Toutes mes réponses sur les forums
-
AuteurMessages
-
Bien qu’une méthode ne soit pas formellement attendue, elle fait partie souvent d’une facilité dans un système destiné à identifier les risques et « en faire quelque chose ».
Concernant votre risque « Apparition d’une nouvelle technologie plus performante que la machine actuel », l’évaluation de ce risque peut passer par une première étape d’identification, là, c’est fait. Vous l’avez ce risque.
L’évaluation peut surtout être le fait de choisir ce que vous entreprendrez (ou pas) afin de réduire ou de supprimer ce risque.
Des méthodes classiques type « Gravité / Fréquence / Maîtrise » marchent plutôt pas mal… des décisions de revues de portefeuille de risque avec « on garde / on garde pas » sont tout aussi admissibles si cela est justifié.
Je gage que nous en reparlerons très rapidement
Bonjour Kleine,
Dans l’ordre : pourriez-vous nous faire part du constat exactement ?
Ensuite, pour répondre à chacune de vos questions :
– Suis-je obligée de suivre (étalonner)… : l’exigence de la norme est d’assurer que les mesures permettant de vérifier la conformité du produit / de la prestation soient réalisées avec des équipements (de mesure) disposant de la précision nécessaire. Il vous appartient donc de vérifier quelles précisions sont requises et de vous assurer que les appareils de mesure disposent des classes suffisantes. Ainsi, cela peut ne pas concerner tous les équipements, tout comme vous pouvez déployer votre propre système interne permettant de supplanter certains étalonnages par des vérifications internes.
– Y-a t’il une norme d’étalonnage pour… : pour la très grande majorité des équipements de mesure mécanique oui. Gratuite : non.
– Externaliser la métrologie… : cela mérite au préalable une réflexion sur la part exacte de votre parc qui est à étalonner (ou à vérifier) d’une part, et sur les moyens que vous aurez en interne pour déployer vos propres vérifications. Attention : il est souvent illusoire de déployer ses propres process d’étalonnage à moins d’en avoir les moyens (matériels, salles conditionnées…)
Bonjour Amine,
La norme n’impose aucun contrôle à 100%, mais des contrôles respectant les fréquences et les modalités que vous définissez.
Libre à vous de définir ces paramètres et de les justifier.
30 avril 2019 à 19 h 08 min en réponse à : Quel cout pour un accompagnement à la certification Iso 9001 #17059Bonjour Roseg,
Je me permets de vous répondre même si d’aucuns se diront ainsi que le loup s’invite dans la bergerie.
Pour avoir été réquisitionné il y a quelques années par une autorité d’état dans une série d’expertises ayant trait aux accompagnements qualité, je puis vous dire que : pour un même périmètre d’accompagnement et un même champ de certification, le nombre de jours peuvent varier dans un facteur de 6 à 7 et le tarif dans un facteur de 5… ce métier n’est pas règlementé, voir : totalement déréglementé.
Et encore, les sirènes de « c’est pas cher et c’est standard » seront souvent signe de mauvaise qualité, tout comme les « c’est cher mais vous irez mieux après » le sont tout autant.
Personnellement, je puis vous conseiller deux choses :
– visionner notre série de 2 vidéos sur le choix d’un cabinet de conseil
– demander des offres de prix à plusieurs cabinets…
Cordialement,
Bonjour,
Cela dépend de votre contexte… Avez-vous lu le référentiel MASE ?
Bonjour
Que dit la norme en matière de gestion documentaire concernant les modifications des documents et leurs indices ?
>> rien, si ce n’est de maîtriser les modifications et de vous assurer de diffuser / mettre à disposition les versions pertinentes et approuvées de ces documents sans aucune ambiguïté.
A partir de combien de modifications doit-on monter en indices ?
>> à priori, à chaque mise à disposition d’une (ou plusieurs) modifications.
Quel sont les types de modifications qui génère une montée en indice ?
>> tout modification qui nécessite une rediffusion / remise à disposition d’un document.
Doit on utiliser l’alphabet ou les chiffres pour indicer un documents ?
>> vous pouvez utiliser ce qui vous semble le plus approprié pour identifier le versionnement des documents : chiffre, lettre, date, code, couleur… l’essentiel étant que vous vous assuriez de mettre à disposition les versions pertinentes (très souvent la dernière version revue et validée) et applicables des documents et qu’il n’y ai pas de risque d’erreur dans l’accès à ces documents par les utilisateurs.
Un mode opératoire machine ou instruction de travail qui doivent être présentent dans les ateliers sont-ils des IQ Instruction Qualité ?
>> il n’y a pas de termes consacrés ou de vocabulaire spécifique. C’est à vous de le définir, notamment, au travers de dispositions de gestion documentaires qualifiant la nature et la gestion de vos documents.
Bonjour Rose,
Il est question, sur cet aspect de la formation, d’une notion de quantité et de qualité : une quantité afin de maintenir ses compétences par de la formation continue, et une qualité afin d’assurer l’adéquation entre les objectifs d’accroissement et de maintien des compétences et les formations réalisées.
Aussi, si vous évaluez le plan de formation, vous pouvez évaluer :
– la quantité : par le nombre de formations planifiées par intervenant (dans le domaine de la biologie médicale), sorte de ratio moyen de formation continue à pondérer en jours plutôt qu’en action. Par, pourquoi pas, l’établissement d’un programme « progressif » de formation par niveau et l’avancement dans les niveaux des personnels concernés.
