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Bonjour,
Dans votre situation, je me poserai en premier lieu la question de savoir comment un intervenant (quelle qu’en soit la nature, quelle qu’en soit la mission, quel qu’en soit le niveau de contractualisation ou pas) peut accéder à votre chantier sans que n’aient été prévues les mesures de sécurité nécessaires ?
Sur le principe : le sous-traitant ne vous a pas informé. Sur le principe toujours, c’est à vous de vous assurer que les principes de prévention ont été mis en oeuvre et, en cas de défaillance ou d’absence de ces principes : votre responsabilité pourrait être mise en cause (dans le pire des cas si un accident devait être grave, dans d’autres cas si le salarié en question « remontait d’un cran » en étant en bisbille avec son entreprise et en s’adressant à une quelconque autorité qui remontrait de fil en aiguille sur cette responsabilité de prévention).
Hello !
Pour moi, la réponse est : oui, mais…
Pour l’avoir déjà déployé dans plusieurs systèmes de management, généralement multi-certifiés de type 9001 / 14001 / MASE.
Cela nécessite un « bon vieux » excel et un système de configuration automatique.
L’avantage c’est que cela évite de multiplier les supports et permet de travailler avec des responsables ou porteurs d’actions de manière synthétique par rapport à des portefeuille d’action. L’inconvénient, c’est que cela demande une bonne dose d’abstraction et d’automatisation à la conception initiale de la « chose » pour rendre cela lisible et logique, pour ne pas en faire une usine à gaz.
Personnellement, je ne conseille pas cette approche à une organisation qui n’est pas encore assez mature ou qui n’a pas les moyens de gagner rapidement en maturité (qui conçoit un système de management optimisé tout en accompagnant la montée et compétence et en connaissance de ses intervenant.e.s).
Bonjour,
Nous sommes bien d’accord : la norme n’exige ni ne cite aucune « fiche d’objectifs qualité ».
De quoi avez vous besoin dans le cadre de votre démarche exactement ?
Mais… « qui » est la Direction dans votre organisation ?
Vous ? Ou « d’autres » personnes ?
Dans ce dernier cas : il vous faut déjà vous adresser à ces personnes pour connaître leur stratégie (s’ils en ont une… il en ont déjà un « petit bout » dans la mesure ou ils envisagent de déployer un modèle ISO).
Bonsoir,
Sans la nommer, pourriez-vous nous en dire plus sur le contexte de votre entreprise ?
Nombre de personnes, de sites, évolutions des résultats, mesures de conformité existantes et résultats, composition de la cellule qualité, norme et obligations déjà en place, implication ou volonté du management sur les premiers niveaux…
Bonsoir,
De plusieurs manières…
(1) toutes les actions ne sont pas forcément assortie d’un indicateur, fort heureusement… mais lorsqu’il y a un indicateur, c’est assez facile.
(2) les actions sont toujours menées « dans un but », « avec un objectif », pour « déployer quelque chose ». Par exemple, si votre analyse de risque fait état du besoin en action de déployer et d’enregistrer un contrôle : vous serez à même de vérifier que ce contrôle est effectivement déployé (ou pas) enregistré (ou pas) et vous pourrez conclure, dans le temps, à l’efficacité de la chose.
Plus d’informations et des exemples ici : http://www.youtube.com/watch?v=OOtX0V50dvk&list=PLzI6uqudyS8OkftVXVI-EWzduF6K6Wn3o
(3) d’une manière globale : vous pouvez mesurer la criticité de votre portefeuille de risques avant et après afin de mesurer l’efficacité de votre démarche.
Bonjour,
Un autre éclairage également, plus… « technique » même si nous nous accordons certainement toutes et tous sur le fait qu’il est recherché un résultat plus que des moyens.
La norme demande simplement d’établir et de documenter une politique qualité (5.2).
