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Bonjour,
Les documents ne peuvent être joins à vos messages.
En revanche, nous avons (pour certain.e.s) des noms vous permettant de nous retrouver rapidement.
Henri,
Auriez-vous alors l’amabilité de proposer la même chose sur les thématiques qualité abordées sur le site Previnfo (que vous administrez) et qui méritent d’être répondues sur Qualiblog afin d’apporter des réponses plus “éclairées” ici ?
Bonjour,
Oui, vous avez raison, la problématique est essentielle. Cette problématique peut même être problématique à la base si elle exprime la problématique de votre responsable et non celle que votre entreprise vit.
Ainsi, vous pouvez avoir deux problématiques distinctes qui n’ont pas de lien l’une et l’autre :
> Comment réduire les manutentions manuelles de charges avec un un outil d’assistance mécanique ?
> Comment faire adhérer les opérateurs à l’utilisation d’un outil d’assistance mécanique ?
Je pense que votre responsable vit la 2ème problématique, et vouloir la traiter en exprimant la première (par manque de courage peut-être) ne servira pas à grand chose.
Qu’en pensez-vous ?
Bonjour,
Régulièrement, nous avons ici des demandes de “don” de documents. Lorsque ce sont des documents que chacun.e créé : cet échange est alors laissé à la discrétion des concept.eurs.rices.
Lorsque ces documents sont sous copyright (et payant) nous alertons les membres du forum sur le fait que… hé bien non… l’échange de documents “copyrigthés” pose deux problèmes :
> cela n’est pas légal
> cela nuit aux raisons fondamentales rendant payants ces documents : mise à disposition d’expertises pour assurer la qualité des documents, financement des ressources de normalisation…
Un peu comme si un charpentier demandait un don d’outils (vieux marteaux, vielles scies, clous rouillés et tordus…) pour lancer son entreprise : cela témoignerait d’une vision de sa profession et de sa manière de l’envisager un peu perturbante.
Posons quelques bases avant une proposition de réponse :
> les opportunités peuvent être des actions face à un risque, permettant l’opportunité qu’ils ne se produisent pas, alors, nous allons mêler risque et opportunité sans chercher à compliquer le débat
> les risques s’apprécient selon un contexte qui n’est pas universel. Acheter un composant à 100k€ pour le stock de pièce de rechange d’une petite entreprise avec des finances serrées peut lui faire courir un risque financier, acheter ce même composant pour une entreprise ou cela ne pèse pas grand chose au regard des finances et/ou risques encourus de ne pas en disposer est une pratique tout à fait nécessaire
> les risques méritent une pondération (ce n’est pas une obligation, mais c’est bien plus simple) pour faciliter les décisions d’action ou non.
Donc,
> le risque pourrait être : Arrêt ou ralentissement de notre prestation par défaillance du composant X
> les causes pourraient être :
– stock absent ou insuffisant pour palier au besoin de remplacement
– absence de solution de contournement pour absorber le manque de ce composant
– processus / choix techniques inappropriés avec impact économiques déraisonnables pour assurer la prestation
-…
Et là, la cotation prendrait tout son sens et vous permettrait de savoir, dans votre contexte, ce qui serait judicieux de faire.
En fait, ces questions ont pour but de pouvoir répondre de manière précise à votre question.
Mais dans ce cas, si vous voulez une réponse simple mais sans faire appel à de la magie divinatoire : faisons une petite grille estimative vite fait qui tient compte de 3 facteurs (il y en a au moins 2 autres à considérer, mais on va faire simplement… et imaginer que vous êtes 100 personnes, sur 1 site, et que vous n’avez pas de difficulté économique).
Ces facteurs sont [1] votre expérience des systèmes de management / [2] l’implication et l’intérêt de l’ensemble des acteurs / [3] le niveau de maîtrise “qualité” actuel de vos produits / prestations, le temps sera :
[1] Mature / [2] Impliqués / [3] Bon -> 6 mois
[1] Mature / [2] impliqués / [3] Mauvais -> 9 à 12 mois
[1] Mature / [2] Peu impliqués / [3] Bon -> 9 à 12 mois
[1] Mature / [2] Peu impliqués / [3] Pas bon -> 18 à 24 mois
[1] Pas mature / [2] Impliqués / [3] Bon -> 12 à 18 mois
[1] Pas mature / [2] impliqués / [3] Mauvais -> 18 à 24 mois
[1] Pas mature / [2] Peu impliqués / [3] Bon -> 24 mois à jamais
[1] Pas mature / [2] Peu impliqués / [3] Pas bon -> jamais
Bonjour,
Pour ma part : je ne pense pas qu’il faille tirer une généralité de votre expérience…
Ce n’est pas parce que, dans votre entreprise, la culture sécurité n’est pas partagée que la problématique est forcément globale dans le sens qu’elle ne serait pas forcément un point fondamental. Heureusement…
Ainsi, le sujet serait peut-être à aborder sous un angle de levier : “Comment intégrer la perception et l’évaluation de la sensibilisation à la sécurité dans le SMSST d’une entreprise ?”, ou, “Les leviers de l’intégration…”.
Bonjour,
Quelles sont les activités de votre entreprise ?
Que connaissez-vous de la norme ISO 9001 ?
Quelles sont les connaissances de votre responsable dans ce même domaine ?
Quel est le niveau de qualité produit / prestation aujourd’hui ?
