Toutes mes réponses sur les forums
-
AuteurMessages
-
Pour faire efficace :
– la définition des processus, que ce soit dans le champ d’une certification ou non, est expliquée pas à pas ici : http://www.youtube.com/watch?v=cGZv_zwalSc&list=PLzI6uqudyS8MXO13XEL1i0UmKV8lSPbBC
– les règles d’audit, les cycles, sont présentés là : http://www.youtube.com/watch?v=Hl4fWl35V28 (à 01:50)
Bonne lecture à vous
Bonjour,
Peut-être serait-il opportun de vous poser les questions suivantes :
– que souhaitez-vous faire, enseigner, chercher, accompagner, mettre en œuvre… ?
– est-ce que votre domaine d’étude vous plait ? En dehors du fait de « faire » des études, est-ce que ce sujet vous fait « vibrer » ?
Bonjour,
1) non, à moins que vous ne souhaitiez appuyer votre système sur une norme de système de management ou que cette approche processus vous soit familière. Mais ce n’est pas indispensable.
2) il s’agit globalement des mêmes concepts. Vous avez effectivement intérêt à raisonner en mode « PDCA » (quoi que… il y a tellement d’interprétations fausses de ces principes…) là ou le RNQ n’attend « que » des dispositions d’amélioration. Le PDCA n’est pas typiquement une approche plus globale qu’une autre, mais une chronologie assurant une résolution pérenne des difficultés, ou bien une assurance d’un déploiement efficace dans le temps.
(pour info : nous publions une série de vidéos, une par indicateur, à partir de lundi prochain sur notre chaine).
PS (pour qui voudra progresser dans son expérience) :
La norme impose de décrire les processus qui vous conviennent, qui vous correspondent.
Si elle en demande la maîtrise, elle n’impose pas le formalisme en tant que tel d’un processus de conception et développement (étant bien d’accord : dans la majorité des contexte, cela est tout à fait justifié), ni, par exemple, d’un processus d’audit (la norme cite « sélectionner des auditeurs et réaliser des audits pour assurer l’objectivité et l’impartialité du processus d’audit »).
Henri, je ne développerai rien de plus qui n’ai déjà été expliqué précédemment. Je n’ai pas le même besoin d’occuper mon temps et mon besoin de reconnaissance par la même occasion
Ce n’est pas une question d’étrangeté … mais de logique.
Si vous avez regardé les vidéos dont je vous ai donné les liens quelques posts plus haut, vous aurez probablement remarqué qu’une manière efficace de concevoir les processus est de les « enchaîner » chronologiquement dans l’ordre de contribution à répondre aux besoins de vos clients.
Or, un processus de conception et développement est, justement, appelé selon les prestations/produits à concevoir, selon les besoins. Un processus de Direction est bien souvent un processus de pilotage (management, stratégie…) « un cran » au dessus de cette chronologie.
Par expérience, cela créera quelques distorsions dans l’organisation et dans le pilotage de ces processus.
MAIS (parce qu’il y a toujours un « mais ») : à vous de vous faire votre propre expérience, cela n’est qu’un conseil et les processus peuvent évoluer dans le temps fort heureusement.
Ce n’est pas faux… je vois encore certains écrire les mêmes bêtises depuis des années…
Formaliser la conception et le développement en tant que « processus décrit » n’est pas une exigence, mais pas une interdiction. Maîtriser la conception et le développement l’est.
Il est toujours délicat de faire œuvre de pédagogie au milieu d’une cacophonie d’expériences inabouties, pour le bien de celles et ceux qui viennent chercher conseil. Je ne remets pas en question votre expérience en terme de sécurité Henri : je la trouve avisée. Alors, de grâce : ouvrez un peu votre compréhension « fine » et « utile » des démarches qualité pour votre propre bien, et pour espérer un jour la rendre aussi avisée…
SAB : devant ce constat « compliqué », n’hésitez pas, au moindre doute, à consulter d’autres forums ou avis
Pour faire vite, je vais répondre sur ce même ton : « Henri, votre expérience ne comporte pas d’autre lecture que mot à mot ? Qu’est-ce qui vous affirme qu’il faut formaliser un processus « conception et développement » ? «
J’aimerais avoir autant de temps à perdre, mais non. Alors, je vous livre là l’expérience de 25 ans de conseil, 250 certifications et autant d’audits en tant qu’auditeur de certification : vous avez à « établir » un processus (un ensemble d’activités) mais pas de « processus nommé conception et développement ».