Elle demande que cette dernière soit cohérente avec la stratégie, mais cela n’impose pas de formaliser cette dernière (une petite société peut tout à fait suivre une stratégie sans la formaliser et être capable de la démontrer, et un grand groupe n’a pas attendu une quelconque démarche de système de management pour établir, documenter, communiquer et suivre sa stratégie).
Bonjour et merci de votre réponse.
Je me suis permis, exceptionnellement, de retirer le nom du cabinet auquel vous avez fait référence parce que… c’est celui que je craignais mais cela explique le fait que cette première démarche ait été un fiasco.
N’hésitez pas à poser toutes les questions dont vous auriez besoin ici et à soumettre tout document (en ayant pris le soin de retirer ce qui permettrait d’identifier votre entreprise).
Très cordialement,
Quelques éclairages complémentaires :
– Votre cartographie est tout à fait en phase avec une organisation en processus. Vous pourriez éventuellement faire l’économie de B2…
– « Normalement » vos processus disposent d’une description complémentaire (quelle qu’en soit la forme) et les détails et contenus s’y retrouveront. Ainsi, limitez-vous déjà aux titres des processus, c’est un bon début.
– Concernant les parties intéressées, il peut être intéressant de les faire figurer dans la cartographie, mais les clients : c’est déjà un bon début. D’autant que, si votre analyse des parties intéressées est complète, vous risquez fort de ne pas avoir la place de les représenter élégamment.
Une question subsidiaire : le nommage « A1, A2.. B1… » est une idée spontanée ou vous a-t-elle été inspirée (ou soufflée) par d’autres ? Je vous pose cette question parce que nous connaissons un cabinet de conseil coutumier de cette notation et coutumier de proposer une démarche qui est une véritable catastrophe documentaire pour les entreprises
Hé bien, si vous avez spécifié dans vos propres exigences que vous contrôlez le poids (et non que vous intégrez une donnée de poids / métrage de vos fournisseurs) comme un élément de conformité de vos produits, dans ce cas, il vous faut vous assurer que les équipements permettant de contrôler cette conformité en soient « capables ».
Tout à fait. Donc : seuls les équipements mesurant la longueur (ou permettant de vérifier la bonne calibration du process assurant la découpe) sont à maîtriser.
Bonjour Mariion,
Si je comprends bien, vous vendez du tissus au mètre et le poids est calculé selon le métrage vendu (éventuellement, précisé à la commande). Mais vous ne vendez jamais de tissus au poids, que vous convertiriez en mètres ?
Somme nous d’accord ?
Bonjour Bougnadeur,
Toute cartographie (qui n’est, pour rappel, pas une exigence de la norme ISO 9001) est bonne à définir sous la forme qui vous convient du moment qu’elle est comprise par toute et que sa conception permet d’assoir l’architecture d’un système de management.
Pour d’autres exemples, vous pouvez regarder ceci : http://www.youtube.com/watch?v=cGZv_zwalSc&list=PLzI6uqudyS8MXO13XEL1i0UmKV8lSPbBC
Cordialement
C’est uniquement une question de point de vue et d’habitude dans la manière d’aborder le déploiement d’un système de management.
Ce que je conteste, personnellement, c’est de dire aux novices d’en rester au strict et basique comptages de mots qui existent ou n’existent pas dans une norme (en ne travaillant pas sur l’esprit et la logique de la démarche). Cela fait la différence entre un système stérile et un système utile. Voilà tout…
5 juin 2019 à 13 h 16 min en réponse à : le terme exigences financières dans le chapitre 6.1.4 planification des actions ISO 14001 #17277Heu… si : c’est une exigence règlementaire.
Prenons l’exemple des opérateurs de CEE, ils ont « juridiquement » le droit d’exercer soit avec un niveau de délégation suffisant, soit avec une certification ISO 9001 version 2015. C’est ainsi depuis le 1er janvier 2018…
Quant aux réponses apportées aux questions de Samir : elles l’ont été depuis quelques posts déjà. La suite n’est qu’un éclairage pour vous
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