Toutes mes réponses sur les forums
-
Messages
-
Cela semble parfait !
Éventuellement : un report des références des pièces qui semblaient spécifiques dans la première procédure ?
Ha oui, oups… merci SHAWAR !
Alors : je n’ai rien a ajouter sur ce que vous avez déjà commenté de manière très précise
Bonjour GUIRATI,
Sur le principe : il n’y a aucun lien direct entre ces deux concepts.
Simplement : la politique qualité permet d’établir des objectifs qualité. L’atteinte des objectifs qualité peut être mesurée par le déploiement d’indicateurs adéquats. Ces objectifs peuvent être SMART (Simples, mesurables…).
Dites donc, vous avez le chic pour vous installer en face de montagnes
!Mais rien d’impossible.
Si vous partez d’une base MASE et que vous avez fait un premier état des lieux : pourquoi ne pas en profiter (si ce n’est déjà fait) pour établir une première cotation de chaque thème ? Ainsi, il sera plus aisé, pour vous, d’identifier les priorités (notes “pas bonnes” associées au temps et à la difficulté que vous appréciez de les rendre “bonnes”) et de confronter ces priorités avec ce que ce cabinet vous conseillera ? Voir de faire de ce support le document de revue commune lors de vos rencontres ?
Ce ne sera pas du temps perdu et vous permettra d’intégrer encore plus les thèmes du MASE et d’apprendre à jongler avec.
Bon… quand au fait que la chose n’est que commerciale, cela vous permet d’identifier quelques risques à venir et donc, de composer au mieux avec. Parmi ces risques, vous savez d’emblée :
– qu’il faudra vous orienter plutôt sur des actions d’accompagnement, de communication, de mobilisation, plutôt que sur des actions liées à des investissements,
– qu’il vous faut dès à présent commencer à assoir votre légitimité aux yeux de tous sans compter sur la direction (ou… pas beaucoup)
C’est une bonne chose de le savoir avant, plutôt que de le découvrir… après !
Bonsoir Farah,
Éventuellement : pourriez vous nous décrire l’écart en premier lieu ?
Voir le recopier ici ?
Bonsoir Kaboka,
C’est au delà d’un certain nombre de personnes impliquées dans un système de management que les notions de procédures, instructions et modes opératoires ont réellement un sens différenciant “utile”. Si vous n’avez pas pléthore de documents, que ceux-ci soient des procédures ou des modes opératoires importe peu.
L’essentiel est leur utilité.
En cela : la procédure que vous présentez n’a rien à envier à bien d’autres, ce document semble clair et même compréhensible par un néophyte.
Les améliorations qui pourraient, pourquoi pas, être apportées sont :
– intégrer l’indice dans la référence, du type PR-003-A et hop : une ligne gagnée
– mettre les numéros de page / total des pages en bas de page : ré-allègement du cartouche
– si vous avez le moyen de suivre cela autrement : zigouillage des éternels “rédacteurs” et “approbateurs”, signes des temps anciens
– mise en couleur des références des éléments ?
– éventuellement, un p’tit quelque chose sur les EPI ? du style (avant dernière photo) le port des gants histoire de prévenir les risques de coupures ?
Mais sans tout cela : votre procédure semble très bien se tenir.
Bonjour GUIRATI,
Globalement, il y a deux manière de considérer cette exigences d’établissement d’une politique qualité :
– la voir comme un exercice imposé et une exigence de plus
– s’en saisir comme l’un des outils de motivation et d’engagement dans une démarche, dans une manière de mettre la qualité en avant
Dans le premier cas, 80% des politiques que vous verrez en “libre service” répondront aux habituels : “nous avons à coeur de placer la qualité au centre de nos préoccupations, dans nos pratiques quotidiennes, afin d’assurer de pleinement satisfaire nos clients et l’ensemble des parties intéressées pour notre plus grand bien à tous et dans le strict respect de la règlementation”. Bravo, bien joué, cela sert… à strictement rien…
Dans le second cas, vous pouvez considérer que la politique qualité est, à l’instant “T” de sa rédaction et de sa publication, une explication du pourquoi, du “vers quoi”, du “quand” et peut-être du “comment” votre organisme à décidé de déployer une démarche qualité.
A la question (et aux réponses) du “pourquoi”, vous pourrez faire commencer votre politique qualité sur les motivations de cette démarche (vision tournée vers l’avenir, niveau d’excellence parmi la concurrence, imposition d’une économie ou l’on ne peut rester spectateur…). A la question du “vers quoi”, vous y ajouterez les cibles et objectifs (qualité, cela tombe bien) que vous visez. Ces derniers pouvant être conjoncturels et évoluer d’une période à une autre. Au réponses du “quand”, vous personnaliserez encore plus cette politique qui pourra être inscrite dans le temps ou faire référence à des évènements à venir.
C’est donc à partir de votre contexte et de ces questions que vous pourrez établir une politique qualité qui vous corresponde.
Voici trois exemples qui peuvent vous montrer le principe de personnalisation :
[UN CABINET DE CONSEIL]
Notre engagement a pour vocation de dépasser la qualité tout comme nous avons à cœur de le faire découvrir à nos clients. Ainsi, notre système de management est conçu, et destiné à :
POUR NOS CLIENTS :
– Nous engager sur des résultats tout en respectant les engagements contractuels clairs et sans ambiguïté sur les méthodes, les délais et les coûts,
– Transmettre nos compétences, à chaque fois que cela nous est demandé, dans l’objectif d’une totale autonomie après réalisation de la prestation,
– Respecter une déontologie scrupuleuse dans l’intérêt du Client et fortement engageante pour chaque Consultante et Consultant de THAUMASIA.