Pourquoi l’entreprise souhaite-t’elle mettre en place l’ISO 9001 ?
… s’il vous plait…
Bonsoir,
Les documents de type “records” nécessitent également un suivi de version et un suivi de contenu. Un suivi de version pour assurer l’identification et la différenciation des mises à jour (sans forcément conserver le contenu des mises à jour) et un suivi de contenu pour donner un repère temporel à leur contenu.
Mais souvent, la règle générale est assez simple :
> identification des besoins de création / mise à jour d’un document
> validation (ou non) du besoin
> création / mise à jour du document (indice initial / changement d’indice du nouveau document : procédure, instruction, record…)
> validation de la création et mise à disposition aux utilisat.eurs.rices au sein d’un mécanisme permettant d’assurer la diffusion / utilisation des mises à jour
Le plus simple étant, effectivement, de mettre un indice de mise à jour évident (A, B, C… ou date de révision) couplé à un mécanisme d’indexage des valeurs à jour (intranet, liste, diffusion…). La conservation et le commentaire des modifications dans le document même (cartouche et formalisation des évolutions successives) peut-être synthétisé ailleurs et n’a que rarement de valeur dans le document même sauf à l’alourdir.
Est-ce que vous visez la conformité de votre QMS à un référentiel en particulier ?
Bonsoir,
Ce que vous mettez en œuvre semble tout à fait suffisant, mais comme une grande partie des dispositions déployées dans un système de management : le nombre et la diversité ont une moindre importance.
Ce qui va réellement compter : c’est la manière dont vous utiliserez ces dispositions et dont vous les ferez raisonner et apprécier par les personnes avec lesquelles vous les déploierez.
Ainsi : PESTEL peut permettre d’identifier les enjeux, mais ce n’est qu’un outil. D’autres le font très bien, sans outils cela est possible, avec PESTEL il est également possible de ne jamais dépasser un simple check technique sans aucune valeur.
SWOT n’est également qu’un outil, une approche. Elle peut permettre de travailler sur les enjeux, les opportunités, les risques, à quelque échelle que ce soit. Bien employé : le SWOT peut permettre plein de choses et vu comme un simple outil “magique”, il est totalement inutile.
Donc : ce en sont pas les outils ou le nombre d’outils qui feront la différence, mais la manière de les utiliser à bon escient et de manière intelligente.
Il existe de nombreux autres outils ou approches, mais il vaut mieux en avoir “peu” et utiles, que “beaucoup” et stériles.
Je comprends.
Mais, pour ma part, je constate quasi-immanquablement que les systèmes multipliant ou spécifiant les critères complexifient et rendent moins sexy l’approche globale.
En d’autres termes, les critères de cotation doivent être les plus simples possibles et les plus génériques.
Mais c’est l’appel à ces critères (donc, les risques identifiés) qui méritent, eux, d’être spécifiques selon les processus définis.
Par exemple :
> vous pouvez avoir une échelle à 4 critères : probabilité x gravité sur les appros clients x gravité sur le rendement x maîtrise (ainsi, elle demeure limitée, mais est spécifique dans votre contexte.
> et détailler (dans un principe AMDEC toujours) vos modes de défaillance en reprenant ceux qui, eux, sont spécifiques (voir conjoncturels) à vos process :
/ Défaillance : blocage de l’outil informatique (en reprenant l’exemple que vous citez)
/ Effet potentiel : arrêt ou ralentissement de la chaine de production – arrêt ou ralentissement du process logistique, expédition – perte ou manque de fiabilité de la traçabilité – …
/ Causes potentielles : panne ou dysfonctionnement logiciel – panne ou dysfonctionnement réseau – piratage, “raçonnage” externe ou interne – montée de version insuffisamment maîtrisée – non renouvellement de licences, clefs – régression de fonctions dans la mise à jour firware…
Ainsi, pour rendre plus “sexy” le principe d’analyse de risques, vous pourriez non pas modifier votre principe de cotation (même le rendre plus simple) mais préremplir les familles de défaillance, d’effet (ces dernières sont plutôt standard pour toutes les défaillances) et surtout de causes potentielles.
Cela démontrera, pour les personnes participant à cet exercice :
> qu’il y a bien des risques à identifier, ce n’est pas une légende
> qu’ils sont certainement déjà vécu ou pensé à ces risques
> que, dans la plupart des cas : ils savent comment s’en prémunir et cela fait partie de leur compétence
Presque…
Si vous employez les termes “développement”, “données d’entrées pour le développement”, “études à mener”… vous êtes pile dans le 8.3 de la conception.
En revanche, si vous nommez (et vous en tenez à ces activités) vos activités comme étant :
– projection et fabrication des moules
– fabrication des outillages
– suivi de l’industrialisation
– validation de la première pièce
– …
Vous continuez à pouvoir exclure le 8.3
Bonsoir,
Cette licence et son programme semblent tout à fait sérieux et le contenu plutôt complet.
Pour avoir déjà croisé une personne en formation au sein d’une entreprise : cette formation est visiblement bien faite.
Maintenant… comme toute formation… il y a la formation même et ce que vous en ferez. La curiosité qui vous fera dépasser les informations données pour aller en chercher d’autre, et votre propre caractère qui vous fera aller vers les “autres” pour leur permettre de changer. Cela n’appartient qu’à vous
