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Bonsoir.
Dans votre contexte, ICHACK : il s’agit bien d’un Comité de Sécurité et d’Hygiène.
Il pourrait être intéressant, pour vous, de repartir des thématiques définies dans le modèle du rapport annuel de la législation de votre pays ? (voir décret n°2-09-197 du 22 mars 2010)
De lister les éléments qui sont connus (que l’on peut vous communiquer) et ceux qui restent à déployer ou à mesurer…
Bonsoir HASSANI KRIMO,
Il existe de nombreux cas, tant de petites structures que de grands groupes, ou “l’ossature 9001” (surtout dans sa nouvelle version 2015, donc, HLS) sert de base à d’autres référentiels ou obligations.
Si cela vous paraît être une bonne base de construction que d’investir la sécurité au travers d’un processus dédié : ne vous en privez pas. Cela abondera dans le sens d’un système de management (une référence d’organisation interne sans teinte qualité, ou sécurité, ou environnement ou… quoi que ce soit d’autre) comme support de construction et de communication sur des règles cohérentes.
La sécurité n’est pas “opposable” ou d’un autre monde, d’une autre dimension, pour qu’elle ne trouve pas sa place dans un système de management.
Bonjour,
Cela dépend… de votre contexte.
Si vous nous en dites plus sur votre activité (types de prestations et produits) nous pourrons être précis dans la réponse.
Mais dans les grandes lignes, la justification de la conformité à cette exigence nécessite d’identifier les paramètres de vos prestations / produits qui doivent faire l’objet d’une mesure (dimensionnelle, énergétique, mécanique…) afin de valider la conformité (ou non) de ces prestations produits. Puis, de vous assurer que les équipements et matériels vous permettant de réaliser les mesures correspondent aux plages et mesures à réaliser, sont étalonnés, identifiés, protégés et que, en cas de non-conformité de ces équipements (selon leur classe de mesure), des actions sont entreprises sur les prestations / produits précédemment livrées (ou en cours) afin de palier aux risques.
Prenons un exemple simple : si vous fabriquez des billes métalliques (pourquoi pas ? il y a certainement des entreprises qui font cela pour des roulements ou d’autres applications…), il est fort probable que ces billes disposent de paramètres physiques et mécaniques conditionnant leur conformité. Par exemple : le diamètre, la dureté, l’état de surface. Il vous faut donc des instruments mesurant le diamètre (selon les tolérances de fabrication aux différents stades, ils peuvent être : un pied à coulisse, un micromètre, un gabarit…), la dureté (une machine de dureté…) etc…
Vous devez donc démontrer que ces équipements, lorsque cela est nécessaire (c’est à dire que le résultat de la mesure vous permettra de qualité la conformité ou non du produit), sont étalonnés et vérifiés régulièrement, et que, en cas de constat (en utilisation ou après retour d’étalonnage) de dysfonctionnement de cet équipement, vous identifierez les impacts sur les billes déjà livrées et les actions nécessaires (rappel, alerte client, dérogations…).
la question ne portait évidemment pas sur un objectif de certification, mais le fait de vous savoir certifié (ou pas) induit déjà mécaniquement la présence de certaines données et la possibilité d’indicateurs de performance…Un premier volant d’indicateurs peut facilement reposer sur la politique et les axes de progression qui vous ont été communiqués. Pour ce premier point, si vous le souhaitez, je peux en faire une lecture en “off” plutôt que d’afficher une politique reconnaissable ici. Nous en publierons les résultats uniquement sous la forme des indicateurs identifiés.
Un deuxième volant peut tout aussi facilement reposer sur la nature même de vos processus. Même principe : il nous faudrait les connaître pour cela…
Bonjour Fabien,
Sans trop en dévoiler :
– quelle est votre activité ?
– avez-vous déployé une démarche “processus” et, si oui, quels sont-ils ?
– votre groupe vous impose-t-il des objectifs particuliers sur ces deux référentiels (hormis la certification) ?
Cordialement,
Bonjour JASMINE,
Voilà qui est fait.