Non, la norme n’exige pas de créer un processus conception.
En revanche, les processus ont une notion de « familles d’activités », de préférence de même nature afin d’optimiser les analyses en terme de performance et bien d’autres effets encre… aussi, mixer les activités de Direction et de Développement (au sens conception et non développement des activités), même s’il s’agit des mêmes acteurs, n’est pas totalement pertinent et vous jouera des tours.
Je vous conseille, afin de comprendre ces principes, de jeter un oeil à ceci : http://www.youtube.com/watch?v=cGZv_zwalSc&list=PLzI6uqudyS8MXO13XEL1i0UmKV8lSPbBC
21 novembre 2019 à 8 h 20 min en réponse à : Recherche d’un auditeur ICA en cours de validation #17724Bonjour,
Pourquoi « que » ICA et pourquoi « en cours de validation » ?
Pour une question de tarif ?
Bonjour Matthias,
Je ne veux surtout pas vous faire l’effet d’une douche froide , mais mon propos n’était pas de vous dire de commencer par les exigences du chapitre 4…
Mais je vous proposais de checker, pas à pas, l’ensemble des exigences afin que vous en ayez une vue d’ensemble pour identifier par « quoi » commencer. Du reste… je vous propose de ne pas commencer par ces exigences (du chapitre 4) avant d’avoir compris celles des deux chapitres suivants.
Dans un processus de conception et développement, quelle que soit la nature de la « chose » conçue (autant en rapport avec les exigences de la norme ISO 9001 que les bons principes de développement) : il est important d’identifier les étapes de revues, les étapes « GO c’est bon, nous avons les éléments attendus à cette étape et on continue / GO c’est bon, mais restons vigilant il nous manque des éléments mais on continue / NO GO nous n’avons pas les éléments attendus et nous attendons de les avoir pour passer à l’étape suivante / NO GO les éléments nous démontrent que nous n’atteindrons pas les objectifs et il faut statuer sur des modifications ou abandon ».
Avec toutes les variantes possibles : voici un résumé des GO / NO GO…
Ainsi, Soumaya : n’hésitez pas à nous en dire plus sur votre contexte afin que les réponses vous soient directement utiles
Heu… non… je ne suggère pas de contester ce classement dans la mesure ou il a été accepté : il est donc délicat de le contester ultérieurement.
En revanche, s’il a été établi ainsi, c’est soit qu’il procède d’un contexte que je n’ai pas encore appréhendé (d’ou mes questions), soit qu’il a été formalisé par un auditeur manquant de compétences (et pour lequel la contestation un an après vous induira plus de soucis qu’autre chose).
Nous en avons déjà parlé Henri, je n’ai pas la même approche basique qui conduit à dire « c’est cela » ou « ce n’est pas cela », « oui » ou « non », mais : cela dépend des cas et des contextes et c’est en prenant soin de comprendre les cas et les contextes qu’il est possible de répondre de manière précise et adéquate.
Ainsi, nous sommes d’accord pour le taux de rebuts, pour ce qui est du taux de non-conformités votre définition concerne essentiellement le contexte des produits manufacturés. Il est possible que cette définition soit autre dans d’autres contextes.
« Echanger » n’est pas « affronter », « progresser » n’est pas « imposer »…
Hello !
Henri vous n’avez pas pris la peine de lire, en vous donnant l’opportunité de comprendre, ma réponse. Essayez encore…
Touly : hormis cette « évaluation à froid » (qui n’est pas une exigence de la norme, l’exigence porte sur l’évaluation de l’efficacité des dispositions d’acquisition des compétences), comment votre entreprise capte et corrige, si nécessaire, les formations présentant une insuffisance (que ce soit du fait du format.eur.rice ou du process même) ?
-
AuteurMessages