POUR THAUMASIA :
– Définir, partager et piloter nos objectifs de croissance et de performance
– Améliorer nos prestations et nos compétences en nous dotant de moyens assurant de nous remettre en cause en permanence
Sobre, rapide, centré sur des objectifs clairs. Par exemple, la notion de déontologie est clairement exprimée (plus loin dans le support de présentation de la politique) et mesurée pour chaque intervenant tous les 3 mois lors de coaching. Cela, afin d’induire une réelle remise en cause au-delà des mots.
[UN DELEGATAIRE DE SERVICE]
UNE VISION : être un acteur majeur leader de la gestion et l’animation d’######
###### se donne l’ambition et les moyens de représenter un label de qualité de service reconnu par une démarche qualité & environnement sur l’ensemble de ses équipements présents et à venir.
… DES ENGAGEMENTS
Nous nous engageons en ###### sur cinq objectifs essentiels :
La qualité de service : notre professionnalisme et notre rigueur seront reconnus par une certification ISO 9001 : 2015, avec des processus conçus pour satisfaire nos clients et nos usagers avant tout.
La créativité et l’innovation : nous engageons de profondes réflexions au sein de nos métiers afin de proposer de nouveaux services, de nouvelles idées mettant en valeur notre expertise et nos équipements.
L’éco-responsabilité : convaincus de notre responsabilité en la matière et répondant aux attentes du public et des délégants : nous engageons une certification ISO 14001 : 2015 sur toutes nos prestations.
La volonté d’animation ###### : par une politique de contenu sérieuse, à l’échelle ###### : nous apportons à nos délégants une offre dépassant largement le simple cadre ######.
Le respect des engagements et des hommes : notre Groupe bénéficie d’une image de marque et d’un sérieux portés par ses hommes et ses femmes : nous investissons dans le respect et la reconnaissance que nous leur devons.
Les ##### correspondent à des informations qui, même si les politiques sont souvent des documents accessibles au plus grand nombre, n’ont pas leur place sur ce forum.
[UN PRESTATAIRE DE “SERVICE”]
###### est l’agrégation de nombreux savoir-faire dans ######. En tant que ######, nous nous devons d’apporter à nos partenaires la meilleure offre et qualité de services possible. Afin de faire reconnaître notre savoir-faire et la valeur de nos prestations, nous avons décidé de déployer un système de management qui suit les préconisations de l’ISO 9001 version 2015.
Cette approche, complémentaire à celle actuellement en place, va nous permettre de déployer toutes les dispositions nécessaires afin de s’assurer que ###### répond de manière factuelle et mesurée aux objectifs que nous nous sommes fixés, à savoir :
SATISFACTION DE NOS PARTENAIRES
Assurer le suivi personnalisé de chacun de nos partenaires : ###### afin de satisfaire l’ensemble de leurs attentes
ANTICIPER LES ######
Aller au-delà des ###### afin d’assurer une transparence vis-à-vis ###### et une parfaite conformité aux exigences règlementaires
QUALITÉ DE NOTRE PRESTATION
Conforter notre position d’expert dans le domaine ###### par notre implication dans les concertations et notre participation active dans les différents groupes de travail.
Comme les deux précédentes, la politique est l’endroit ou les objectifs peuvent être posés.
Mettons-nous d’accord : c’est une approche possible.
Je la trouve, par expérience d’un peu plus d’une centaine d’entreprises et de contextes accompagnés dans ces dernières année : assez maladroite Henri. Mais bon… nous n’avons pas la même expérience et nous en avons déjà largement assez débattu ici.
Je suis d’accord, en revanche, sur un point : répondons aux questions posées.
Lilya, pour ma part, je vous offrirai ma meilleure réponse en comprenant votre contexte
Répondre sans tenir compte du contexte me semble bien plus préjudiciable, maladroit et risque de faire avancer un Schmilblick d’une manière inadaptée.
Si je tiens, et tiendrais encore, à préciser qu’il est aussi illusoire que maladroit de penser qu’il existe des réponses types sans tenir compte du contexte c’est tout simplement parce qu’il s’agit là d’une réalité.
Aussi, c’est la raison pour laquelle j’ai posé à Lilya des questions afin d’identifier les meilleures réponses à apporter.
Personnellement, je préfère orienter sur ce qui est à faire, plutôt sur ce qu’il ne faut pas faire, et le faire en fonction d’un contexte.
Par exemple : non, ce n’est pas forcément à la direction de l’entreprise de faire cela. Cela dépend d’un contexte. Un petite société de 10 personnes se reposera peut-être sur la Direction, une organisation de 40 personnes fera peut-être appel à sa Fonction Qualité, au-delà d’une 100 aine de personnes, les pilotes ou directions intermédiaires seront certainement en charge de cela, et, au-delà de 200 personnes, on espère que la direction aura d’autres choses à faire que d’animer ce mécanisme (elle pourra y participer ponctuellement). Voilà ce que je nomme un contexte (en tout cas, ici, un contexte posé sur les effectifs dans le meilleur niveau à qui attribuer la gestion des risques).
Chacun ses approches..
C’est vraiment une affaire de contexte… elle peut s’entendre dans certaines organisations, ou pas. En tout cas, aucun référentiel n’y oblige…
Bonjour Lylia,
Faisons original : cela dépend totalement de votre contexte, de la nature de votre activité, de la construction de votre système de management, des acteurs et de leur maturité, de votre animation du système de management et de l’implication du personnel.
Maintenant que cela est dit, pourriez-vous nous éclairer sur : quelle est votre activité ? combien de sites / personnes ? combien de niveau hiérarchiques ? combien de processus ?
Et nous pourrons trouver ensemble les “bons” métriques.
