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pas le vôtre en tout cas Henri !
ya2sin : faites ce qui vous semble bien et utile dans votre contexte.
Le reste n’est que verbiage…
Bonjour,
Cela dépend du contenu et de l’emploi de votre fiche.
La « réponse » à votre interprétation de la norme n’est pas forcément dans un document, mais dans une « disposition » qui vous garantit que les produits ou la prestation seront délivrés lorsque vous aurez l’assurance que les activités et les contrôles ont bien été faits.
Ce n’est pas forcément un document.
En revanche, si vous prévoyez que cette fiche aura pour mission de « libérer » le produit, il serait bon d’y intégrer le check que les vérifications attendues ont bien été faites et de considérer que la complétude de cette fiche est vérifiée pour autoriser l’expédition (par exemple) du linge.
Voulez-vous nous l’envoyer ?
(en prenant le soin de retirer les logos ou marques ou références à votre société)
… pourquoi pas ?
Appelez ce document « comme vous voulez ».
Y compris manuel qualité si vous le souhaitez.
Tout comme vous appelez « frigidaire » votre réfrigérateur qui n’est qu’un… réfrigérateur et pas forcément un frigidaire…
Mais surtout : ne perdez pas trop de temps dans ces débats tellement inutiles qu’ils vous font passer à coté de l’essentiel…
C’est souvent signe de déconvenue à venir lors des « spécialistes » coupent des cheveux en 4 sur le nom des choses plutôt que sur leur contenu…
Bonjour,
Pourriez-vous nous en dire plus sur la nature de ce qui est à contrôler ? Sur quels critères ? Avec quelles fréquences et quantités ?
Il existe tellement de modèles possibles…
4 octobre 2019 à 14 h 32 min en réponse à : risques liés à l’impartialité selon la norme ISO/IEC 17025 #17514Bonjour,
En fait, c’est au paragraphe 8.5.1 qu’il est stipulé que « Le laboratoire doit tenir compte des risques et des opportunités liés aux activités de laboratoire ».
Une démarche « classique » et simplifiée d’identification et de gestion des risques pourra amplement suffire (pas à pas, vous trouverez une méthode ici : http://www.youtube.com/watch?v=OOtX0V50dvk&list=PLzI6uqudyS8OkftVXVI-EWzduF6K6Wn3o)
Bonjour,
Comme nous l’avions dit en réponse au post d’origine : l’exigence du manuel qualité n’existe plus.
Comme nous en avons déjà débattu maintes fois : un manuel (ou quel que soit le nom que vous lui donnez) peut être un support intéressant pour y intégrer et y recoller des informations éparpillées.
Avoir « avant » un manuel sans s’en servir pour autre chose que pour répondre à une exigence normative était une impéritie. Considérer que parce qu’il n’est plus demandé il ne peut être utile l’est également.
Voici un exemple « lorem ipsumé » avec un changement d’images pour ne pas montrer les équipements de nos clients. Bon, graphiquement, sans les images d’origine : c’est moins top
Avez vous eu le temps de « capter » mon adresse mail ?
En cliquant sur l’avatar des membres il ne vous le propose pas ?
Bonjour,
Pouvez-vous m’envoyer, en MP, votre nouvelle adresse ?
Bonjour,
Quelle sera le but de ce plan qualité s’il vous plait ?
(parce qu’il y a « plan qualité », « plan qualité » et… « plan qualité »)
Bonjour Delphine,
Pour ma part, je ferais procéder à une analyse tout en demandant les éléments de traçabilité de la qualité de la livraison incriminée.
Bonjour,
Cela fait effectivement quelques questions fondamentales…
Pour commencer : il vous est peut-être possible de demander, tout simplement, une formation à la norme ISO 9001 et à son déploiement ? Ce serait un bon début et plutôt que de glaner çà et là des éléments pour tenter d’assembler le puzzle : vous auriez ainsi une première vision d’ensemble d’un système de management ainsi qu’un décryptage des concepts que cela suppose.
