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Bonjour,
L’ISO 9001 n’impose pas de termes précis pour ce que tu décris, donc activités et sous-activités ça ira très bien à mon sens, le but étant de ne pas perdre le personnel et avoir leur adhésion au système que tu mets en place (après on peut utiliser beaucoup de choses avec sous… mais je laisserai les spécialistes discourir sur ce sujet :p, mais je suis fan de ton exemple ^^)
Fabien
Merci PREVOTA,
Effectivement cela éclairci l’approche que je peux avoir. Il va donc falloir que je travaille maintenant sur l’historique du site par rapport au statut ICPE pour vérifier les premières déclarations (je crois même qu’à une période ils étaient soumis à autorisation).
Je pense, tout de même, être soumis sous DC pour 2910-A. Cela mérite une analyse plus approfondie.
Merci à toi pour ton aide
Merci pour ta réponse.
Donc pour moi, et au vu de tes explications, vu que tous mes appareils fonctionnent en même temps, je suis soumis à la rubrique 2910-A et à l’arrêté qui entre en vigueur le 20/12/18.
J’ai lu le document que tu m’as fourni, merci d’ailleurs, mais il ne m’aide pas à mieux comprendre ma problématique.
Je suis d’accord sur le fait que chaque élément pris séparément est largement inférieur à 1 MW, par contre par rapport à la somme des puissances thermiques je suis classé.
Tu parles de cheminées dans ton explication. Mes brûleurs de verre sont reliés à 6 cheminées différentes, comment dois je interpréter cette données?
J’avoue que plus je m’enfonce dans la réglementation et moins je la comprends.
Bonjour PREVOTA,
Pourrais tu développer le point sur la rubrique 2910 et les cheminées dans le topic suivant s’il te plait : https://www.qualiblog.fr/forum/management-de-lenvironnement/icpe-rubrique-2910/
J’ai pas mal de question à éclaircir avec l’entrée en vigueur du décret dans 2 jours.
Henri a déclaré
Hello !Si l’évacuation s’est bien passée (à vérifier), ça a été un bon exercice d’évacuation…
Quel est l’effectif de cette équipe de nuit ?
A+
Oui tout s’est bien passé, tout le monde a respecté les consignes. Les derniers exercices se sont plutôt bien déroulés.
Ils sont une quarantaine.
Je remonte un peu le sujet suite à un interrogation de mon responsable.
Nous avons déjà fait 2 exercices d’évacuation cette année donc, techniquement, par rapport à l’article de loi, nous sommes raccords. Seulement, nous avons une équipe de nuit « statique » (ils ne font que des nuits) ; donc nous nous posions la question : est-il utile de leur faire faire un exercice d’évacuation?
Il y a eu un déclenchement inopiné suite à un coupure de courant générale et tout le monde avait évacué.
Je n’aimerais pas me faire avoir sur ce sujet.
Des avis?
Tu trouveras des explication sur internet facile à comprendre, détaillée et pas à pas.
Bonjour,
Pour moi tu dois calculer le TRS (taux de rendement synthétique) pour avoir ce que produit réellement ta machine.
Ci dessus un des premiers liens que j’ai trouver sur internet :
http://flconsultants.fr/lean-manufacturing/exemple-calcul-trs/#1508338951988-a70241b1-d127
D’ailleurs, pour pouvoir calculer ton rendement, tu dois nous dire pourquoi tu as produit que 4h au lieu de 7h par exemple.
Fabien
Merci Thaumasia pour les précisions.
Dans mon ancienne vie, je faisais parti d’un labo d’essais industriels suivant la 17025 et accrédité COFRAC suivant tout un tas de programmes différents.
L’auditeur ne nous avait pas pris sur la métrologie car nous apportions un soin particulier à le faire dans les temps. Par contre, nous avions été allumé sur le fait de ne pas pouvoir prouver la « qualité » de nos résultats car nous n’avions pas mis en place de cartes de contrôles pour anticiper la dérive de nos appareils.
il y avait eu un vif débat qui s’était terminé par la mise en place, pour ma part, d’essais de contrôles assez contraignant.
