formation IRCA mais le mieux que tu puisses faire c’est de bien lire les différentes normes (ISO 9001 si tu le fais sur ce référentiel, ISO 19011 et ISO 17021 pour les techniques d’audits).
29 juin 2017 à 12 h 47 min en réponse à : Mesure de l’efficacité des moyens de maîtrise risques et opportunités #14030Tu dois avoir un certains nombres d’indicateurs dans ton bilan social (formations, turn-over, pyramide des âges, …) qui peuvent te donner une idée sur le climat social de ton entreprise. Cela peut servir de base pour mesurer l’efficacité du dialogue social et de contrôler son risque de dégradation.
Bonjour,
Si ça n’a pas changé, il faut s’inscrire à une formation d’auditeur IRCA.
C’est une formation d’une semaine, à l’issue de laquelle on passe un examen pour valider la partie « Théorique ». Ensuite tu as 3 ans pour valider 21 jours d’audit (partie « Pratique »).
Parmi les pré-requis, connaître les exigences de la norme ISO 9001 et les principes de base des systèmes de management de la qualité.
Au hasard, as-tu tenté une recherche google ?
http://lmgtfy.com/?q=La+qualit%C3%A9+avec+l%E2%80%99ISO+9001%3A2015+et+plus+encore
Relevé les écarts entre un référentiel (ici ton processus) et le mode de fonctionnement, c’est ce qu’on appelle un audit
Bonjour,
Quelle est la finalité de cette analyse ?
Beaucoup d’entreprises partent sur un principe de évaluation/réévaluation annuelle toujours sur les mêmes critères. Ça répond aux exigences de la norme, aucun souci. Par contre est-ce que c’est vraiment efficace comme démarche ? Chacun est juge.
Comme je t’ai dit, j’ai opté pour un tableau de suivi des commandes avec une partie « commentaires ». En cas d’anomalies répétées, est-ce que je vais attendre l’évaluation « annuelle » pour agir ? Personnellement non, je prends contact avec le fournisseur, si nécessaire je diligente un audit, fais une réclamation, change de fournisseur, …
En fait mes critères de réévaluation dépendent de la performance de mon fournisseur, si tout se passe bien, son évaluation « initiale » ne changera pas (et donc pas de réévaluation). Si ça se dégrade, là je réévalue sa performance et mets en place les actions nécessaires.
Pour reprendre mon exemple des pelles. J’ai évalué mon fournisseur lors de ma première commande, j’arrive à un niveau de performance de 8 (mes critères d’évaluation sont pondérés pour donner une « note » finale »). Tant que ça se passe bien, son niveau ne bouge pas et je continue à travailler avec.
Si sur mon fichier, je constate 3 anomalies sur commande, je réévalue ce fournisseur avec les acheteurs.
Si la performance passe sous le seuil critique (chez moi c’est 7), en fonction des critères qui seront sous ce seuil, je définis les actions à entreprendre (du simple courrier au blacklistage du fournisseur).
Si malgré les anomalies, je reste au dessus du seuil, je bouge pas mais je mets une petite icône « Danger » pour signifier que ce fournisseur est sur une pente descendante, ça informe les acheteurs qu’il a été réévalué et qu’ils peuvent voir les critères en baisse sur sa fiche et qu’ils doivent être plus attentifs aux éventuelles anomalies.
En fait ce qui va induire une réévaluation, c’est un nombre d’anomalies. C’est pas forcément LA bonne méthode, c’est ce qui fonctionne chez moi, et encore une fois, une évaluation/réévaluation annuelle, ça répond à la norme. Là ce qui induit une réévaluation, c’est une date.
Je sais pas si parler « d’évaluation préalable » est une bonne idée, ça risque de fausser ta compréhension.
Partons du début, tu veux acheter quelque chose. Tu vas demander plusieurs devis à plusieurs fournisseurs. Tu vas ensuite sélectionner le devis sur certains critères. Ça ce sont tes critères de sélection de tes fournisseurs.
Ensuite, si tu estimes que ce fournisseur doit être évalué, tu vas définir des critères sur lesquels l’évaluer, ce qui va te pousser à continuer à travailler avec lui ou chercher ailleurs. Ces critères là ne sont pas forcément les mêmes que pour la sélection.
Exemple (caricatural mais c’est l’idée).
Je dois acheter des pelles pour un chantier, j’en ai besoin demain. J’appelle plusieurs fournisseurs et vu l’urgence je vais sélectionner en priorité celui qui sera en mesure de me les fournir de suite (donc quelque part mon critère de sélection c’est la disponibilité de son stock).
Mes pelles font partie de mes fournitures « critiques », sans ça, je ne peux plus travailler. Je décide donc d’évaluer mon fournisseur car pour moi le produit qu’il me fournit est indispensable à mon activité. L’évaluation pourra se faire sur la relation client, la durabilité des produits, un label « forêt équitable » pour le manche de mes pelles, bref ce qui me parait être en concordance avec mes objectifs d’entreprise.
Bonjour,
Pour la version 2015, le terme fournisseur a été remplacé par « prestataire externe », mais les exigences restent semblables:
« L’organisme doit déterminer et appliquer des critères pour l’évaluation, la sélection, la surveillance des performances et la réévaluation des prestataires externes »
Sélection : tu dois déterminer des critères sur lesquels tes prestataires seront sélectionnés (comment choisis tu tes prestataires au moment de la commande) : prix, délais, labels, localisation, … c’est à toi de voir avec les acheteurs quels sont leur critères de choix.
Evaluation : tu dois déterminer des critères sur lesquels tes prestataires seront évalués (comment juges-tu que ce sont des bons prestataires pour ton entreprise). Ces critères dépendent de ce que ton entreprise attend de ces prestataires : conformité de commande, relation client, prix, propositions, délais, rapidité, fiabilité, … à toi de voir ce qui est important.