Ensuite, en tant qu’organisme de formation : vous n’avez aucune exigences particulière « imposée ». En revanche, selon vos modes de financement et le mode de financement / prise en charge des apprenants, il est (très) possible que vous ayez à vous mettre en conformité par rapport au nouveau décret qualité. En la matière : présenter une certification ISO 9001 est très intéressant et « facilitateur » pour bâtir le socle de votre confomité au 7 critères et 32 indicateurs du nouveau référentiel national qualité (RNQ).
Plus d’information ici : travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/guide_referentiel_qualite_v3-22-07-19.pdf
Bonjour,
Afin d’ajouter à la réponse déjà très complète de Delphine, quelques petites précisions :
– malgré ce que beaucoup en pensent, l’exigence est de déterminer les ressources et non de les formaliser. Mais il est évident que le formalisme demeure l’une des meilleures manières d’en assurer la détermination et surtout, la réponse à la deuxième précision. En outre, ce formalisme à plus de sens pour les éléments tels que a) éléments d’entrée et de sortie, e) responsabilités, f) risques…
– l’intérêt de les formaliser n’est évidemment pas de répondre à l’exigence uniquement (en produisant un document à un auditeur par exemple), mais bien de disposer d’un référentiel interne dans la manière de concevoir et de piloter un processus : référentiel qui participera directement à l’amélioration parce qu’il sera communicable (au personnel), révisable (en revue de Direction par exemple), évaluable (en audit interne notamment). Bon… il permettra de présenter plus facilement le système à un auditeur interne / externe également, c’est certain…
Ainsi, décrire les ressources d’un processus permet de se poser (ou d’auditer) régulièrement les questions suivantes :
– disposons-nous bien / toujours de toutes les ressources nécessaires à l’application et à l’efficacité du processus ?
– ces ressources sont-elles à la hauteur de la performance que nous attendons du processus ?
– ces ressources seront-elles suffisantes face aux objectifs / risques / évolutions attendues et ne faut-il pas anticiper leur approvisionnement (compétences, moyens…) ?
– notre processus est-il toujours pilotable comme nous l’entendions à la lumière de nouvelles contraintes sur les ressources disponibles ?
– avons-nous un risques sur les ressources du processus ?
– …
Une synthèse de ces attentes est présentée ici : http://www.youtube.com/watch?v=PbOtlrYERp4&list=PLzI6uqudyS8MXO13XEL1i0UmKV8lSPbBC&index=4, si vous le souhaitez.
28 août 2019 à 15 h 40 min en réponse à : Méthodes d’analyse des résultats de surveillance ISO 9001 V 2015 #17451Dans la mesure ou il en existe des centaines, concentrons-nous d’abord sur la signification de cette exigence (il s’agit de l’exigence 9.1.1 b certainement ?) avant un exemple.
L’exigence de la norme, sur ce point, est « simplement » de définir vos besoins en terme de méthode d’analyse selon votre contexte, vos prestations et processus, vos moyens, vos objectifs : définir « comment » vous allez analyser les résultats de… quelque chose. Vous n’avez pas d’exigence de les documenter, hormis celle de conserver les preuves des résultats. Ceci, afin de vous assurer que, quels que soient les intervenant(e)s, évènements… ce que vous jugez important comme retour de performance soit bien capitalisé et analysé afin de prendre des décisions si nécessaire.
Par exemple : imaginons que vous fabriquiez des outillages de contrôles. Ces derniers feront l’objet de suivis et de contrôles rigoureux, probablement enregistrés. En matière de performance : vous pouvez décider d’analyser la nature et les causes de non-conformités dimensionnelles et d’en faire un suivi statistique régulier (dans le temps, selon les équipements…) afin de mesurer (ou de surveiller) vos performances de fabrication. Pas la conformité d’un outillage, mais la performance de votre process. Vous avez donc défini une méthode d’analyse : l’exploitation statistique des non-conformités. Pour preuve : il vous faudra donc les supports de collecte de ces informations et les comptes-rendus ou actions d’analyse et de décision selon les résultats.
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