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Hé bien, à priori, il n’y a pas de souci particulier sur le principe.
Ce sera à un auditeur tierce (lors d’un audit de certification ou d’accréditation) qu’il appartiendra de vérifier l’objectivité de la démarche…
Finalement, ce n’était pas si pressé
merci de me lire également ndirrette…
Bonjour,
Avant la procédure d’attribution des EPI, il est une analyse importante à faire quant à la définition des risques à un poste, dans un environnement, et l’identification des EPI nécessaires. Cela n’est pas, en premier lieu, une question d’attribution, mais de définition.
Cela étant fait, une procédure d’attribution est généralement simple : elle intègre, avant la prise de fonction, l’attribution des EPI correspondants au poste occupé à la personne qui prendra sa fonction, la vérification de l’adaptation des EPI à cette personne (des ajustements peuvent être nécessaires en fonction des dispositions spécifiques de cette dernière : types de semelles, corrections de vues…) et l’enregistrement des EPI remis à toutes fins de suivi (contrôles, remplacements…).
S’il s’agit d’audit destinés à sa prise de connaissance et à l’élaboration de sa stratégie, il n’y a rien à redire.
En revanche, si ces audits sont invoqués en tant que réponse aux exigences de réalisation des audits (9.2 pour l’ISO 9001:2015 et 8.8 pour l’ISO 17025:2017 pour les laboratoires en option A) peut effectivement se poser la question de l’impartialité. A noter que l’exigence d’impartialité n’est présente que dans l’ISO 9001 (9.2.2.c).
Charge à l’auditeur de démontrer que, dans ses pratiques, il est objectif et impartial. Cela peut se faire…
Par expérience, il est toujours préférable d’éviter l’audit d’un domaine par des personnes y étant impliquées. Ce, pour d’évidentes raisons d’objectivités. Cependant, il y a d’excellentes pratiques démontrée par des responsables qualité capables de faire la distinction entre l’audit et le reste de leur fonction, et, parfois, des audits désastreux menés par des auditeurs internes (qu’ils soient dans la société ou pas).
Le résultat compte en premier lieu, ainsi que la capacité à évaluer un système et à en tirer des éléments de correction ou d’amélioration.
29 juin 2018 à 9 h 35 min en réponse à : paragraphe 8.3 conception et développement de produits et services #15597Exactement
Bonjour Hello,
Que dire… sans contexte et sans échanges sur sa stratégie, à priori, il n’y a rien à juger…
27 juin 2018 à 23 h 41 min en réponse à : Liste exigences ISO 9001v2015 nécessitant de se documenter #15591Bonjour,
Pour vous aider : vous pouvez vous référer à la liste exhaustive qui a été citée hier dans le poste « organisation des documents » ouvert par Zaremma.
26 juin 2018 à 18 h 32 min en réponse à : ISO 9001 v 2015 Chp 8.1 Planification et maîtrise opérationnelles #15587Alors, pour compléter ce qui a déjà été proposé précédemment, vous pouvez/pourriez apporter la preuve de la conformité de la prestation par :
– la mesure du respect des cahiers des charges / prestations contractualisées (contrat et/ou commande) de manière ponctuelle ou « cadre »
– dans ces mesures de respect des prestations : le respect des délais d’acheminement, des modalités, l’intégrité des produits convoyés, le respect des coûts annoncés, le nombre de litiges en douanes, le respect des règlementations internationales…
Bonjour,
Vous avez déjà là les 2 exigences qui représentent 90% des « sorties » de champ d’application dans le domaine des services.
Éventuellement, vous pouvez ajouter (selon votre contexte) le 8.5.3 « Propriété des clients ou des prestataires externes ».
Bonjour Slim,
En matière de d’identification et de description des processus : tout est possible selon le contexte (on trouve effectivement les processus QSE, lorsqu’ils existent, autant en management qu’en support et ce, dans les cartographies qui précisent ces familles « management » et « support ».