Réévaluation : après les avoir évaluer une fois, tu vas les réévaluer. A toi de voir sur quelle fréquence, quelles modalités (ça peut être les mêmes critères que l’évaluation). Tout dépendra de l’évaluation des risques liés à ces prestataires.
Pour la surveillance des performances, nous avons un simple fichier de suivi de nos commandes auquel j’ai ajouté une colonne « Commentaires ». Ce la permet de noter si la commande s’est bien déroulée (« RAS ») où s’il y a eu un problème. Ce suivi permet l’évaluation de nos prestataires.
J’espère que ça pourra t’aider.
Bonjour,
Je ne suis pas certaine qu’ajuster tes processus sur un modèle type soit la bonne solution pour avoir un SMQ efficace.
Il doit exister d’autres méthodes mais j’ai tendance à procéder comme suit :
– Détermination des clients / parties intéressées (externe)
– Détermination de leurs exigences
– Détermination des « livrables » (qu’est-ce que mon entreprise leur fourni pour répondre à leurs attentes).
A partir des livrables, je détermine ensuite les processus qui sont en charge de leur délivrer (certains livrables sont alors regroupés en « famille » et deviennent les données de sortie d’un seul processus).
Une fois que j’ai mes processus de « réalisation » (c-a-d ceux qui fournissent les produits aux clients), je regarde quels sont leurs besoins / attentes en interne (formation, matériel, équipements, …) et je définis ensuite mes processus « supports » qui vont leur fournir les données d’entrée nécessaires à leur activité.
Ensuite je remonte encore d’un cran et je définis mes processus de « management ».
En procédant de manière, tes processus sont organisés en fonction de tes attentes clients / parties intéressées.
11 mai 2017 à 12 h 37 min en réponse à : Procédures exigées par la norme iso 9001 version 2015 #13843Je rejoins Henri et Savlynn sur leur analyse concernant les procédures et la version 2015.
De plus, quand je vois ça :
rahma rama a déclaré
Bonjour la version 2015 exige que 5 procedures à savoir la maitrise des documents/ maitrise des enregistrement/ audit interne/ actions correctives/ maitrise du produit non conforme. les actions preventives sont supprimé en 2015 car la norme 2015 est batti sur les opportunités et les risques . c’est a dire transformer les risques liés a chaque processus en opportunitésMaîtrise des documents et maîtrise des enregistrements : ces termes ont été remplacés par informations documentées (cf. 7.5.3) donc je suis curieuse de savoir de quel chapitre ton prof sort deux procédures obligatoires portant ces noms.
Actions correctives et maîtrise du produit non conforme : c’est désormais le même chapitre (cf. 10.2), je suis curieuse de savoir comment on peut en déduire deux procédures obligatoire en le lisant.
Actions préventives : elles sont supprimées en 2015 ? Non, elles sont effectivement liées à l’approche par risques parce qu’une action préventive est là pour se prémunir d’un risque, d’une non-conformité potentielle. Une opportunité ne répond pas à un risque, une opportunité donne lieu à une action d’amélioration. Un risque peut offrir une opportunité mais écrire qu’un risque est transformé en opportunité c’est faux. Je t’invite fortement à relire le chapitre 0.3.3 (et l’analyser par toi-même).
Etudiante en Master 1 signifie également que l’on est capable de prendre suffisamment de recul pour analyser ce que l’on nous dit. Personne n’est parole d’évangile, ni Henri, ni Savlynn, ni ton prof expert audit IRCA, ni moi. Une norme, ça se lit, ça se dissèque, ça s’analyse. Ensuite libre à toi de poser les questions que tu souhaites, de discuter avec d’autres personnes et de voir parmi les réponses proposées celles qui te semblent le plus en adéquation avec ce que tu as lu/compris.
Bonjour,
« 1. Est ce que je peux réaliser des audits internes dans mon entreprise? »
Tout dépend de ce que ton entreprise a prévu pour ses audits internes. Existe-t-il une procédure / document expliquant les modalités de l’audit interne ?
« 2. Est ce que c’est une exigence de la norme que tous les processus (dans leur périmètre entier) de notre SMQ doivent faire l’objet d’audits internes. »
De quelle norme parle-t-on ? ISO 9001 ? Si c’est le cas, le chapitre 9.2 répondra à ta question. Mais je me permets de t’en poser une autre, pour quelles raisons un processus ne serait pas audité ?
Bonjour,
Ça vaut ce que ça vaut mais les associations MASE publient régulièrement des chiffres et des études statistiques sur l’amélioration des « performances » SSE des entreprises masées. Ça pourrait éventuellement t’aider à illustrer ta partie A.
Anne44 a déclaré
Bonjour Delphine,Effectivement, nous allons donner la possibilité de rester anonyme dans la déclaration, et même de faire de la co-déclaration. Et cette communication envers le personnel va se faire oralement, en présence de la Direction; je cherche comment faire passer le message de façon simple et ludique de l’intérêt de cette déclaration pour l’amélioration continue de notre organisation. La culture qualité dans mon service n’est pas encore bien ancrée. Je voudrais faire un support court et simple et donc informer de la mise en place de la possibilité de rester anonyme.
je te remercie de ta réponse.
Le moyen de le plus efficace pour que ce type de déclaration fonctionne, pour moi, c’est le retour d’informations. Il faut communiquer au personnel les actions qui ont été mises en oeuvre suite à des déclarations pour qu’ils se rendent compte de l’intérêt.
Si tu as une déclaration de faite, penche-toi dessus et axe ta com’ sur les résultats.
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