J’aimerais mettre en place des cartes de contrôles l’année prochaine dans la partie contrôle qualité mais je ne vois pas sur quelle exigence je peux m’appuyer.
Bonjour Kleine,
Ce n’est pas non plus mon domaine de prédilection et du coup cette conversation va aussi beaucoup m’intéresser.
Pour la question 1 : il faut effectivement suivre ceux qui ont une incidence sur le produit comme les appareils qui sont en production ou ceux qui servent à contrôler la qualité finale du produit (exemple : un micromètre en production et une balance dans un service de contrôle qualité)
Pour la question 2 : il faut être très vigilant car, pour moi, tu n’as pas le droit de changer les périodicités de vérification selon ton bon vouloir (je ne t’incrimine pas ^^), pour certains appareils les périodicités sont normées.
Je ferai le listing dans grandes familles d’appareils de métrologie et je chercherai les normes qui y font référence.
Ci joint un document que j’ai trouvé sur la boutique AFNOR qui peut tu servir de base de recherche.
Fabien
Il y avait la version 1 dans ma précédente entreprise et je trouvais ça plutôt pas mal car ça permet de fixer un certain cadre.
(les 2 sont des approches intéressantes de toute façon)
Bonjour,
Quelque soit le type de lieu, tu te dois de faire à minima 2 exercices d’évacuations par an et de les consigner dans un registre.
Fabien
Je tords un peu le nez à la lecture de ton commentaire : que tu envisages maintenant de « joindre les risques (identifiés dans l’EVRP) pour être un plus pour la compréhension du poste » induit un doute sur la pertinence de ton processus de formation sécurité au poste, non ?
Etant jeune dans cette entreprise, je remet en cause beaucoup de chose tout en gardant l’esprit ouvert. Remettre en cause ne veut pas dire que tout est mauvais loin s’en faut. Quant à la pertinence de la formation, aujourd’hui je ne sais pas, cela fonctionne et la résistance aux changements d’une grande partie de ma direction est tellement qu’initier un changement est assez compliqué, je procède donc par étape.
En effet pour moi un tel processus (pertinent et répondant aux exigences réglementaires) colle forcément aux risques identités dans l’activité considérée (UT) et en proportion de leur évaluation (EvRP) si j’ose dire… Sans compter que « joindre » m’évoque la remise d’un papier plus qu’un acte pédagogique (s’il s’agit simplement de « montrer » le DUER, tu en as d’ailleurs déjà l’obligation)
Je dois mettre à disposition le DUER (ce qui est), mais je n’ai pas d’obligation de le « montrer »
J’enfonce le clou pour illustrer. Un excellent support de formation à la sécurité peut être de disposer pour chaque UT d’un tableau en trois colonnes : phases d’activité / risques concrets induits / réponse opérationnelle de l’opérateur en terme de prévention. La colonne risques est forcément cohérente avec le DUER pour chaque UT-activité-poste considéré.
C’est une des solutions que j’envisage. La mise en place sera longue car comme évoqué plus haut, la résistance aux changements est grande. C’est ce que j’entendais par joindre : ne plus seulement mettre le DUER à disposition mais le diffuser au plus grand nombre pour que ce plus grand nombre devienne acteur dans la résolution des risques. Mais, avec une prise de conscience, je serais déjà content (et c’est la première étape)
PS : je suis déjà inscrit sur ce forum mais je n’y suis pas allé depuis un moment, trouvant celui ci beaucoup plus réactif.
Effectivement, tu es remonté loin ^^
Plus sérieusement, ce texte est très intéressant car c’est vraiment un plus. Aujourd’hui, nos formations sur poste sont assez pertinentes, par contre, je pense que joindre les risques (identifiés dans l’EVRP) pour être un plus pour la compréhension du poste et serait, à mon sens, une première prise de conscience de la dangerosité, avérée ou non, des machines.
Merci, cher archéologue.
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