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, le il y a 5 années et 2 mois.
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Bonjour chers membres,
Cela fait une vingtaine de jour que j’ai rejoint une entreprise de distribution pharmaceutique pour le poste de RMQ.
l’objectif : la certification de l’entreprise.
les points négatifs : aucune information documentée, un terrain vierge même si l’entreprise réalise un excellent chiffre d’affaire.
Questions / PAR OU DOIS JE COMMENCER????
J’avoue que par moment je suis perdue , même si je suis qualiticienne de formation , ayant exercé pendant 1 an dans un poste similaire!
je remercie chaque personne qui se rappellera de ses débuts dans la mise en place d’une démarche qualité et qui prendra le temps de répondre a ma requête.
Mes salutations
Bonjour,
Aucune information documentée, en es-tu vraiment certaine ? J’ai du mal à concevoir une entreprise qui fonctionnerait sans aucune information écrite quelque part, ce serait-ce que d’un point de vu légal et pratique.
Toute blague mise à part, la première chose à faire, si l’objectif est de se faire certifier, c’est un état des lieux.
Pour ce faire, rien de plus simple, tu prends ton référentiel, 2 surligneurs (ou 3 si tu souhaites apporter une touche de nuance) et tu vérifies quelles exigences du référentiel sont déjà appliquées (une couleur) et lesquelles ne le sont pas encore (l’autre couleur).
A partir de là, tu devrais pouvoir dresser un plan d’action et démarrer ton projet.
Bonjour chère Delphine,
je te remercie infiniment , et je suis rassurée de te lire, car c’est la démarche que je suie actuellement (mis à part les surligneurs
).Je demande à toute personne qui me lira de me proposer des idées de PROCÉDURE à rédiger dans le domaine de la distribution pharmaceutique. çà m’aiderai beaucoup dans le cas ou j’aurai des oublis.
Merci infiniment.
Bonne journée à tous.
Les surligneurs, c’est la touche vintage !
Pour les procédures, je te conseille d’attendre de voir ce qu’il sera important et utile de documenter (en dehors des exigences du référentiel). Faire de la procédure pour avoir du papier, c’est contre productif.
Bonjour,
Les nécessités de documenter (ou pas) un système de management dépendent de pas mal de facteurs tels que :
– quels sont les objectifs de la certification (si, par exemple, cela est pour maîtriser des activités dans un secteur avec un fort taux de turnover, la documentation et les process de recrutement seront à soigner)
– combien de personne, quelles typologies d’emplois (sédentaires, régionalisés…) et de fonctions (opérationnels, chercheurs, administratifs, commerciaux…)
– …
Pourriez-vous nous en dire un peu plus ?
Hello !
Miss CMQ, pour mettre en place un Système de Management (quelque soit le domaine de management « X » et la norme de SM visée) voici quelles sont à mon avis les grandes lignes à suivre (validées par expériences personnelles) :
– Voir d’emblée l’intégration du modèle normatif de SMX dans l’entreprise comme un « projet » de l’entreprise à mener par la direction en mode « conduite de projet » (c-à-d une petite équipe projet, un budget, un planning d’actions, de la comm, etc… à la maille de l’entreprise). Ce qui nécessite une décision et un suivi de la part de la direction…d’autant qu’elle aura aussi des tâches à réaliser en cours de projet.
– Commencer par une découverte-compréhension-appropriation des exigences du modèle normatif de SMX par l’équipe projet en se faisant un atelier de lecture au minimum, voire une formation sur la norme et le SM (et/ou de manière opportuniste à travers le point suivant).
– Faire de toutes façons un état des lieux initial des pratiques actuelles de l’entreprise dans le domaine X sous la forme d’un véritable « audit » en utilisant la norme de SMX comme « référentiel d’audit »… (disons qu’on fait un audit du SMX « natif » de l’entreprise, car l’entreprise manage déjà le domaine X d’une manière ou d’une autre, même si c’est d’une manière empirique). Cet audit est bien plus pertinent que l’inutile « audit à blanc » à la fin du projet…
– Ce audit permet d’identifier (1) ce que l’entreprise fait déjà de correct « sans le savoir » (à entériner par le projet), (2) ce qu’elle fait déjà mais pas correctement (à ajuster par le projet) et (3) ce qu’elle ne fait pas encore mais devra faire pour être en accord avec la norme de SMX (à créer par le projet)…
– Cet audit nourrira l’élaboration de sa feuille de route (identification et planification des tâches nécessaires à la structuration et la mise en oeuvre du SM = planning des tâches avec responsables et jalons), surtout si l’entreprise a les moyens de faire réaliser l’audit initial en question par un consultant compétent en SMX en prévoyant à son CdC qu’il le mène accompagné de la petite équipe projet (ce sera une sorte de formation minimum ou complémentaire à celle évoquée plus haut).
– Planifier et réaliser les tâches ainsi identifiées pour construire le SMX en associant au passage les acteurs des principales fonctions concernées par les processus X ainsi consolidés ou créés, et lancer peu à peu le SMX avec leur participation initiale et maintenue ensuite.
NB : créer et lancer un SMX prend raisonnablement de l’ordre d’une année.
A+
PS : documenter ou pas un SMQ ne se discute pas, particulièrement si l’on veut le faire certifier ! Les modèles ISO de SM exigent tous de documenter un certain nombre d’informations et plus si affinités…
Bonjour,
je vous remercie infiniment pour vos retours.
THAUMASIA, le projet de certification a pour but d’apporter organisation et discipline, et répondre ainsi plus facilement aux exigences des clients.
c’est un organisme de 200 personnes dont les structures de base sont: la logistique, le commercial, le marketing et l’administration .
HENRI, je vous remercie c’est clair et pertinent , j’en prend note.
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