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Ce n’est pas un tour de passe passe… faisons un peu preuve de recul et de bon sens…
Ce n’est pas parce qu’une norme dit « risques » et « opportunités », qu’il faut qu’il y ait des dispositions « risques » et des dispositions « opportunités ». Certes, des auditeurs et auditrices pas encore matures sur ce sujet « attendent » une disposition (méthode, liste…) pour l’un et pour l’autre, mais il vaut mieux leur demander de démontrer ou est l’exigence de la norme sur ce point.
Ce n’est pas parce qu’une norme dit « exigence » qu’il faut répondre « document ». Vous avez tout intérêt à dépasser cette vision basique.
En outre : une entreprise qui ne sait pas déjà profiter d’opportunités de son marché, de son contexte et son environnement, de sa conjoncture, à certainement bien d’autres problèmes à gérer que de savoir comment faire ou comment se certifier.
C’est le coté ubuesque de pas mal d’auditeurs qui pensent qu’avant qu’ils ne posent la question (induite par un changement d’exigence) les entreprises ne géraient pas leurs opportunités et qu’elles ont toutes appris à le faire en déployant une norme version 2015.
Donc, si vous avez des opportunités parce que :
– vous identifiez des opportunités à mettre en face de risques pour les réduire
– vous identifiez des opportunités de manière spontanée que vous collectez en plan d’action
– vous identifiez des opportunités (pistes d’amélioration) à l’issue des audits
– vous identifiez des opportunités à l’issue des revues de direction
– vous identifiez des opportunités dans l’identification de vos contextes et enjeux (PESTEL ou autres…)
Hé bien… n’allez pas plus loin… n’inventez rien de plus
Il n’y a pas « le » modèle de fiche, mais « des »modèles de fiches qui, tous, répondent à un contexte et un type de contrôle particulier.
D’où la question que j’ai posé : qu’est ce qui est à contrôler ? sur quels critères ? Avec quelles fréquences et quantités ?
Voici un élément de réponse : http://www.youtube.com/watch?v=eHbsIk8Zc94
A 02:15, vous aurez une « astuce » qui fonctionne très bien et qui est parfaitement recevable en certification.
En outre, vos autres instances (revues de Direction…) fourmillent déjà de nombreuses opportunités pour qu’il ne soit pas nécessaire d’en rajouter une couche.
16 octobre 2019 à 7 h 42 min en réponse à : Idées simples pour la codification des documents qualité #17576Pour la gestion documentaire des procédures de laboratoire type 17025, nous déployons généralement les principes suivants :
– les documents sont distingués selon 3 familles : les documents de description (que l’on peut également nommer procédures), les documents d’instruction technique (modes opératoires, instructions…) les supports de traçabilité (d’enregistrement),
– ils ont ensuite un numéro d’ordre chronologique de leur création (pas une référence par rapport aux exigences de la norme, cela évite tout questionnement quant aux documents répondant à plusieurs exigences, ou nécessitant un casse-tête lorsqu’une norme évolue),
– ils ont un indice de mise à jour.
Ainsi, une procédure sera codifiée : DES_01_A par exemple (quel qu’en soit le titre). C’est simple, c’est rapide et cela fonctionne dans tous les cas de figure des laboratoires que nous accompagnons.
Personnellement, si je voyais ces deux éléments affichés (rapport d’audit et plan d’action lié) : je m’inquiéterai donc de savoir si l’amélioration n’est fondée que sur les audits internes, et si chaque élément devant contribuer à l’amélioration produit son propre plan d’action…
C’est un avis de plus, mais la pertinence dans votre contexte et à votre maturité vous regarde
S’il s’agit de déployer un système de management selon un modèle (avec ou sans certification ou reconnaissance tierce à la clef) : l’ISO 9001:2015 est un modèle « passe-partout » relativement simple et permettant de se poser de bonnes questions.
De manière plus large, dans le concept de « mode de management », il n’existe pas de « mode de management » type selon un domaine d’activité… Le mode de management, s’il en existe de nombreux, dépend surtout de la stratégie de management décidée par une Direction d’entreprise (au sens le plus large et le plus haut du terme), de sa taille et de sa composition.
Voici une piste (parmi d’autres approches)…
Comme cela ?
10 octobre 2019 à 15 h 22 min en réponse à : mise en place d’un SMQ dans un organisme de distribution des produits pharmaceutique #17543Bonjour,
Les nécessités de documenter (ou pas) un système de management dépendent de pas mal de facteurs tels que :
– quels sont les objectifs de la certification (si, par exemple, cela est pour maîtriser des activités dans un secteur avec un fort taux de turnover, la documentation et les process de recrutement seront à soigner)
– combien de personne, quelles typologies d’emplois (sédentaires, régionalisés…) et de fonctions (opérationnels, chercheurs, administratifs, commerciaux…)
– …
Pourriez-vous nous en dire un peu plus ?
Bonsoir,
Quel type d’avis souhaitez-vous ?
Concernant la pertinence du sujet : il semble en ligne avec votre doctorat, comme il serait pour tout domaine d’entreprise que vous choisiriez.
Qu’est-ce qui vous a fait, justement, opter pour le domaine des assurances ?
Bonjour,
C’est une idée intéressante. En prenant en compte que le fait d’afficher est un élément de votre communication, mais ne vous assure pas de la prise en compte et de la compréhension par les Collaboratrices et Collaborateurs.
Les autres éléments qui peuvent ainsi être portés à la connaissance de toutes et tous peuvent être :
– les indicateurs de performance
– le compte rendu de revue de Direction (selon le degré de confidentialité que vous lui conférez).
Notamment…
Bonjour,
Vous devez effectivement
– vous assurer de fournir des produits et services conformes aux exigences du client et aux exigences légales et règlementaires applicables (4.2),
– vous assurer que ces exigences sont déterminées, comprises et satisfaites (5.1.2 a)
– qu’elles sont définies et revues (8.2.2 a.1 & 8.2.3.1 d)
– qu’elles sont prises en compte lors de la conception et du développement (8.3.3 c)
– que, dans la maîtrise des produits et services fournis par les prestataires externes, vous en teniez compte (8.4.2 c.1)
– idem pour les activités après livraison (8.5.5 a)
Pour autant, bien que cela paraisse conséquent, l’utilité d’une veille règlementaire va dépendre de la nature de vos prestations / produits. La norme impose ces prises en compte, mais pas nécessairement au travers d’une veille.
Pouvez-vous nos en dire plus sur votre activité, vos produits, vos prestations, les pays concernés ?
Nous pourrons alors vous répondre plus précisément…
Bonjour,
Voici un exemple : http://www.youtube.com/watch?v=d6Bg_cg-TEo&list=PLzI6uqudyS8OkftVXVI-EWzduF6K6Wn3o&index=8
Cordialement,
je vois bien…
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