Je vous invite à consulter la palylist de vidéos que nous avons mise à disposition sur notre chaine et qui présente, entre autre, de nombreux exemples d’identification de processus et de cartographie (en rappelant ici qu’une cartographie n’est pas une exigence, mais c’est une convention de représentation « pratique » et plutôt bien déployée dans la majorité des SMQ).
Concernant la documentation de l’exigence 4.3, ce que vous avez formulé « délégation des intérimaires dans les entreprises utilisatrices » semble tout à fait suffisant. Il faudra simplement indiquer, sur le support que vous avez choisi (le manuel qualité si vous conservez ce support, un document spécifique…) que « les dispositions de votre système de management sont applicables à la prestation de délégation… ».
Concernant les informations à documenter, tel que nous l’avions présenté lors d’un récent post, il y en a « au minimum » 27 et ce sont les suivantes : Domaine d’application (4.3) / Informations nécessaires au fonctionnement des processus (4.4.2) / Politique qualité (5.2.2) / Objectifs qualité (6.2.1) / Adéquation des ressources pour la surveillance et la mesure (7.1.5.1) / Référence pour l’étalonnage (7.1.5.2) / Preuve des compétences (7.2) / Informations documentées d’origine externe (7.5.3.2) / Preuves de conformité (7.5.3.2) / Réalisation conforme des processus et conformité des produits et services (8.1) / Résultat de la revue des exigences relatives aux produits et services (8.2.3.2) / Satisfaction aux exigences de la conception et du développement (8.3.2) / Eléments d’entrée de la conception (8.3.3) / Informations relatives aux activités de conception et développement (8.3.4) / Eléments de sortie de la conception (8.3.5) / Modification de la conception et résultats de revues (8.3.6) / Evaluation des prestataires externes (8.4.1) / Caractéristiques des produits et résultats à obtenir (8.5.1) / Informations nécessaires à la traçabilité (8.5.2) / Propriété d’un client perdue ou endommagée (8.5.3) / Résultats de la revue des modifications (8.5.6) / Libération des produits et services (8.6) / Description des non-conformités (8.7.2) / Résultats de la surveillance, mesure, analyse et amélioration (9.1.1) / Preuve de la mise en œuvre du programme d’audit (9.2.2) / Preuve des éléments de sorties de la revue de direction (9.3.3) / Nature des non-conformités et actions correctives (10.2.2)
Bon courage à vous
Bonjour Magalie,
Je comprends votre empressement, simplement : il s’agit d’un forum de partage d’expériences… il n’y a pas de permanences 24h/24h, mais nous allons essayer de faire au mieux et au plus vite.
En revanche, sans précision de votre contexte, il va être difficile d’être complet dans nos réponses. Aussi :
– dans quel domaine aéronautique œuvrez-vous et pour quelles prestations ?
– quels sont les natures de produits / prestations que vous sous-traitez ou approvisionnez à l’extérieur ?
– si vous deviez déployer une grille ou un support d’évaluation : quelle latitude avez-vous pour la mettre en œuvre dans la semaine à venir ? Comptez-vous / pouvez-vous vous rendre auprès de vos fournisseurs stratégiques ?
– quel contexte vous à conduit à vous positionner sur cette exigence… maintenant ?
(afin de gagner un peu de temps : nous avons une série de vidéos sur la maîtrise des prestations externalisées sur notre chaine vidéo YouTube si vous avez 15mn devant vous…)
Au fait… s’agit-il bien de l’EN 9100 ?
25 juin 2018 à 21 h 41 min en réponse à : ISO 9001 v 2015 Chp 8.1 Planification et maîtrise opérationnelles #15579Bonjour Elamin4,
Dans quel domaine d’activité s’il vous plait ?
Comme nous aimons à le répéter : si vous souhaitez que nous apportions des réponses précises ou qui correspondent à vos recherches, il est important que vous nous donniez le contexte le plus précis possible dans lequel s’exprime vos questions. Parce qu’il existe, en matière de qualité, des centaines (sinon des milliers) de manières de pouvoir apporter une réponse à une question ou une exigence…
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