– la maîtrise : par le taux de réalisation des formations planifiées, à suivre régulièrement afin d’éviter de constater, en fin d’exercice, des retards.
– la qualité : par la mesure de performance des formations (résultats à chaud et à froid par action de formation et pour l’ensemble du processus de formation)
Vous pouvez ramener cela aux processus effectivement, mais… cela dépend des découpages de vos processus.
Avez-vous lu les préconisations du SH GTA 01 ?
Oups !
Mais vous avez raison Henri, je n’avais pas vu la notion de santé : préoccupé par un rendez-vous que j’avais (j’ai supprimé cette « pas bonne réponse »).
En revanche, fff92, maintenant que vous connaissez la chaine : vous verrez une autre palylist sur cette thématique un peu plus loin.
Cordialement,
Bonjour Youness,
Je vous réponds rapidement (en fin de journée) mais j’ai juste le temps de retirer les pièces jointes de votre post précédent, en vous priant d’accepter mes excuses. Cependant : les informations qui y figurent appartiennent à votre entreprise et il n’est pas « bon » de les laisser dans un forum publique tel que celui-ci (surtout l’organigramme nominatif).
Très cordialement,
Bonjour,
Oui oui… les propositions sont toujours pertinentes.
Vu de ma « fenêtre », je pense que le temps des questionnements doit à présent faire place à celui de l’action
Bonjour Youness,
Quel est votre contexte ?
(votre expérience réelle en management de la qualité, le métier et les process de l’entreprise, le nombre de sites et de personnes, l’objectif de votre direction en matière de SMQ, les délais éventuels…)
Bonjour Samir,
S’il s’agit bien de la norme ISO 9001, le plus efficace est de se conformer aux… attendus de la norme.
En effet, il n’y a pas d’exigence imposant que la revue d’offre soit faite avec toutes les structures. C’est un choix que vous pouvez faire, qui peut être judicieux… ou pas. Qui a peut être été judicieux un jour, dans un contexte, mais qui mérite d’être revu aujourd’hui… mais au final : la norme ne vous impose pas une manière de faire.
Savoir si cela est efficace ou pas, ou peut être plus efficace, dépend de nombreux facteurs : vos prestations, votre organisation, votre management, votre culture, l’implication et la compétence de vos personnels…
Mais deux choses sont essentielles à retenir :
– la revue d’offre (8.2.3 – revue des exigences relatives aux produits et services) n’a qu’une seule fonction : que l’entreprise (l’organisme) ait l’assurance d’être capable de réaliser ce pour quoi elle va s’engager (en envoyant une offre ou en répondant à un appel d’offre) et qu’elle a identifié l’ensemble des exigences du client et levé toute ambiguïté. Enfin : que toute impossibilité de répondre à l’une des exigences ait été portée à la connaissance du client. Aussi, si cela implique l’avis ou la validation de plusieurs paramètres ou services : qu’elle s’assure que cela ait été fait.
– lorsque l’on met une disposition en place (la revue d’offre par exemple), on la met en fonction des objectifs de maîtrise que l’on souhaite atteindre, puis, on défini les ressources, cas échéant, on arbitre selon les ressources disponibles la part de risques que l’on va accepter. Mais à l’inverse : ce n’est pas parce que cela va prendre du temps que l’on choisi de ne pas le faire. Dans ce dernier cas : le mieux est de ne rien faire et les offres partirons à temps (c’est juste incompatible avec la qualité des prestations et, accessoirement, avec l’obtention d’une certification si cela est également l’un de vos objectifs ).
Sauvegarder ces données peut effectivement être une solution.
Vous l’avez certainement compris : cela répondra aux exigences d’identification et de traçabilité à partir du moment ou vous pourrez associer ces éléments aux lots de linges pendant et après leur transit chez vous.
En outre : n’oubliez pas l’exigence d’identification, sans ambiguïté, de l’état de vos « lots » par rapport aux exigences de vos process et du contrôle de vos prestations.
Là, et seulement là, vous répondrez aux exigences du paragraphe 8.5.2.
Cette précision d’exigence dans l’HLS a plusieurs origines dont, notamment, cette de lier la stratégie d’entreprise au système de management. Trop souvent, aujourd’hui encore, des sociétés ont une stratégie (pas toutes du reste) ET une démarche de mise en place d’un système de management.
Cela conduit à concevoir un système de management qui n’a pas l’adhésion franche de la Direction et parfois pas le portage ou l’investissement des Direction et Responsabilités.
Ainsi, prouver que cette démarche est en phase avec la stratégie permet de lui accorder plus de légitimité d’une part, et permet d’intéresser la Direction à autre chose que simplement « une démarche » d’autre part.
Depuis bien longtemps, le terme « qualité » n’a plus cours dans les systèmes de management matures. Ils « sont » le systèmes de management, ils portent une stratégie d’entreprise dont l’un des volets contribue à la qualité. Mais ce n’est que l’une des facettes…
13 avril 2019 à 11 h 48 min en réponse à : Normes / référentiel liés au plans de contrôle / plans de surveillance #16940Bonjour,
Pourriez-vous nous en dire plus sur l’objectif concret de cette recherche s’il vous plait ? Sa finalité ?
-
AuteurMessages