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Pas d’inquiétudes Zaremma.
Simplement, lorsque vous posez une question, il est parfois bon de rappeler le contexte, voir, si c’est le cas : le référentiel concerné.
Sur le principe, que vous traitiez les opportunités d’amélioration ou de correction de manière unitaire ou par familles (regroupement), l’exigence de les enregistrer un par un (nature, cause…) demeure même si les causes feront l’objet, après regroupement, d’actions communes.
Aussi, le pareto issu de l’ensemble des évènement sera plus parlant. Notamment, il vous permettra de placer le curseur du 20/80 au bon endroit.
Bonjour Web222,
Personnellement, je vous préconise d’intervertir les points 1) et 2).
Bonsoir WEB222,
(1) : si RH et SI sont assurées par d’autres Pôles que le Pôle Gestion Retraite, oui, c’est tout à fait possible. Simplement, il faudra veiller à définir les modalités d’engagement réciproques sur ces prestations externalisées.
(2) : oui, tout à fait.
(3) : oui sur le principe, s’il y a bien imperméabilité des produits les uns par rapport aux autres. Est-ce bien le cas ?
(4) : oui. Ou alors, créer des processus de « créer les contrats produits », « encaisser les cotisations produits »… et progressivement, appliquer ces processus à de plus en plus de produits. Il s’agit d’une approche matricielle qui évitera de générer un nombre déraisonnable de processus.
Voilà, l’ensemble est pertinent, attention au risque cependant de création des processus sur l’approche du point 4.
… on ne parle pas du même référentiel…
Bonsoir QSERisk,
Selon moi, il n’y a pas de kit « ultime » ou de package à donner à un pilote. Bien que la conception même d’un processus puisse être une aide (des supports de description aux tableaux de bord, en passant par les plans d’actions et les outils d’identification des risques).
Les meilleurs atouts que vous pouvez leur apporter sont :
– concevoir les processus avec eux
– les épauler pour leur mise en œuvre et pour parer aux difficultés de déploiement et de pilotage
Le meilleur kit, c’est… vous…
23 juillet 2018 à 13 h 18 min en réponse à : La nouvelle édition de la norme ISO/IEC 17025 : 2017 #15773Bonjour Ericketraq,Comme déjà répondu dans un post précédent, et compte tenu du fait que les laboratoires que nous accompagnons ne sous-traitent pas, je vous proposais cela : prendre le détail des essais inclus au rapport, mettre un coefficient par types d’essais (d’essais basiques à critiques sur la technicité et non la valeur financière) et je définira une règle interne précisant le % minimum de ces essais devant être réalisés par le laboratoire objet de l’accréditation (genre… 70% ?).
Qu’en pensez-vous ?
23 juillet 2018 à 9 h 51 min en réponse à : Procédure de création d’une instruction de travail #15771Peut-être pour comprendre, partager et ancrer les principes de réalisation des instructions ?
Bigre Delphine,
Cela me semble tout à fait efficace !
A toutes fins utiles, peut-être serait il bon d’appliquer le principe de cotation de 1 à 10 pour le « point contrat », le « questionnement sur l’adéquation » afin de pouvoir voir l’état et les évolutions futures du niveau de satisfaction.
Mais sinon : vous vous apprêtez déjà là à avoir une excellent couverture de ce questionnement.
21 juillet 2018 à 9 h 51 min en réponse à : Procédure de création d’une instruction de travail #15768Bonjour QUALIDO,
S’il s’agit bien d’une procédure pour la « création des instructions de travail », elle peut être relativement simple.
Pas à pas, les principales questions à se poser ou activités peuvent être (dans l’ordre chronologique) :
– Identification du besoins de création (instruction planifiées pour être formalisées / demande d’un collaborateur / formalisation suite à un besoin de correction…)
– Confirmation du besoin par la Fonction Qualité (vérification du champ d’application / vérification de la non-redondance avec des dispositions déjà existantes / vérification de la conformité aux normes et instructions déjà existantes…)
– Définition des responsabilités de formalisation et de validation de l’instruction (qui la rédige / sur quel support / qui la validera…)
– Rédaction de l’instruction
– Validation de l’instruction (par le.s valideur.s)
– Mise à disposition de l’instruction (communication si nécessaire / retrait des versions précédentes s’il s’agit d’une mise à jour…)
Par exemple…
Les connaissances organisationnelles prennent un aspect différent selon plusieurs paramètres, dont les plus important sont :
– la diversité et la spécialisation des métiers,
– les évolutions techniques, technologiques et de connaissance des métiers,
– le nombre de personnes
Concernant les contrôles et les CND que vous réalisez, et compte tenu du petit nombre de votre structure, il me semble que l’essentiel des connaissances organisationnelles va porter sur le suivi de vos compétences respectives. Il ne me semble pas qu’il y ait beaucoup de sauts technologiques dans ce métier (à l’heure actuelle) mais il vous faut vous en assurer.
Disposez-vous, dans votre contexte, d’obligations de certification de type COFREND ?
Il y a donc de l’espoir
Concernant le 7.1.6 : combien êtes vous ? dans quelle activité ? quelle est l’ancienneté de votre entreprise ?
Au final, vous avez donc, Delphine, les critères importants à valider avec les clients lors de ces rencontres.
Le challenge consiste alors, probablement, à expliquer au responsables au contact des clients (de la meilleure manière possible) la manière d’obtenir les informations avec tact et objectivité.
Les analyses vous ayant permis d’identifier cette insuffisance de pro-activité ont porté sur quels paramètres / retour d’information ?
19 juillet 2018 à 14 h 53 min en réponse à : Responsabilités pilote de processus/pilote de sous-processus #15758Bienvenue dans ce joli monde des systèmes de management !
Bonjour Sébastien,
Sans en connaitre plus sur la destination et l’utilisation de ce document, personnellement, j’opterai pour EXCEL : le couteau Suisse des « supports à créer ».
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