Simplement : attention, votre formulaire comporte quelques bugs qui réagissent mal sous Firefox notamment.
Il est nécessaire de copier le lien de la première page, de le coller dans la barre de navigation, afin d’accéder à la possibilité de passer d’une page à une autre.
Bon courage
Justement ce qui a été débattu à de nombreuses reprises lors des mois passés dans ce forum.
Ce qui était intéressant : c’était de comprendre ce qui a amené cet intervenant à poser une question relative à la transition alors qu’il ne lui restait que 15 jours devant lui pour entreprendre (avec succès et preuves d’efficacité) une telle démarche.
Mais je gage que nous n’aurons jamais le fin mot de l’histoire
Bonjour A SAUVAGE,
Pour ma part, je n’intervient pas dans le cadre de la 13485…
Donc, je n’ai pas trouvé pertinent d’avancer une hypothèse même si nous conseillons des clients dans la validation de logiciel (mais pas sur une base 13485).
Cordialement,
Une autre manière de commencer pourrait être, aussi, de lire les réponses apportées à vos questions ?
Enfin… je dis cela…
Bonjour WEB222,
Il n’est pas rare de voir cohabiter plusieurs dispositifs d’identification et de maîtrise des risques et, effectivement, assez souvent le SWOT pour la stratégie et une approche plus méthodologiquement classique et complète pour les processus ou thèmes opérationnels et supports.
Les principales raisons de cette cohabitation semblent reposer sur le fait que des méthodes plus “complètes” ne sont pas aisément perçues par les Directions (manque de construction et de pilotage des processus… de management).
Les démarches satisfaisantes sont souvent à base d’une analyse de risques identique quel que soit le processus, puis, éventuellement, doublée d’autres approches non dépendantes du processus mais des données entrantes différentes ou d’un autre niveau.
Bonjour DDB,
Quel que soit le support d’information (papier, électronique diffusé ou mis à disposition…) une diffusion maîtrisée vous engage à informer les destinataires de la mise à jour, et à connaître (donc) quels sont ces destinataires. Une diffusion non-maitrisé ne vous… engage tout simplement pas à cela.
Bonjour TUO ALIDOU,
Cette question a été posé à plusieurs reprises déjà sur ce forum et je vous propose de lire toutes les réponses déjà apportées et, au besoins, de poser de nouvelles questions si les échanges déjà existants ne vous semblent pas complets.
En revanche : êtes-vous déjà certifiés ISO 9001 et 14001 ? Si oui, avez-vous un audit de transition (ou visite de surveillance ou audit triennal) d’ores et déjà planifié et quand ?
S’il vous plait…
Bonjour KENZA,
Tout simplement, les enjeux peuvent vous permettre d’identifier des risques.
Par exemple :
– si, dans votre activité, vous avez un enjeux concurrentiel fort parce qu’une conjoncture particulière fait naître un engouement pour cette activité : vous avez donc plusieurs risques face à cette monté de concurrence, face à, par exemple, votre capacité ou non à conserver vos marchés.
– si, dans vos moyens, vous avez un enjeux technique important parce que vous disposez d’un parc de production vieillissant, parce que la technologie de votre activité à connu un saut particulier : vous avez des risques tels que (on y revient) un dépassement par une concurrence plus outillée, une rentabilité trop faible…
L’un alimente l’autre.
Bonjour,
Concernant un exemple de matrice combinée : il faudra attendre un “petit” temps afin qu’il me soit possible d’anonymiser l’un des supports que nous employons, mais patience…
Concernant les méthodologies et critères : ils sont détaillés dans la série de vidéos que nous avons déjà publiées sur ce sujet sur THAUMASIA Académie, n’hésitez pas à vous y référer.
Pour le fond : vous animez déjà une discussion partisane sur ce sujet dans un autre forum intitulé – A propos des “prétendues” méthodes d’EvRP de type “Probabilité-Gravité” -, il ne me semble pas nécessaire, pour ma part, de consacrer du temps à reproduire cela
